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Published by Dr. Emmanuel NGAHA Consultant en Dev Durable, 2019-09-16 04:07:40

livre cooorrige2

livre cooorrige2

Pour que la lumière ne soit plus, qu’une lampe.
Mais devienne les étoiles qui éclairent éclairent dans le ciel.

Poème : Noir

Je suis noire, et très belle.
Belle fille d’Afrique, teint d’Ebène.
D’une beauté comparée à celle de l’aurore,
Et dont la jeunesse est comparée à
Celui du soleil dans tout son éclat.

Ne prenez pas peur, à mon teint basané.
Car c’est même là, oü est toute ma beauté,
Toute ma différence .Je suis d’une beauté rare,
Seul être humain de couleur noire sur terre.

Parmi mes frères de teint blanc,
Il y ‘eut scission, certains se sont emportés contre moi.
Et m’ont mise à l’ écart, ils m’avaient envié dans leur cœur,
Et on manifeste en plein jour le dégoût pour elle.

Mais jamais ceci n’a pu l’éteindre,
Jamais ceci n’a pu l’amoindrir sa beauté grandit,

Et devient un arbre qui attire maintenant ses frères.
Démasquer, ils viennent pour célébrer avec elle sa beauté.

Tu es belle, tes yeux comme des colombes.
Tes cheveux de couleur noire de jaie, couvre ainsi
Ta tète comme un diadème, dont les pierres

Sont d’une valeur inestimable.

Tes dents aussi blanches que la neige,
Chacune elle a sa jumelle et font la beauté de ton sourire.
Car il illumine le monde ,tes lèvres distillent le miel vierge.
Tu es toute belle, sans tache .Il Y’a plusieurs femmes sans nombres,
De différentes races mais tu les surpasses toutes, tu es unique
Les autres t’ont vu, et font ton éloge.

« Qui est celle-ci qui surgit
Avec son teint noir ? Belle comme l’aurore !!!!
Que tes pieds sont beaux dans tes scandales,
Fille unique, belle fille d’Afrique dans ton élan
Tu ressembles à un palmier.

Les battements de ton cœur, alimentent
Notre univers. Et peuvent nous dire de quelles couleurs
Seront notre belle Afrique, que tu es belle et charmante.
Oh beauté !!! Au teint noir, oh délices de toute la terre.

Poeme : Maman gaboma.

Maman gaboma, ta beauté, ton élégance,

Tes rondeurs, tes courbes
L’arome de ton parfum, fait tomber
Plus d’un , ta beauté, est désormais
Connue de tous, tu as su, attirer à toi,
Tu as su séduire, envoüter.

Oui, envoüté par ton nom, qui s’épanche
Comme une huile .Oh maman gaboma, toi ma
Gentille reine, je ne vis que pour toi.
J’ai mal, oui j’ai mal, si ta beauté causait
Ta perte, si ton charme, à tout jamais te
Conduis sur le mauvais chemin .Tu es
Une reine et chaque reine mérite son roi.

Quand je pense à toi, j’ai peur.
Peur qu’en pensant à toi, quelqu’un
Me vole à toi .Tes désirs me transforment,
Et tu sais me rendre meilleur ,un homme que tous
Convoitent, parce que je partage ta vie et ton cœur.
Maman Gaboma, je me lis dans ta beauté,
Qui fait parler d’elle dans les villages, les campagnes,
Et dans la ville de Libreville ,que demanderais- je d’autre,
Que tu sois à moi pour toujours.

Ta beauté m’a séduite, mais attention !!!!

Seul ton choix fera de toi, maîtresse et gardienne
De celle-ci .Tous te convoite, maman gaboma moi je t’aime.
Attention !!!! Car autour de toi, rôdent toujours ces
Mauvaises herbes qui veulent te souiller.
Ils veulent profiter de toi, de tes caresses,
De ton baiser,moi je veux t’honorer,
Faire de toi une reine pour toujours.
Oh maman gaboma.

Poeme : quand je souffre

Quand je souffre j’écris.
Je n’écris pas pour noyer ma peine,
Mais pour me soulager, oublier,
Ou m’évader d’un bref instant,
De cette souffrance ,et trouver dans mes
Ecris le moyen, la solution de ce qui me
Tourmente ,de ce qui m’avait volé la joie de vivre.

Quand je souffre.

Ma plume qui est une lumière, me conduis vers le chemin.
La souffrance dans ce cas, devient pour moi une évidence
Passagère .Je peux voir à travers la nuit, un changement
De ma situation.

Quand je m’écris.

J’écris et mes mains me détendent.
Mon cœur me réconfort, ma vue m’éclaire.
Afin de trouver dans ce long tunnel noir,
La lumière qui m’attend au bout.

Quand je souffre.

J’écris et je m’écris pour que mes écris m’éclaire,
Et que cette lumière fleurisse en moi,
L’espoir d’un monde nouveau.
Dans lequel je me vois autre que maintenant.

Quand je souffre.

J’écris et à travers ma plume, mes pleurs deviennent
Des vers, ses vers m’apportent des solutions,
Me réconforte du lendemain ,mes vers essuient mes larmes,
Apportent dans ma vie la joie perdue, l’espoir perdu,
Tout en traçant pour moi l’espoir d’un lentement meilleur.


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