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Published by Dr. Emmanuel NGAHA Consultant en Dev Durable, 2019-09-16 04:07:40

livre cooorrige2

livre cooorrige2

Poème : écrivain

Je voudrais être écrivain
Ecrire sur l’amour,
Et faire ressentir dans le cœur
De mes lecteurs, un parfum de cet amour.

Je voudrais être écrivain.

Ecrire sur tous les événements de la vie.
Pour que, ma plume soit une arme inflexible,
Pour vaincre dans nos batailles de tous les jours.
Et réécrire la vie, réécrire des lignes droites,
Où les courbes ont été écrites.

Je voudrais être écrivain.

Pour changer le monde avec ma plume.
A travers mes contes, mes poèmes, mes histoires.
Je voudrais être le changement tant attendu,
Et espérer pour que le navire de la vie,
Ne fasse plus naufrage mais arrive à bon port.

Je voudrais être écrivain.

Pour que mes œuvres, apportent une nouvelle.
Celui du changement, pour changer la couleur des saisons.
Les cris des oiseaux dans le ciel.
Et l’harmonie de la terre.

Je voudrais être écrivain.

Pour dire à toi, qui lis ses vers .C’est le moment.
C’est le moment pour briser les barrières.
Dues aux races, aux opinions politiques, et aux idées.
Je voudrais apporter une vision, qui va nous permettre
De bâtir un monde nouveau.

Je voudrais être écrivain.

Pour partager ma vie, m’écrire, et écrire le monde.
Pour partager mes joies, mais aussi mes pleurs.

Je voudrais être écrivain.

Poème : mon amour pour toi.

Mon amour pour toi.

Dépasse tout entendement.
Dépasse toute chose.
Quand je pense à toi,
Les gens disent de moi,
Que je suis ivre Car en
Réalité ce sont mes sentiments
Pour toi qui me rendent ainsi.

Mon amour pour toi.

Me fais me sentir autre,
Je cesse de m’appartenir et mon cœur bat,
Au rythme de l’amour La chaleur intérieure qui émane de moi,
Me fait entrer dans une douceur indescriptible de ta présence ;
En envoyant des reflets dans mon cœur.

Mon amour pour toi.

Me fais exister, il me fait me sentir reine,
Unique, belle aimante, et désirable.
Oui ! Plus que tout je t’aime.
Mon bien aimé, mon âme sœur,
Mon ombre et ma moitié.

Mon amour pour toi.

Me donne de l’éclat,
Car je me sens tellement chanceuse.
D’être l’élue de ton cœur,
Et de partager ton amour.
Et d’être ainsi l’objet de jalousie de plusieurs.

Mon amour pour toi.

N’existe pas sur terre,
Ce n’est pas un coup de foudre.
Mais un sentiment, qui nous fera vivre
Dans le temps et même hors temps.
Oui ! Je t’aime, mon bien aimé, mon tout.

POEME : Je l’ai relu

Je l’ai relu, cette lettre qui m’as déchirée le cœur.
Oui, tu n’auras pas dû, tu m’as enlevé l’espoir
Même d’oser aimer quelqu’un d’autre.

Je l’ai relu.
Car chaque mot, m’as coupé le souffle.
Mon cœur brule encore, de l’amour que j’avais pour toi.

Je l’ai relu.
Cette lettre qui m’as déchirée complètement brisée le cœur.
Mon cœur saigne, saigne, et je ne sais comment le soigner.
Comment arrêter cette souffrance, ma blessure est inguérissable.
Pas même tes excuses ne pourront le soigner.
Approche, que je te dise : Seul l’amour que tu aurais dû me donner
Pouvait l’éviter, tout médecin, tel qu’il soit ne peut me guérir à part toi.

Je l’ai relu.
Au moins cinq fois
Ces cinq fois, ont été une descente à l’enfer pour moi.
Je me revoyais, entrain de ramasser tout ce qui restait de nous.
Tout ce que nous avons mis du temps à construire mais que tu as détruit
Par le son de ta voix qui s’est transformé en un instrument de destruction.
Pour détruire tout notre histoire et ma vie.

Je l’ai relu.

Poème : la vie

A quoi puis- je comparer à la vie ?
La vie est comme une fleur.
La fleur fleurit,
Et parfois elle peut faner.
La vie peut aussi être comparée, à une rose
Avec des épines si nous abusons d’elle
Sans la respecter elle peut nous donner des piqûres.

La vie est faite des hauts et des bas
Que le mauvais jour ne nous emporte pas.
Que le mauvais jour ne trace point notre destinée
Et ne nous définisse point

Sachons tenir bon, au jour mauvais
Car s’il y’a la nuit le jour viendra
S’il y’a l’hiver le printemps viendra
Aucune situation mauvaise soit elle n’est éternelle

Que les bons jours soient pour nous l’occasion de nous recueillir
Grandir et devenir suffisamment fort pour que les mauvais jours
Ne nous entrainent et que seuls les bons et doux souvenirs de la vie
Nous poussent à combattre avec force le mal pour garder toujours en nous le bonheur

La vie est belle, oui que cette beauté, ne fasse de nous des victimes.
Mais au contraire des vainqueurs, car la vie appartient au vainqueur.
A ceux qui sont jaloux de leur bonheur et
A ceux qui se lèvent tôt Pour la chercher.

Poème : écris moi une lettre de rupture

Écris-moi une lettre de rupture.
Pour me dire c’est fini.
Pour me dire qu’on a perdu du temps.
Tes mots me blessent, me pénètre.
Ta lettre ne peut m’empêcher de t’aimer.
L’amour ne disparait pas par des écrits
Sur un bout de papier.

Écris-moi une lettre de rupture.

Dans la mienne, mais au brouillon
Pour te repondre j’y ai mis mes plus beaux
Souvenirs et moments passés avec toi.
J’ai versé une larme sur la phrase
‘’ Je t’aimerais toujours ‘’ Excuses moi
Si j’abuse de toi, en t’aimant encore.
N’attends pas de moi, que je fasse une lettre
Comme la tienne, j’ai décidé de ne pas l’envoyer je la garde.

Écris-moi une lettre de rupture.

Mets fin à notre relation à l’écrits.
Si ça te fais plaisir ,mais mon cœur n’est pas un bout de papier
Où on doit écrire c’est fini.
Tu vois bien que je t’aime toujours.
Je garde la mienne, elle me sert de consolation.
Je sais que ce n’est pas fini.
Ton cœur refaira naufrage dans le mien.
Et notre amour vivra pour toujours.

Écris-moi une lettre de rupture.

Pour briser nos liens, notre relation.
‘’ Tiens ‘’ je t’ai envoyé quand même la mienne ‘’
Qui ramènera à la lumière du passé, au présent.
Pour que tu saches, que dans mon cœur
Il y aura toujours de la place pour toi.
En lisant ma lettre, saches que je sais que
Tu changeras d’avis.
Et que tu te projetteras dans notre future.

Écris-moi une lettre de rupture.
Je t’envoie celle de nous ensemble.

Poème : Bien aimé.

Viens, mon bien aimé
Partons ensemble.
Dés le jour, nous irons ensemble.
Nous verrons ensemble si notre amour
A pris racine, s’il est sur le point de porter des fruits et les meilleurs.

Allons , je te ferai un don de moi, le don de mes amours.
Je te ferais boire un vin parfumé, ma liqueur
Ce que j’ai de plus précieux, et qui compose
Tous les éléments intenses de mes battements intérieurs.

L’habile ouvrière de tout.
De tout ce que je suis, et c’est l’amour.
Ah ! Que m’as-tu fais ? Quand je t’ai rencontré
Pour la première fois, je voulais t’embrasser.
Mais j’avais en même temps peur de te faire fuir.

Je te conduirais dans la maison de ma mère.
Pour que notre amour, puisse être partagé et connu des miens.
Car l’amour est fort comme la mort,
La jalousie inflexible comme le chéole.
Qui offre toutes ses richesses pour acheter.
L’amour ne recueillera que rejet et mépris.

Poème : Souvenir et espérance.

Sous le rapide vol du temps,
Déjà le cercle de l’année va se fermer
Dans peu d’instant, bientôt l’air nouvelle.
Les portes du temps, jamais fermées .
Mais toujours ouvertes à l’avant.

Qu’est- ce que j’ai accompli ?
Qu’est- ce que j’ai fait de mes années passées ?
L’avenir sonne devant moi, tel le jour.
Tel un astre implacable, me demandant
À personne de réculer pour pouvoir faire mieux
Pour pouvoir essayer d’arranger
Les lignes, courbes de la vie.

Les jours mauvais, se sont figés.
Pour attendre de nous réparation.
Seul un souvenir du passé
Bon ou mauvais, guide nos souvenirs
Et trace toujours une espérance nouvelle dans nos vies.

On veut en vain retenir le temps.
Mais il avance à son rythme.
Il n’y ‘a plus qu’ à espérer à faire mieux.
En vivant, tout en modifiant nos erreurs au présent
Tel qu’il se donne, Tout en espérant que nos souvenirs
Deviendront de jour en jour, de douces images, des beaux jours vécus
Et la satisfaction de nos réussites.

Poème : l’immigration mon cri, ma
détresse.

Je pars, non par plaisir.
Non par vouloir.
Mais par obligation de survivre.
Je laisse derrière moi, mon passé,
Ma douleur, et en même temps ma vie.

L’immigration mon cri de détresse.

Je pars, dans le but de vivre,
Je pars, dans le but de réaliser les rêves,
Que ma mère n’a pas su me laisser accomplir.
Je pars, mon sourire est lumineux ,mais j’ai dans mon cœur
Sur moi les blessures d’une mère qui a échoué.

L’immigration mon cri de détresse.

Oui, j’ai quitté ma mère.
Pour réaliser mes rêves.
Mais quand je pense à elle, je me trouble.
Je m’attriste jusqu’à ne plus penser.
Seuls mes pas me réjouissent, mes cicatrices disparaissent
Par la réussite de mes projets
Et par l’obtention de certaines situations assurant mon bonheur.

L’immigration mon cri de détresse.

Mais malgré tout ceci, la pensée de chez moi,
De ma terre m’attriste, seul l’espoir me donne la force.
Qu’un jour, mon pays, ma nation,
Arrivera à être ce qu’elle doit,
Afin d’être un atout, pour la réussite de ses fils et de ses filles.

L’immigration mon cri de détresse.

Poème : Appel.

Qui m’entendrais- je ?
J’appelle, mais personne ne se soucie de moi.
Abandonné, abandonné, oui je le suis.
Ma présence n’est plus désirée,
Encore moins bénéfique pour personne.

L’envie de quitter ce monde,
Me hante désormais l’esprit.
J’appelle, j’appelle, mais personne ne prête
Attention à mon sort, pour tous mes amis,
Je suis une horreur, je deviens la fable de mon quartier.
Même les oiseaux arrêtent les cris en ma présence.

Les saisons, les années n’apportent rien d’autre
Que la solitude, autrefois, je fus comme un jardin.
Dont les arbres, les fleurs, la verdure étaient de plus rares.
Un oasis dans le désert, mon parfum était estimé plus que de l’or.
Et ma présence procurait, une succession de joie à tous ceux qui me croisait.

Mais depuis mon jardin, est victime de sécheresse.
Oui, je suis malade et je cherche partout la guérison.
Ma présence jadis, attirait des foules, maintenant couvert de malédiction.
Tous mes amis des bons jours m’ont abandonné.
J’attends depuis que mon sort prenne fin.
L’abandon m’attriste, plus que ma maladie.
Car je réalise que mes amis, étaient là que pour profiter de moi.
Seul le souvenir, des jours heureux me redonne l’ espoir pour l’avenir.

Poème : A mon père chéri.

Peuvent - ils calmer la tempête de mon cœur ? Non.
La vie m’a jouée un tour.
Je suis meurtrie, j’ai perdu un être cher.
Je n’ai pas eu le temps de lui dire au revoir.

La mort est venue, et l’a emporté si loin de moi.
Je ne le verrai plus de mes yeux, mais je le ressentirai,
Dans mes moments de joie, de réussites et même quand je souffrirais.

La mort est si cruelle, et imprévisible.
On n’a pas eu assez de temps de s’aimer.
Je n’ai pas eu le temps de te dire.
‘’ Papa je t’aime ‘’ Seuls les souvenirs de toi
Me permettent de continuer à vivre.

La mort est comme un voleur,
Ce voleur est partie avec une partie de moi.
Je ne te verrais plus de mes yeux.
Mais je sais, que les morts ne sont pas morts.
On porte en nous, de manière indélébile,
Leurs traces dans chacune de nos joies,
De nos rires, dans nos exploits,
Et même dans nos tristesses.

Poème : rumeur.

Les rumeurs courent,
Que je n’ai plus de moitié.
Oui ! Désormais je suis seule.
Il m’a quittée pour une autre,
Qu’il aime, plus que moi.

Après m’avoir fait croire.
Que je suis le soulier qu’il
Cherchait partout, pour être complet.
Il m’a laissée tomber , moi sa promise.

Mon bien -aimé, m’a exposée à une honte
Plus grande que celui d’être vieille fille sans mari.
C’est celui du rejet, Je suis devenue
La chanson de malheur des passants.
Des jeunes s’attroupent, dans les carrefours.
Pour parler de moi, Je n’ai plus d’abris, plus d’amies.

Je suis sans espoir, de trouver ailleurs.
Celui qui viendra m’enlever de cette honte.
Afin, de panser ainsi toutes les blessures de mon cœur.
En les guérissant par son amour.

Ma plainte est grande, ma plaie est ouverte.
Car la honte, qui m’abrite fait de moi une résignée.
Résigner à rester à moitié, pleurant ainsi sur mon sort.
Dans l’espoir que, quelqu’un viendra me retirer de cette honte.

s

Poème : lettre d’amour, pour maman
Valentine.

A ma chère maman,
A la plus belle des mamans.
La personne que j’aime
Le plus au monde.
Celle qui M’a donnée la vie.
‘’ Je t’aime de tout mon cœur ‘’

Tu es la caresse de ma vie,
Le refuge de mes évasions.
La maison qui toujours subsiste.
Tu es la raison de qui je suis.
Toi qui me vois, encore comme une enfant.

Je t’écris ces quelques mots.
Pour t’exprimer tout mon amour.
Chaque jour qui passe, je pense à toi.
Car tu es ma petite maman, et je t’aime.

Maman je t’aime, tu m’as donnée la vie maman.
Comment ne pas t’aimer ? Toi qui m’as tout donnée.
Je te souhaite une longue vie pleine de bonheur.
Afin de toujours être sous ton aile, et profiter de toi.

Maman tu m’as ouvert les yeux sur le monde.
Et tu me donnes confiance en moi,
Pour chaque étape de ma vie.
Reste mon petit ange très longtemps, ‘’ je t’aime ‘’

Maman chérie d’amour, c’est ton enfant qui t’écris.
Pour te dire, maman je t’aime et
Je pense intensément à toi tous les jours.
Je suis loin de toi, mais tu es en toute heure,
Dans mon cœur,gros bisous, ton enfant.

Poème : ma belle brune d’or.

Maintenant tâchée, tâchée d’une grande tâche.
Qui dérange l’état pur, de ma personne.
Qui dérange ma belle face.
Car ma beauté, luisait même dans le noir.

Ma belle brune d’or.

Ta beauté qui fut ta fierté,
Est devenue objet de grand malheur pour toi.
Et de moqueries, te couvrant ainsi de honte.
Oui, la honte est ton palais, l’amitié pour toi,
S’est enfuit par la fenêtre. Tu deviens ainsi,
Un dégoût pour tous tes amants.

Ma belle brune d’or.

Ton regard qui autrefois plaisait à des passants,
Et faisait ton éloge devient effroyable,
Pour ceux qui croisent seulement ton chemin.
La solitude c’est ton amie, l’humiliation ton vêtement.

Ma belle brune d’or.

Qui t’aidera à porter ton fardeau ?
Qui mettra fin à toute ta souffrance ?
Seul l’espoir des années de gloire, de bonheur passé,
Peuvent te donner une lueur d’espoir pour l’avenir.

Poème : infidèle

Je croyais avoir bâti une maison dans ton cœur.
J’aurais dû vérifier l’efficacité,
Et la solidité de ses fenêtres,
Qui s’écoulent à mes yeux.

Mon corps tremble, grêle.
Non seulement de déception,
Mais aussi, d’apprendre que j’avais vu faux.

J’entends battre mon cœur,
A un rythme inimaginable.
Maison illusoire,
Maison mensongère,
Oui, tu m’as été infidèle.

Sans pareil, qui montre sa vraie valeur.
Je ne savais pas que l’amour pouvait tromper autant,
Qu’il pouvait avoir l’air si vrai, et en même temps si faux.

Oh, maison tant désirée. Aux portes fausses.
Autour de toi, il y’a cette honte.
Que tu connais, et qui repose à jamais sur toi.

Poème : je l’invoque.

Quand je me sans seul.
Quand mon âme se rempli
De désespoir, d’angoisse.

Je l’invoque.

Quand je ne me retrouve plus,
Dans ce que que je suis,
Mes origines, mon passé,
Mon présent.

Je l’invoque.

Quand après avoir cherché
Partout des amours perdus,
L’espérance d’une vie réelle, remplie.

Je l’invoque.

Parce que lui, il est le vrai bonheur.
La source vive de tout. Il ne tarit jamais,
Son amour est vrai, éternel. Il me comble
Pas pour reprendre, ses biens il les donne gratuitement
Sans jamais les reprendre.

Je l’invoque.

Désormais je ne me laisserais plus tromper.
Je ne me laisserais plus voler, mentir, usurper

Oui je sais qui je suis-je sais ce que je vaux.
Sont regard sur moi, me le dis.

Poème : mon amant.

S’il me faut mon ami, mon amour, mon chéri.
T’ouvrir mon cœur, désormais meurtri.
Qui ne chante ni l’espérance, ni le bonheur,
Ni la joie. L’avenir n’est plus envisageable,

Hélas ! Le fait d’ouvert mon cœur ne mettra pas fin
A ma souffrance, ma bouche garde le silence,
Pour écouter ou fond de moi, s’il y’a une lueur d’espoir.
L’amour m ‘a déçu, L’amour m’a quitté, je suis meurtri.

Car mon amant est parti après m’avoir rempli d’amour
Et de vie ensemble. Il m’a rendu tellement amoureuse.
Que je suis éprise de lui. Non ! Je ne peux plus vivre sans lui.
Ma bouche garde le silence, pour écouter parler mon cœur.

Il est venu, il a enlevé toutes mes gardes, il a emporté
Avec lui toutes mes forces, et mon cœur. Je ne ferais plus confiance.
Non !!! Je suis confuse, déçue, je lui avais pourtant tout donné.
Mais il n’a pas voulu partager avec moi.
Ma bouche garde le silence, pour écouter parler mon cœur.

J’aurais dû savoir, qu’il n’était pas digne de confiance.
C’est le genre d’homme qui ne se fixe jamais dans une relation,pour construire sa vie .
Mon cœur pousse dans la nuit ; Un funèbre cri d’adieu
Que les personnes, qui me rencontrent, déplore mon sort.
Ma bouche garde le silence, Pour écouter battre mon cœur.

Quand il parle, quand il revit,C’est pour retracer l’espérance
Trompée, me noyer dans la tristesse, et de malheur.
C’est un moment qui dilate mon cœur, ces moments je les vis
Comme si des épées me transpercent le cœur. Et me rappelle des
Moments illusoires, d’une relation éphémère.
Mon cœur garde le silence, pour écouter battre ton mon cœur.

Poème : la souffrance.

La souffrance,

Née du résultat de nos mauvaises décisions,
De nos échecs, Ou tout simplement d’une situation
Injuste qui nous tombe dessus.

La souffrance,

Il y’a des souffrances,
Qui nous permettent de rebondir après,
D’autre pas ,tout cela nous enseigne,
Et fait de nous des hommes, des femmes avisées.
Quand les grandes eaux viennent, accroches-toi.
Saches que c’est une étape vers la victoire.

La souffrance,

Si nous regardons la souffrance.
A son premier aspect seulement,
Nous serons toujours de personnes vaincues.
Je peux la comparer à une porte à double niveau.
La première est visible de nos yeux,
L’autre s’ouvre après avoir surmonté tout ce qu’offre
La première comme épreuve.

La souffrance,

Elle laisse en nous un fruit, pas celui que nous voyons.
Si nous passons bien l’orage, le beaux temps apparaitra.
Nous verrons notre vie, s’ouvrir comme une rose.
Qui éclot pour montrer sa plus belle fleur.

La souffrance,

Qui donc peut réussir sans souffrir ?
Qui peut vivre sans souffrir ?
Pour vous la réponse est claire.
C’est le passage exigé, pour goûter avec délice.
De la manière dont vous aborder les épreuves,
Dépend de votre bonheur, et dépend aussi du fruit
Que vous allez cueillir.

La souffrance,

Certaines auront après l’orage, des arbres sans fruits.
D’autres des arbres sans racines.
Ceux la, n’ont pas su apprendre de leurs mauvaises expériences.
Pour savoir accueillir le bonheur
Les plus avisés, auront des arbres avec des fruits,
De très bons fruits,
De tous genres,
De toutes qualités,
Ceux la ont bien appris de leurs mauvaises expériences.

Poéme: si j’étais riche.

Si j’étais riche.

Je couvrirais le monde de mes perles d’or.

Si j’étais riche.

Je bâtirais un empire de riches personnes.

Si j’étais riche.

Je partagerai mes biens, aux confins de la terre.
Et je serai un lieu de refuge, de paix, et d’amitié
Pour les autres.

Si j’étais riche.

Je bâtirais dans ma nation, un nid de lumière ;
Où des nations entières viendront s’abreuver,
Afin de partager ce qu’ils ont reçu,
Et faire aussi de leurs habitations des nids de richesses.

Si j’étais riche.

J’offrirai mes plus belles vertus à tous.
Et je mettrais fin dans la vie des autres,
Les préoccupations éphémères de ce monde.
Et nous cultiveront ensemble les vraies richesses. Des
Richesses qu’aucun homme, ne pourra nous voler.
Mais celles-ci nous construiront une demeure éternelle.

Si j’étais riche.

Poème : j’aimerais dire ceci. As-tu un
cœur ?

As-tu une âme consciente ?
Toi, après avoir souffert à garder en toi la vie,
De la faire grandir dans ton sein, tu décides de la supprimer.

Mais pourquoi l’avoir conçu ?
Pourquoi avoir eu des rapports annonçant sa venue ?
A Quelle moment es- tu devenu si inhumain ?

La femme n’est plus ce qu’elle doit.
C’est-à-dire gardienne de la vie.
Elle n’hésite pas, après avoir porté la vie en elle.
De la jeter aux chiens, ou finir dans une poubelle.

Oui, la belle est bien tombée. Plus bas qu’un rat.
Elle qui était si douce, fragile, sensible et aimant
Ses petits ,elle devient un sujet d’effroi,
Pour tous ceux qui la croise.

Comment est ce possible ?
La belle est devenue la bête.
Au fil des années, elle s’est transformée,
A celle qui livre ses petits.

Même le chien à compensions,
Et reconnait son petit, mais la femme non.
Elle est devenue sans cœur, semblable à un serpent
Venimeux , qui après avoir mis au monde ses petits les dévore.

Reviens ! Reviens !
Beauté divine miroir de la puissance du divin.
Reprends-toi ! Et revêts ta vraie destinée,
Pour que le monde vive.

Poème : nul ne sait.

Nul ne sait quand,
Nous allons nous rencontrer.

Nul ne sait.

Quand la terre sera fertile.
Quand le pommier donnera ses fruits.
Pour que nous recueillons, les fruits de cet amour.

Nul ne sait.

Quand nos regards,
Vont se rencontrer, quand je pourrais enfin,
Te voir en chair.

Nul ne sait.

Si tu seras comme dans mes rêves
Les plus fous , si tu seras la description,
De mon imagination.

Nul ne sait.

Si le temps donnera raison à mes rêves,
A mes pensées, mes désirs.
Ou si ma vie sera remplie de ton ombre.
Et de regrets de ne t’avoir jamais connu.

Nul ne sait.

Si mon enclos aura quelqu’un,
Pour le fermer. Et mon jardin,
Pour le cultiver.

Nul ne sait.

Quand le bois qui attend,
Prendra feu, pour s’enflammer,
Tel un brasier ardent.
Et quand je serais enfin abreuvé.

Nul ne sait.

Si les saisons, la nature.
Engendreront notre propre printemps,
Pour nous aimer.

Poème : je n’ai pas su répondre à ses
attentes.

J’ai répondu au son de l’appel,
Alors que je n’étais pas prête.
Prête, à entretenir ce qui m’appelle.
Prête, à le satisfaire.

Cet appel est supposé être répondu.
Par ceux, dont les bois sont prêts.
Prêts pour brûler de tout bois ;
aux Couleurs de l’amour.
Oui, l’amour est une flamme qui s’allume seulement
Si les partenaires sont déjà prêts à accueillir Ce feu.

Mais je n’ai pas su. J’ai répondu aux rendez vous,
Sans avoir ce qu’il faut .Le feu ne peut s’allumer,
Avec du bois mouillé, non !!
Seul un cœur aimant, libre de recevoir l’autre amour,
Peut recevoir ce feu pour s’alimenter de cœur à cœur.
Et le manifester par des gestes d’amour, d’attention,
Et faire exister l’autre.

J’ai voulu tricher, mais l’amour est un miroir qui se reflète
Sur notre visage. Face à moi, mon amant est parti.
Réalisant ainsi que j’ai voulu le tromper.

Mon acte, qui était supposé m’apporter gros, mon goüter ;
Une profonde tristesse. Le souvenir et le visage de mon amant,
Sur moi m’a brisé, on aurait dû être tous les deux victimes de
L’amour,mais c’est moi, qui en ai fait.

Le regret hante mes pensées, chaque soir. Sur ma couche,
Je verse une larme. En pensant à ce que notre union allait
Produire, si je l’avais aimé. J’espère qu’un jour, je réparerais
Mon erreur, et qu’ainsi, l’amour sera mon ultime conviction
Et désir ,et non les biens de ce monde.

Poème : la beauté.

Qu’est ce que c’est ?
Elle ne fait guère partie de l’apparence.
Elle ne réside même pas dans l’utilisation
Abusif des produits cosmétiques.
Elle est au-delà des apparences,
Réside dans un organe que tous possedent,
Mais n’en prend pas soin.

La beauté.

Elle réside à l’œil nu est dans
L’incapacité de l’apercevoir.
Les personnes avides, en quête de
Belles apparences, ne peuvent pas la posséder.
Car beaucoup se trompent et continuent de se tromper ;
En la recherchant que de l’extérieur.

La beauté.

Elle est comme un collier de diamant,
Au cou pour la femme qui la possede.
Et un sujet de joie pour l’homme,
Qui a pour femme une telle créature.

La beauté.

Cette beauté là ne fane jamais, n’attrape
Jamais de rides. Et rien ne vaut une femme,
Possédant un tel cœur. Elle sait se distinguer des autres,
A travers son beau sourire. L’éclat angélique de son cœur,
Illumine son visage. En faisant d’elle, la plus belle, désirée de toute.

La beauté.

Seules des femmes, possédant cette beauté,
Marquent leur temps, leur génération et leur époque.
Leurs passages à elles seules, laissent un parfum de délice,
Une fraîcheur de vie, de joie qu’on acquiert en aimant de tout cœur.

Poéme : ma douleur.

Ma douleur est profonde.
Elle ne vient pas de mon entourage.
De mes amis, ni même de mes parents.
Elle a un lien, avec qui je suis.

Elle vient de mes origines.
Mes origines sont la cause, de mon malheur.
Hélas! Où est maintenant cette terre, mon repère,
Mon refuge, unique par sa générosité, sa bienveillance.

Je cogne devant ta porte mon frère, je cogne
Devant ta porte ma sœur,pas même le son des cris
Joyeuses de l’Afrique ne m’accueille , la chaleur fraternelle,
Devient pour moi un lointain souvenir.
Oui, je suis un étranger pour ma mère.

Ma douleur est grande,ma blessure n’a pas de remèdes.
Les miens m’ont renié. Ils m’ont trahi.
La douleur n’est pas partageuse,
Elle est notre savoir secret, notre silence.

Le souvenir presse mon pas. Le souvenir presse ma main.
Mais ni mon frère, ni ma sœur personne n’a voulu m’ouvrir.
Dans cette déception, je tourne le dos à ma terre.
Et je m’exile en terre étrangère, gardant en moi cette douleur.

Poème : qui serais – je sans toi.

Qui serais-je sans toi.
Qui vient à ma rencontre.
Qui serais-je sans ton amour,
Eternel qui me rassure.

Qui seraiss -je, oh bien aimé,
Sans te sentir prés de moi,
Me protégeant de tout mal.

J’ai tout appris de toi, sur
L’amour que tu as pour moi.
J’ai tout appris de toi, comme
On boit à la fontaine. Comme
Un livre ouvert, et coder dont
Je devrais trouver les réponses.

Qui serais-je sans toi.
Qui vient à ma rencontre.
Comme un amoureux, arrivant
Avec des présents pour celle qui lui est chère.

J’ai tout appris de toi,
Pour ce qui me concerne.
Que tes amours sont éternels,
Ta présence un délice. Oui !
L’amour rend ivre plus que l’alcool

Il est plus doux, que le miel le plus bon.
Qui l’a trouvé, en voudra toujours.

Poème : j’ai trouvé le vrai trésor.

Oui, pour lui j’ai tout quitté.
Pour lui j’ai tout vendu.
Et tout sacrifié, car sa présence,
Vaut mieux que mille ailleurs.

Ni l’or, ni les richesses de ce monde,
Ni même le plaisir des hommes de
Ce monde ne peuvent m’éloigner de ton regard.
Ton regard si tendre , si doux, si aimant rempli ma vie d’amour.

Nombreux sont les délices de ce monde.
L’achat des appartements, des grandes voitures,
Porter les vêtements de haute couture, tout
Ceci à côté de toi n’est rien.

Ce que tu donnes ne passe point.
Ta personne demeure, demeurera toujours.
Car tu es la source même de toutes richesses,
De toute intélligence,et la garantie d’une vie
Eternelle après mon pélerinage terrestre.

Non, je ne gaspillerais pas mon temps.
Dans ce qui passe, dans ce qui nous tue,
Encore moins dans des chemins m’éloignant de toi.
Mais je passerais toute ma vie, avec toi.

Car tu es meilleur que tout.
Tu ne tariras jamais , ta beauté n’est point éphémère.
Ta présence à mes côtés laisse un fruit d’éternité.
Ton baiser me rassure, et ton amour me garde.
Je t’aime, tu es mon trésor.

Poème : ma chérie.

Fleur des fleurs,
Délice des délices,
Perle des perles,
Rose au milieu des roses.
Mais sans épine.
Dans toute sa beauté,
Dans toute sa splendeur,
D’une élégance sans pareil.

Sa beauté fait l’objet
De questionnement.
Oui, ma chérie est d’une beauté
Désirée, désirable de tous.
A son contact je vis, elle est
Le rayonnement de toute ma vie.

Elle est ma côte, ma moitié.
Son parfum, distille l’arôme même
De l’amour ,elle est aussi belle qu’éclatante.
Sa beauté rivalise même avec la beauté du soleil,
Qui en a cependant tant vu, s’étonne à
Chaque fois qu’il illumine son visage.

Son sourire me rassure,
Son toucher me comble, ses pommes de mains
Sont aussi douces que le miel.
Sa vie est un baume d’amour, et
Un paisible cadeau, pour qui la
Partage,oui ! Je suis amoureux,
Mon amour pour toi, n’a pas
De profondeur,car je t’aime,
A la mesure même de l’amour.

Mon amour pour toi, n’est pas saisonnier.
Ni d’un moment, elle durera éternellement.
Car l’amour est notre origine.
Notre raison d’être .Je ne peux
Que manifester cet amour.
On ne donne que ce qu’on a.
La fleur produit la fleur,
La vie produit la vie. Et l’amour
Produit l’amour, notre fruit sera à notre image.

Poème : tant d’injustice.

Tant d’injustice dans mon cœur.
Mon cœur, si tendre et voué à t’aimer,
À t’être fidèle, à être ton amie, et ta confidente.

Tant d’injustice dans mon cœur.
C’était un soir d’été, ou je voyais de loin,
Ton beau visage, tes yeux brins, ton sourire est si brillant,
On aurait dit que la beauté de l’aurore était sur ses dents.

Mais ce jour là, je la vis se transformer,
En un nuage sombre, prête à me blesser.
Ses lèvres qui faisaient mon bonheur quand il m’embrassait,
Sont devenues un instrument pour me détruire.
Tes paroles me blessent, je suis confuse.

Tant d’injustice dans mon cœur.
Tes paroles sont comme des épées,
Qui me transpercent le cœur ,tu pars,
Mais saches que tu emportes une partie de mon cœur.

Je t’ai pourtant tout donné, pourquoi me fais- tu cela amour ?
Tes pas sont sans retour, et mon cœur n’aimera plus
Comme cela. Tu m’a enlevée l’espoir d’oser aimer,
Et être désiré.

Tant d’injustice dans mon cœur.
Tu m’a brisée à jamais, humiliée, délaissée je me sens.
Pourquoi as-tu ignoré mon amour ?

Pourquoi amour cette trahison ?
Tant d’injustice dans mon cœur.

Poème : me permettrais – je tu ?

Me permettrais -je tu ?
De poser mon regard d’amour sur toi.
Me permettrais-je tu ?
De te dire combien je t’aime.
Combien l’amour que j’ai pour toi,
Dépasse tout sur cette terre.

Me permettrais –je tu ?
De te le dire, de t’ouvrir mon cœur,
Pour te dire ‘’ je t’aime ‘’.

Oui, je t’aime d’un amour sans pareil.
Cet amour, me rend impuissant,
Me désarme , quand tu me déçois parfois.
Rien que de penser à toi, le souffle dans
Mon cœur veut me quitter.

Cet amour me donne des ailes,
De tout affronter, de tout survoler dans La journée .
Afin d’attendre l’heure de notre rencontre.

Si l’amour était un vêtement,
Je m’habillerais aux couleurs de l’amour
Chaque jour pour que tu vois, combien je t’aime.
Je refuserais de porter autre chose,
Que ce vêtement Car l’amour, m’a façonnée.
L’amour est mon souffle,
L’amour est ma destinée.

Poème : qui prendra mon cœur.

J’ai le cœur sur la main,
Allant de porte en porte.
Pour essayer de trouver , qui veut
Accepter de prendre mon cœur.

Je souffre ou - dedans,
D’une souffrance que seul l’amour peut guérir.
Je tends la main rien, j’espère voir un visage,
Pour commencer une histoire mais mon
Espérance est déçue.

Et pourtant tous les signes sont là,
La saison nous est favorable , même
Le ciel chante pour nous , je me sens si mal,
Si honteux je suis le seul à ne pas brûler
Au couleur de l’amour.

Ai, j’ai mal, mon cœur fait mal de ne pas voir
Mon attente arrivée, je suis triste d’envi d’être aimée.
Ma couche la nuit, se remplit de pleurs,
De pleurs que personne ne peut voir.
ET ces pleurs m’amoindrissent chaque jour.

Mon cœur est déjà atteint, des brûlures de cet amour.
Mais il me faut juste du bois, pour qu’il soit partagé.
Mais je n’ai pas trouvé de buissons secs dehors.
Et à force de le garder sans buisson, il finira par
S’éteindre, et la cendre prendra le dessus.

Poème : lequel

Rien n’égale ce sentiment.
Rien ne le vaut.
Lequel.
Celui qui est à l’origine de notre existence.
Celui qui nous fait apprécier la vie chaque jour.
Lequel.
Celui qui illumine nos vies, malgré la difficulté,
La maladie, et la pauvreté, il nous permet
D’espérer au- delà même de l’espérance.
De voir claire même quand il fait nuit.
Lequel.
Ce sentiment nous donne des ailes d’avancer
A toute allure dans la vie ,il nous permet,
Même après naufrage d’orienter nos vies,
Vers des meilleurs horizons.

Comme un homme toujours en croissance,
A la recherche de nouvelles et meilleures portes.
Ce sentiment c’est l’amour. Nul ne peut vivre
Sans être, sans aimer.

Poème : je l’accepte pour toi.

J’accepte de vivre tout pour toi.
J’accepte d’être rejeté, incompris,
Méprisé et même humilié,
Seulement pour toi.

Pour toi, je vendrais tout.
Pour toi, j’ai déjà tout donné,
Sans reprendre .J’ai donné mon cœur,
Mon âme, et même toute ma disponibilité.
Car rien, ne vaut ton amour,
Rien ne vaut ta douce et sainte présence.

Tu es la trouvaille de toutes mes recherches.
La réponse aux questionnements de mon existence.
Le trésor, de tous les trésors.
Tu es mon souffle, tu es la vie, la lumière,
Dont a besoin mon âme pour vivre.

Car ta présence, est plus agréable que tout.
Elle me fait exister, et me fait me sentir unique.
Je pardonne tous ceux qui me frappent, m’accable,
M’isole, Ils ne savent pas, mais seul ton amour me fait vivre.

J’accepte de souffrir, pour le moment,
Pendant mon séjour sur terre ,je surmonte tout ceci,
Grâce à toi, grâce à ton amour ,parce que je sais,
Que le jour viendra où nous nous aimerons,
Face à face, je te verrais enfin tel que tu es.

Poème : pourquoi m’éloigner d’eux.

Mais pourquoi, pourquoi m’éloigner d’eux.
Eux qui sont une partie de moi, ils sont ma raison de vivre.
La raison de toutes mes batailles.

Pourquoi m’avez-vous éloigné d’eux ?
Le fruit de mon amour , j’ai mal, je pleure.
Oui je pleure des larmes de douleur,
D’amour manqué, et surtout privé d’accomplir
Mon rôle de mère.

Pourquoi m’éloigner d’eux? Leur absence
Est une souffrance que rien ne peut combler.
Seule leur présence peut le faire.
Dans les épreuves de la vie, ils sont mon sourire,
Et mon espérance, je peux esquisser un sourire,
Car je sais que bientôt on sera réuni.

L’amour, est plus fort que la haine,
Il fait tomber les obstacles les plus dures.
Oui, j’ai mal dans mon cœur, mes entrailles
Trésaillent de tristesse, car ils m’ont pris ceux que
J’ai porté dans mon sein, pendant neuf mois.

Mais je garde espoir chaque jour, que je les
Reprendrais, oui je les reprendrais,

Et pourrais seulement vivre en paix,
Et être heureuse de nouveau.

Poème : à moi le règne.

Sous un ciel ouvert, je sers mon Roi.
J’honore mon Roi, et je le respecte.
Sous un pouvoir reçu, transmis, et intègre.
Je fus dirigé, en le servant de tout mon cœur.
Dans l’abondance, j’ai grandi ma nourriture fut la manne.
Mon air était aussi doux qu’il soit.
Dans la joie, j’ai servi mon Roi élu du peuple.

Puis soudain ! Je vis le jour perdre son éclat,
Je vis la lune devenir en pleine nuit, devenir soleil.
Je vis la verdure, devenir de couleur noir.
Le jour où son fils, assoiffé de pouvoir tua le Roi.
Oui sa majesté est morte.

Adieu des années de bonheur.
Adieu des années d’agapè.
‘’ Je vous prodiguerais le fouet dit-il ‘’ animé d’une grande
Soif de pouvoir, d’une grande soif de diriger.
Et d’un mépris des choses sacrées et saintes.
Qui deviendrais-je ?
Qui serais-je ?
Qui entendrait mes cris ?

Le cri d’un serviteur loyal à son maitre.

Qui l’a vu s’écouler sous les balles de son propre sang.
Oui c’est le désordre total, le peuple cri, cri, gémi,
Et moi sanglotant de pleurs ,je console une Reine,
Qui avait toujours su être là , pour le peuple, pour son mari.
Tout en refoulant de toutes ses forces, l’avenir sombre qui nous attend.
Et qui est déjà là.

Oui, le Roi est mort, il fut assassiné,
Que pouvons-nous faire, sinon pleurer.
Que pouvons nous dire, sinon le silence.
Seul le divin, peut avec force nous délivrer de ce dictateur,
De ce meurtrier, qui promet de nous faire baver
De toutes les couleurs.

De jour en jour, je n’espère que nos larmes,
Monteront au trône très saint de gloire,
Et que notre royaume et nos vies reprendront notre destinée

Poème : une fidélité pas toujours à notre
avantage.

Un jour sest levé,
Une semaine est passé,
Un mois s’est écoulé.
Qu’en est-il de toi, de moi, de nous ?
Si je pouvais stopper le temps, pour lui dire attends.
Car si tu pars, je suis fini, je meurs.

Je meurs parce que, le temps pour moi n’est pas venu.
Qu’ai-je fais ? Qu’ai-je accompli ?
Mon bilan est mauvais, peux- tu m’accorder encore
Quelques jours ? , quelques mois ?
Parce que je ne suis pas fini, mes projets
Pour d’autres, pour certains ,je suis en retard
Sur tous les plans ,pas question de partir,
Sans apporter avec moi ,mes exploits, mes réussites.

Mais malheureusement, la fidélité du temps ne nous
Convient pas toujours,il n’oublie aucun humain, il remplit
Fidèlement devant le divin. Sa tâche, sa mission, que lui avait
Assigner le divin depuis le commencement,

Le jour sait quand se lever, et quand s’assoir.
La lune sait et où apparaitre à nous en tant qu’humains,
De veiller avec l’aide du divin à ce que nous puissions faire les choses à temps.
Au bon moment et au bon endroit , Car la réalité est parfois dure à accepter.
Mais le temps court a sont but, vit selon ce qu’il avait été fait.
Que chacun se conforme à être ce qu’il doit, a réussir tout au bon moment,
Au bon endroit pour ne passer à côté de sa destinée.

Poème : Canaan

Fini le dur labeur ,
Fini la stérilité,
Fini les dures labeurs.
Nos mains sont devenu trop dur,
A travailler une terre ingrate.
Une terre qui ne nous a jamais rendu,
Le fruit que nous méritons.

Nos enfants ont trop pleuré.
Nos femmes ont trop travaillé.
Nos hommes ont trop attendu, l’inimaginable.

Maintenant les choses ont changé,
Grâce à un de nous ,oui, grâce à sa fidélité,
A se distinguer de tous, devant le divin.
Personne d’entre nous ne l’avait jamais connu,
Personne d’entre nous ne l’avait côtoyé.
C’est grâce à lui que nous pouvons dire.

Adieu ! Les années de dur labeur,
Nous allons enfin récolter sans sémer,
Manger sans acheter, boire sans creuser de puits.
Car nos pères avaient su le faire pour nous,

A nous une terre qui ruisselle de miel, de lait,
Dons la verdure est de plus rare, et dépasse toute beauté.

Oui nous ne ménagerons aucun effort,
A manger des fruits de ce sol, nous sommes des héritiers bénis.
Nous héritons d’une terre, que ne nous pensons pas posséder un jour.
Seuls nos rêves pouvaient nous donner, le goüt de vivre sur une telle terre.
Pour se consoler que demain, les jours seront meilleurs,

Mais même le rêve avait dépassé, notre entendement.
La réalité est plus que merveilleuse ,le soir sous ma couche,
Je soupire, je souris, à ce bonheur que nous vivons.
Le passé remplit de douleurs devient pour nous,
Un lointain souvenir .Oui ! Dieu nous fait grâce,
Et sa parole ne trahit jamais.

Poème : le pouvoir

Tout le monde veut avoir le pouvoir,
Tout le monde veut le posséder .
Pensez vous que tout le monde peut le porter ?
Laissez-moi-vous dire que non,
Le pouvoir est plus lourd qu’une plume.
Le pouvoir est plus lourd qu’une feuille de papier.

Le pouvoir.

Personne ne veut accepter, que chacun a sa mesure
Qu’il peut porter , assumer.
A chacun selon ses capacités,
A chacun selon ce qu’il peut porter,
Pour rester lui-même.

Le pouvoir.

Je peux le comparer à une porte ouverte.
Avant d’entrer rassure-toi d’être bien qualifié.
Rassure toi que c’est bien ton poids,
Pour ne pas te perdre par tes propres convoitises.

Le pouvoir.

L’homme sage sait, et médite sur ce qu’il veut,

Sur ce qu’il peut, une fois qu’il est sûr de gagner,
Tout en ajoutant une valeur à sa vie il se lance.
Pour le posséder, l’habiller et en être le maître.
Il est aussi doux que le miel,

Le pouvoir.
Mais il en a perdu beaucoup à cause de leur manque de sagesse.
Il voulait s’afficher, nourrir leur propre égo.
Devenir le maitre de ses amis, être celui qui dit.
Mais si on regarde bien ses gens, ils nagent
Dans leur propre costume, criant à l’aide.
Leur orgueil ne les permet pas de dire que,
Le bateau est en plein naufrage.
Ils ne renonceront pourtant pas.
Au risque de perdre leur aspect important.
En ignorant que c’est le fruit qui se fait distinguer,
Et non le contraire.

Poème : loin

Loin,
Loin,
Loin.

Je ne suis loin, pas prêt.
Je suis prêt, mais absent.
Les yeux nous sépare,
Le cœur nous rapproche, et nous éclaire.
Il est la réponse à notre amour.

Loin,
Loin,
Loin.

Le cœur n’est jamais loin, les yeux si.
Mes sentiments sont là , pour toi.
Loin au pas, je t’aime et t’aimerai toujours.
Mon cœur bat, jour et nuit pour toi.
Si les bisous, étaient de l’eau je t’enverrai la mère.
Si les câlins étaient les feuilles, je t’enverrais des bouquets
De rose mais la plus belle rose est dans nos cœurs,
Je m’extasie à l’idée de nos retrouvailles.

Loin,
Loin,
Loin.

La distance ne tue pas l’amour.
Mais il le solidifie, il ne le sépare pas mais le rapproche.
Quand viendront les lions, pour essayer de te dévorer.
Que ton cœur te serve t’appui, et de réconfort.
Que jamais je ne te quitterais. Nous vivons,
Dans le cœur l’une dans l’autre.

Loin,
Loin,
Loin.

L’espérance trace toujours, nos pas.
Car l’amour est toujours au rendez- vous.
Et sa fleur, une rencontre.
Sa maison notre union,
Sa racine notre amour.
Ses fruits notre progéniture.

Loin,
Loin,
Loin.

Poème : mon cœur, un abri.

Mon cœur pour t’aimer,
Mon cœur un abri.
Mon cœur disponible pour toi,
Pour t’aimer, te protéger, te couvrir.
Mon cœur un abri, quand tout t’accuse,
Tout s’écroule autour de toi , mon cœur,

Sera toujours ton abri quand tout te trahira,
Quand tout te délaissera souviens toi de moi.
Que mon amour pour toi, te fasse revenir dans

Ton lieu de sécurité.

Mon cœur est à toi.
Pour toi, je ferais tout, je donnerais tout,
Je m’humilierais, cracher dessus, traiter de tout,
Suspendu même en plein air, pour te délivrer
De tes accusateurs.

Mon cœur un abri, Mon cœur un ami,
Mon cœur une famille, mon cœur une solution.
Personne ne peut m’éloigner de toi.
Tu restes, resteras graver dans la paume de ma main,
Et dans mon cœur.

Que les yeux ne te trompent, Que ton cœur soit ta lampe

Qui te guide, guidera toujours sur le bon chemin
Comme un miroir de mon reflet en toi.
Oui, je vis en toi, à travers lui.
Mon cœur un abri, qui ne faillira jamais.

Poème : plume d’or.

A travers elle j’écris,
Je m’écris je redresse les courbes de la vie,
Toutes les lignes courbes et brisées.

Plume d’or.

Toujours la, une arme non de guerre.
Mais une arme pour aider, guider, permettre
Ainsi à tous mes lecteurs de pouvoir changer leur vie,
Et apporter la lumière dans leurs ténèbres.

Plume d’or.

Une espérance, un fleuve d’eau vive.
Une arme pour briser l’aveuglement,
Briser les intelligences emprisonnées, et les idées.
Oui, désormais je m’étends, je tends la main à celui
Qui est dans le besoin.

Plume d’or.

Et le soir quand je m’en dors, je compte faire mémoire
Des personnes que ma plume a aidée .
Désormais pour moi ,chaque jour est un challenge.


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