maison, grange, bergerie, colombier, cour et jardin, enclos de
murs, appelé la ferme du Cols, assis au dit Noisy au bout d’en
bas, tenant d’une part à la rue quy conduit dudict bout d’en bas à
la Magdeleine, aboutissant d’un bout au dit Cochu et consorts et
d’autre bout à Jean David (à l’angle des rues actuelles de
Saint-Denis et Denfert-Rochereau)4. Charles IX y permit
l'exercice de la religion réformée.
En 1709, le village comptait 250 feux (familles), puis 304 en 1788,
à la veille de la Révolution. En 1775, des édits royaux
mentionnent Noisy comme l'un des lieux où peut être exercé le
culte protestant. Plusieurs moulins à vent existaient dans la
commune, dont un, celui de la Petite tour, datant d'au moins 1517
(détruit en 1912) rue Jean-Jaurès, près de la gare. Un autre, au
Londeau, le Moulin Hervy ou Harvy est attesté en 1618 et détruit
avant 1740.
Lors de la création de la section Paris - Meaux de la ligne Paris -
Strasbourg par la chemin de fer de l’Est en juillet 1849, une
station est créée à Noisy-le-Sec. Noisy devient une gare de
triage, aujourd'hui fermée, en 1882.
Lors du recensement de 1896, la commune comptait déjà 8 105
habitants qui habitaient 2 771 logements dans 1 108 maisons. À
cette époque, il existait déjà de nombreux immeubles, puisque 68
constructions avaient 3 étages, 50 avaient 4 étages, 32 avaient 5
étages et il y avait 1 immeuble de 7 étages. À cela, il fallait ajouter
127 locaux servant de commerces ou d'ateliers.
La gare du chemin de fer de l’Est et les différents services qui en
dépendaient occupaient déjà une superficie de 75 hectares à
Noisy-le-Sec, avec notamment un dépôt de locomotives et une
gare de triage. L'activité économique était, outre le Chemin de fer,
constituée par Les plâtrières, situées rue du Goulet, n° 61, qui
fournissent environ 50 mètres cubes de plâtre par jour et
occupaient 100 ouvriers environ5, ainsi que par d’importantes
champignonnières occupant d’anciennes carrières.
Par ailleurs, avenue Marceau, il existait une fabrique de corsets
qui employait 10 ouvrières environ, et une biscuiterie était en
construction 70, boulevard de la République. Une fabrique de
crayons Fabert, installée entre Bondy et Noisy, employait environ
30 ouvriers.
Néanmoins, l'activité agricole demeurait importante et occupait
319 hectares sur les 502 de la commune, avec une forte
production maraîchère. La viticulture occupait encore 10
hectares, et 27 hectares étaient consacrés aux fruits rouges :
framboisiers, cassissiers et groseilliers. L'atelier de Noisy-le-Sec
est créé à partir de 1908 par la Compagnie des chemins de fer de
l'Est et son importance économique transforme profondément
Noisy-le-Sec, qui devient une ville cheminote. Une nouvelle gare,
qui remplace celle de 1849, est construite en 1910. En 1914, les
chemins de fer emploient 2.300 personnes (contre 600 en 1900).
Lors de la Première Guerre mondiale, la gare devient la plus
importante gare régulatrice de France pour le transport des
troupes militaires, et, lors de la première bataille de la Marne, des
taxis parisiens réquisitionnés prennent en charge les unités
d'infanteries de la 7e division au fur et à mesure de leur
débarquement des trains pour les transporter sur le front à
Nanteuil-le-Haudouin.
La Seconde guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la région parisienne a été
relativement épargnée par les destructions ; néanmoins, en 1948,
58 communes étaient déclarées sinistrées (Gennevilliers,
Saint-Maur-des-Fossés, Créteil, Maisons-Alfort…). La gare de
triage de Noisy-le-Sec fut bombardée dans la nuit du 18 avril au
19 avril 1944 par des avions des forces Alliés afin de
désorganiser (pour un temps seulement) et surtout ralentir la
logistique allemande, en prévisions de l'Opération Overlord
faisant de nombreux morts parmi la population noiséenne (464) et
environ 370 blessés ; les destructions immobilières furent tout
autant considérables (environ 2 000 maisons seront détruites). La
commune fut déclarée sinistrée le 5 août 1944.
Reconstruction
Le projet d'aménagement de Noisy-le-Sec était lié au plan général
d'aménagement de la région parisienne, qui accordait une large
place aux chantiers expérimentaux. Ce projet est pris en
considération en décembre 1945, accompagné d'une déclaration
d'utilité publique. Deux chantiers d'expérience étaient envisagés à
Noisy-le-Sec ; l'un dans le quartier du Merlan destiné à une cité
de maisons préfabriquées, et l'autre sur la place de la gare
destiné à un immeuble d'État. Début 1945, sous l'impulsion de
Raoul Dautry et d'Henri Quatremaire, le ministère de la
Reconstruction et de l'Urbanisme avait ordonné la création d'une
cité d'expérience composée d'une cinquantaine de maisons
prototypes, entourées de jardinets et séparées par des clôtures
basses.
La reconstruction s'effectuait alors dans des conditions difficiles :
insuffisance de charbon, pénurie de matériaux de construction
traditionnels (ciment, briques, tuiles, carrelage…), insuffisance de
matériel, manque de main-d'œuvre spécialisée et locale ; à cela,
s'ajoutaient les prix élevés de la construction et l'urgence des
besoins. Le ministère de la Reconstruction souhaitait donc mettre
l'accent sur l'emploi de matériaux et de procédés de construction
nouveaux, nécessitant le moins de matières premières ou le
moins d'énergie possible pour leur transformation. Le chantier de
la cité de Noisy-le-Sec permettait à des constructeurs français et
étrangers de présenter différents procédés de construction
mettant en œuvre les matériaux les plus divers : bois, métal,
béton, béton armé, matériaux synthétiques… À côté des
industriels français, étaient présentes des entreprises des
États-Unis, du Canada, de la Suisse, de la Grande-Bretagne, de
la Suède, de la Finlande… La recherche de prototypes concernait
les infrastructures, mais aussi les équipements intérieurs des
maisons : cuisines, salles de bain, mobilier. Faire appel à des
constructeurs étrangers a nécessité un effort d'information auprès
de la population locale ; en effet, elle n'était pas habituée à vivre
dans des maisons en bois, ni à cuisiner dans des cuisines
américaines ouvertes sur une salle commune. Les travaux
commencèrent en septembre 1945, pour s'achever en 1953, date
de livraison de la dernière maison. Les prototypes étaient testés
au fur et à mesure de leur réalisation. Les maisons ont été
attribuées à des sinistrés de la commune par l'intermédiaire d'une
Commission de relogement des sinistrés mise en place par la
municipalité. Elle était composée de fonctionnaires municipaux et
de représentants des services du logement créés par le ministère
de la Reconstruction et de l'Urbanisme.
Les chantiers expérimentaux ont été la pièce maîtresse de la
politique d'industrialisation du bâtiment menée par le ministère de
la Reconstruction et de l'Urbanisme. Fierté du ministère, des
visites y étaient organisées. À Noisy-le-Sec, élus, architectes
français et étrangers, étudiants, professeurs d'enseignement
ménager, assistantes sociales… se sont succédé pour voir ces
maisons, prototypes de préfabrication. À partir de 1948, le
ministère entreprend de grands chantiers pour des ensembles
plus vastes de logements, fort des premières tentatives des
chantiers expérimentaux.
En 1958 sont livrés les 662 logements de La Pierre-Feuillère.
Cette cité de l'office public d'H.L.M. de la Seine est conçue par les
architectes Henri Bodecher, Robert Genermont, Julien Heulot et
Yves Thibault. En 1961, la Municipalité engage la rénovation du
centre-ville, et la SEMINO (Société d'économie mixte de Noisy le
Sec est créée le 18 juin 1962 à l'initiative de la municipalité et du
Ministère de l'équipement pour mener à bien ce projet. La
SEMINO livrera ses premiers logements, rue Béthisy, le 1er mai
1966.
1970 en France
La Défense vue de l'Arc de Triomphe, avril 1970.
Janvier
Persistance de l'agitation étudiante, notamment à Nanterre.
Nuit du 1er au 2 janvier : cinq travailleurs immigrés africains trouvent la mort dans
l'incendie d'un foyer d'Aubervilliers. Le drame est largement médiatisé. Le Figaro dénonce
les « marchands de sommeil » et demande « Qui veille à la santé de ces infortunés
transplantés ? Ils balaient les rues lorsque les caniveaux sont gelés, puis ils tentent de
triompher de la tuberculose qui les mine ou de l’oxyde de carbone ! Voilà le sort de ces
déshérités. Il importe d’y apporter d’urgence un remède. ». Armand Jammot consacre une
émission des « Dossiers de l'écran » aux travailleurs étrangers en France le 14 janvier1.
2 janvier :
création du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC)2.
loi Hoguet sur l'activité immobilière3.
10 janvier : occupation du CNPF pour protester de la mort de cinq travailleurs immigrés
africains asphyxiés dans un taudis d'Aubervilliers2.
15 janvier : la police intervient dans le Lycée Louis-le-Grand4.
18 et 21 janvier : deux lycéens du lycée Faidherbe à Lille s'immolent par le feu pour
exprimer leur dégoût de la société5.
20 janvier : incidents violent au lycée Michelet de Vanves ; la police intervient à l'intérieur
de l'établissement pour procéder à une dizaine d'interpellations4.
21 janvier :
loi qui prévoit la distribution d'actions de la Régie Renault au personnel2.
le groupe parlementaire UDR met en cause l'objectivité de la première chaîne de
télévision2.
28 janvier : Jean-Jacques Servan-Schreiber publie Ciel et Terre, un manifeste radical où il
propose « l'abolition d«emlaetttrraensnmotirsesipoanyhséàréld'aiitsaeiredadneslalepmroopnridéetéddeeslabCiernosisdsaence5» .
production » et veut
29 janvier : fermeture de la faculté de droit de Nanterre6.
31 janvier : fermeture des Forges de Moyeuvre-Grande (Lorraine) après plusieurs siècles
d'existence7.
Février
2 février : EDF choisit la technologie américaine de l’eau pressurisée et lance un appel
d'offres remporté par Framatome filiale à 51 % de Creusot-Loire et à 45 % de
Westinghouse8.
4 février : un coup de grisou tue seize mineurs à Fouquières-lès-Lens6.
4 au 8 février : congrès du PCF à Nanterre. Ascension de Georges Marchais au poste de
secrétaire général adjoint. Roger Garaudy, isolé, est écarté du bureau politique9.
10 février : une avalanche sur le chalet de l'UCPA à Val-d'Isère cause la mort de 39
personnes10.
23-29 février : visite du président Pompidou à Washington2.
25 février : fusion d'Ascq, Annappes et Flers-lez-Lille pour former Villeneuve-d'Ascq11.
26 février : à la demande de Paul Ricœur, doyen de la faculté des lettres, la police
dinetebrvleiesnsét ss1u2r.le campus de Nanterre où de violents affrontements font plusieurs dizaines
Mars
3 mars : violents incidents à l'université de Nanterre13. Paul
mRiacrœs2u.r, doyen de la faculté des lettres, démissionne le 14
4 mars : le sous-marin français Eurydice disparaît au large de
Saint-Tropez avec ses cinquante sept hommes d’équipage14.
8 et 15 mars : élections cantonales2. Succès du PCF et du
PSU.
9 mars : mécontentement des petits commerçants ; Gérard
Nicoud appelle aàulaPgarrècvdeedsePlr'Iinmcpeôst133.0 000 commerçants et
artisans réunis
12 mars : le premier turbotrain met 2 heures pour rallier Paris Arrivée du président
à Caen15. Pompidou à Washington.
19-24 mars : grève des aiguilleurs du ciel, des restaurateurs
et des camionneurs13.
23-24 mars : manifestation des commerçants et barrages 13
routiers ; Gérard Nicoud et 33 autres sont gardés à vue et condamnés .
Avril
8 avril : grève générale des commerçants organisée par le CID et l'UNATI16.
16 avril : catastrophe du plateau d'Assy en Haute-Savoie ; un sanatorium est détruit par
une coulée de boue (72 victimes)17.
20 avril : le CNPF signe un accord sur la mensualisation des rémunérations avec les
syndicats2.
27 avril : après l’arrestation de Jean-Pierre Le Dantec le 22 mars puis de Michel Le Bris le
20 avril, Sartre accepte la direction de La Cause du peuple18.
Nuit du 29 au 30 avril : un projet de loi « anti-casseur » est adopté par l’Assemblée
nationale13.
Mai
1er mai : premier défilé intersyndical unitaire depuis 194713.
2-16 mai : festival de Cannes19.
8 mai : attaque de Fauchon par un commando maoïste qui distribue les produits volés
bidonville20.
dans un l'écrivain Roger Garaudy est exclu du Parti communiste français2.
20 mai :
21 mai : premier grand rassemblement féministe à l'université de Vincennes21.
25 mai : Sartre préside le meeting organisé à la Mutualité pour protester contre le procès
de Le Dantec et Le Bris18.
27 mai :
la Gauche prolétarienne est officiellement interdite par le gouvernement2.
les directeurs de La Cause du peuple Jean-Pierre Le Dantec et Michel Le Bris
arrêtés en mars sont condamnés à respectivement un an deut hpuililtamgeo1is8.de prison ferme
pour atteinte la sûreté de l'État et apologie du meurtre et
27 et 28 mai : vive agitation au quartier latin à l'annonce de l'incarcération de Jean-Pierre
Le Dantec et Michel Le Bris et à l'interdiction de la GP et de La Cause du peuple18.
28 mai : fermeture la faculté de Censier à la suite des affrontements provoqués par la
condamnation de deux ex-directeurs de La Cause du Peuple13.
Juin
4 juin :
réforme instituant l'autorité parentale, partagée également entre le père et la mère, en
remplacement de l'autorité paternelle22.
vote de la loi « anti-casseurs »2, promulguée le 8 juin18.
5 juin : ouverture du musée Vasarely au château de Gordes (Vaucluse)23.
19 juin : première saisine du Conseil constitutionnel en application de l’article 54
(dispositions budgétaires des traités communautaires).
19-21 juin : conseil national, puis congrès extraordinaire du Parti socialiste à Epinay-sur-
Seine24. François Mitterrand, invité, propose une union de la Gauche25.
26 juin : interpellation de Jean-Paul Sartre, qui distribuait La Cause du Peuple26.
Juillet
9 juillet : loi Debré ; la durée du service militaire est ramenée à un an27.
Août
26 août : action du MLF (Mouvement de Libération des Femmes). Des militantes, dont
Monique Wittig, déposent une gerbe de fleurs sous l'Arc de Triomphe à Paris en hommage
ànalaissfeamncmeedduuMsLoFld2a8t. inconnu. Acte symbolique qui marque dans l'esprit collectif la
Septembre
1er septembre : grève de la faim de vingt-neuf militants gauchistes emprisonnés, dont
Alain Geismar, pour obtenir le statut de prisonnier politique29.
Octobre
1er-10 octobre : lancement de la Citroën SM et de la Citroën GS au Salon de l'auto de
Paris30.
2 octobre : Eric Derville ouvre le premier centre Norauto sur le parking de l'hypermarché
Auchan Englos-les-Géants à Englos, près de Lille31.
6-13 octobre : voyage du président Pompidou en URSS32.
11 octobre : une colonne de la Compagnie autonome de parachutistes d'infanterie de
fMraanriçnaeistosmonbtetudéasn3s3.une embuscade dans la palmeraie de Bedo au Tchad ; douze soldats
20 octobre :
condamnation de Alain Geismar à dix huit mois de prison29.
34
sortie du film Le Cercle rouge de Jean Pierre Melville .
26-29 octobre : assemblée plénière des évêques de
France à Lourdes35. L'épiscopat français appelle à
« passer d'une dialectique de la peur à une
dd'yunnaem«iqduéesedseclaalapdaeixd»esetaprmreenmd epnotssit»io3n6.enfaveur
27 octobre : création du spectacle Jarry sur la butte à
l'Élysée-Montmartre, à Paris37.
30 octobre : discours de Lyon de Georges Pompidou
qui relance l’idée de régionalisation ; « La région doit Le premier centre Norauto à Englos
en 1970.
être conçue non comme un échelon administratif se
surimposant à ceux qui existent mais, avant tout,
comme l'union de départements permettant la
réalisation et lcaoglleecsttiifosn»r3a8t.ionnelle des grands
équipements
Novembre
1er novembre : incendie du 5-7, dancing situé à Saint-Laurent-du-Pont, les issues de
secours sont bloquées, 146 jeunes gens de moins de 25 ans, périssent dans cette
catastrophe39.
4 novembre : le Concorde atteint Mach 2 au cours de son 102ème vol 40.
9 novembre : mort du Général Charles de Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises41.
14 novembre : convention concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher
l'importation, l'exportation et le transfert de propriété illicites des biens culturels42.
15 novembre : interdiction du journal satirique Hara-Kiri pour sa une « Bal tragique à
Colombey : 1 mort ». Le 23 novembre sort de premier numéro de Charlie Hebdo43.
Décembre
3 décembre : évacuation de la faculté des lettres de Caen par les gendarmes mobiles à la
suite des élections étudiantes44 ; 60 arrestations et 200 policiers mobilisés
13 décembre : la Convention des institutions républicaines (CIR) approuve le projet de
François Mitterrand de fusion avec le PS45.
29 décembre : lors d’une tempête de neige, 10 000 automobilistes sont bloqués sur
l’autoroute A746.
31 décembre :
loi numéro 70-1320 relative à l'usage et au trafic de stupéfiants, parue au journal
officiel du 2 janvier 197147.
loi n° 70-1318 sur la réforme hospitalière qui introduit une rationalisation des choix
économiques de l’État, devant la raréfication des ressources budgétaires48.
Instauration de la carte sanitaire afin de mieux faire concorder l'offre et la demande
(création de zones sanitaires avec allocation de ressources en fonction de l'indice
lits/population). Afin, la loi crée le service public hospitalier (SPH) visant à vise à
« garantir à chaque citoyen dans des conditions d’égalité, quels que soient son
niveau de revenu et son lieu d’habitation, l’accès à le’et nssyenmdicbaletsdienstebr-iehnosspeittadlieesrs47 .
services jugés fondamentaux » et les groupements
loi introduisant les stock options dans le droit des sociétés49.
Naissances en 1970
Décès en 1970
23 septembre : Bourvil, acteur et chanteur français.
10 octobre : Edouard Daladier homme politique.
9 novembre : Charles de Gaulle, général, écrivain et homme d'État français.
CLAUDE
Qui est il ?
Claude est un homme ouvert, jovial, hospitalier, amical (souvent jupitérien, le prénom faisant 12
comme le cycle de Jupiter, ou appartenant au signe des Gémeaux), en général enthousiaste, voire
exubérant, ce qui ne manque pas de le rendre sympathique. Il est brillant et en impose par sa
forte personnalité, son intelligence fine et vive, ses facultés d'élocution, et sa rapidité de
compréhension et d'action. Quelque peu opportuniste, Claude a l'art de charmer et de séduire, et
se révèle très adaptable. Brillant en société, il apprécie d'être le centre d'attraction et a souvent
tendance à l'exagération, soit pour amuser, soit pour impressionner son auditoire, monopolisant
ainsi l'attention sur sa chère personne. Sensible à la flatterie, il est quelque peu narcissique et
aime donner l'exemple. Cela peut se traduire par un raffinement vestimentaire ou par une belle
assurance, due en partie à la confiance qu'il a en lui-même et à la chance qui intervient souvent
en sa faveur. Enfant, Claude est attachant, hyperactif: il s'intéresse à tout et n'a de cesse qu'il
n'attise sa curiosité au point d'être épuisant pour ses parents qu'il questionne sans cesse. C'est
souvent un bon élève. Néanmoins, il ne faut pas cultiver son narcissisme, sans quoi il pourrait
avoir tendance à se prendre un peu trop au sérieux. De plus, il faut développer chez lui la
tolérance et le sens du travail, sa tendance étant, le plus fréquemment, de rechercher la facilité.
Qu'aime-t-il ?
Claude aime plaire, séduire, charmer et échanger avec ses semblables. Les plaisirs de ce monde
sont loin de lui être indifférents. Il est sensible aux belles choses, au confort, au nid douillet, et se
montre fortement marqué par sa famille. En matière de c œur, il est terriblement exigeant,
recherchant la perfection et risquant ainsi de ne jamais trouver vraiment la partenaire idéale.
Aussi se montrera-t-il critique et pointilleux, la nervosité, voire la maniaquerie y étant sans
doute pour quelque chose. Enfin, ce n'est pas toujours un sentimental, mais plutôt un sensuel,
épicurien, ou un jouisseur.
Que fait il ?
Homme de contacts, Claude sera attiré par les professions en rapport avec le commerce, la
communication, l'expression orale ou écrite..., en liaison avec la création et le domaine artistique,
ou ayant trait à l'immobilier ou à l'hôtellerie.