4-2 Monique Lemaire

DÉJÀ 15 ANS MIEUX VIVRE AU QUOTIDIEN






le bulletin de l'AQRP section Drummond SEPTEMBRE 2002

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VOTRE CONSEIL D'ADMINISTRATION




Alcide Pelchat, président 478-4274

Yvonne Pratte vice-présidente 478-3200 Rita Bathalon Blanchette vice-présidente 475-0239
Gérald Lévesque, secrétaire 478-5903 Henri Malenfant, trésorier 472-4676

Directrices et directeurs

Thérèse Lévesque Gardon 478-1593 Rémi Blanchard 477-3377
Roger Bérard 478-3516 Irenée Allard 474-5526

Fernand Gagné 477-3247 Claude Goulet 478-1583



Aumonier : Gaston Bergeron 474-3754




Membres du comité de rédaction de La Rumeur :


Mmes : Monique Champagne; Côme Nolet;
Thérèse Gardon; Henri Malenfant;
Léonne Ouellet; Rémi Blanchard.
Carmen Pariseau;
Yolande Plasse;
Mariette Rousseau.
M.M. : Gérald Lévesque;




PROCHAINE ACTIVITÉ



Souper de Noël


Date : 12 décembre 2002
Heure : 17 h 30 cocktail, 18 h souper
Endroit : Hôtellerie le Dauphin
Prévente : 6 décembre de 13 h 30 à 16 h.
Coût : 20 $ en prévente, 24 $ à la porte.



Remarques :
Cette année, pas de victuailles pour le Comptoir alimentaire, à la place
un tirage de 50$, dont toutes les sommes iront au Comptoir.

Le coût du repas en prévente est de 20$, soit une remise de 4$ aux
membres.

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Faire plus ample connaissance avec...






Aujourd’hui on a la chance de vous ‘maîtresse d’école’? Elle-même chez les religieuses de la Pré-
présenter une femme qui a fait sa ne s’en souvient plus! sentation-de-Marie à Saint-
marque au sein de notre association Hyacinthe d’où elle sort avec son
soit Monique Lemaire Raiche.
Son passage au primaire ter-
miné, Monique est inscrite à diplôme d’enseignement obtenu
avec grande distinction.
U l’Académie Notre-Dame-de- ‘grise’ de Saint-Bonaventure
n 29 novembre, Mon-
C’est à la même petite école
Lorette dirigée par les religieuses
sieur Alphérie Lemaire
de la Présentation-de-Marie à
et Madame Robertine
Lachapelle de Saint-
l’enseignement aux petits de 1
suivre son secondaire.
Bonaventure accueillent avec un Saint-Hyacinthe afin de pour- qu’elle débute sa carrière dans
grand bonheur une belle petite
e
fille blonde, 3 enfant de leur fa-
mille qui s'agrandira jusqu'à 7 en-
fants soit 4 filles et 3 garçons.

Ce nouveau bébé reçoit le
prénom de Monique. L’enfance
de Monique est très heureuse au
milieu de ce foyer rempli
d’amour. Monique est une petite
fille joyeuse un peu espiègle.
Comme ses frères et sœurs, elle
participe à plusieurs petites acti-
vités sur la ferme paternelle.

Un jour de septembre, elle
quitte ce foyer douillet pour com-
mencer sa formation à la petite
école ‘grise’ du village. Apparem-
ment, c’est une bonne enfant stu-
dieuse mais toujours active et en-
jouée. Un jour alors que son père
traverse le village sur son trac-
teur, il voit une belle petite aux Monique Lemaire
tresses blondes, à genoux sur la
galerie de l’école. Mine de rien, il
poursuit son chemin, mais au
moment du dîner en famille, il Comme Monique aime bien
mentionne gentiment ce qu’il a vu les communications et les
à l’école, sans plus. Qu’a donc jeunes, c’est tout naturellement
fait cette petite pour mériter une qu’elle se dirige ensuite vers
telle correction de la part de la l’École Normale Marie-Rivier, (Suite page 5)

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Bonne Fête Ha Ha ...



ANNIVERSAIRES
RE- FÉVRIER
NÉ
DÉCEMBRE DE-
FOY 1 ROCK BEAU- DET
ANDRÉE CORRIVEAU 1 PAUL BERNIER 2
CONRAD ROBIDAS 1 CLAUDETTE DUBOIS 2
YOLANDE PLASSE 2 RENÉ BRODEUR 3
LOUISE DESROSIERS 5 MONIQUE YERGEAU 4
LUCILLE ROUX 6 MAURICE PARENT 4 2
COLETTE LEMAIRE 7 GISÈLE LAUZIÈRE 4 LOUISE MERCURE 2
ROGER LEMOYNE 7 ANTOINETTE MONDOUX 5 HUGUETTE CÔTÉ 4
YVAN MAILLETTE 7 HENRIETTE ROY 6 MARIETTE ALLY 6
GILBERT DESHAIES 8 MICHELINE MARTEL 7 EDMOND DIONNE 8
CÉCILE LEMIRE 9 CLAUDE CABANA 7 JACQUES BEAUDOIN 9
PAUL FOURNIER 10 THÉRÈSE BOUSQUET 8 MARCELLE POULIOT 10
GUY LEBLANC 10 JEAN-JACQUES PINARD 8 GILLES CHAREST 11
LUCILLE DEMERS 13 JACQUELINE LAMARCHE 12 WILFRID TESSIER 14
THÉRÈSE BIBAUD 17 GÉRARD J. C. ALLARD 14 NORMAND DUBOIS 14
ROBERT BLANCHETTE 18 MARTIAL PROULX 15 HÉLÈNE BIRON 15
LUCILLE BONNEAU 18 GERTRUDE BEAUDOIN 15 GUY DESROSIERS 17
THÉRÈSE L. THERRIEN 18 ROSAIRE DUPUIS 16 GAÉTAN LUPIEN 17
RENÉ LAUZIÈRE 20 MARCEL LEMAIRE 16 JEAN-PAUL VALLÉE 18
ROGER BLANCHARD 21 LISE GAUTHIER 17 THÉRÈSE ARSENAULT 19
NOËLLA CÔTÉ 22 CLERMONT GAGNÉ 17 JACQUES BERTHIAUME 19
DENIS LEFEBVRE 22 DENYSE MOREAU 17 JACINTE CLAIR MICHAUD 20
MADELEINE LEMIRE 22 GERMAINE PROULX 18 CLAUDE DIONNE 20
JACQUELINE HÉLIE P. 23 JEAN-LUC ALIX 18 GILLES VÉRONNEAU 21
NOËL POTVIN 23 MARCELLE T. PINARD 19 GEORGETTE CROTEAU 22
GUY THOMAS 23 MICHELINE MAILLETTE 20 GILLES SAVOIE 22
NOËL RONDEAU 24 FERDINAND PELLETIER 22 FLORENCE GENDRON 23
JOCELYNE R. GODBOUT 24 LUCIEN LAFONTAINE 25 ANDRÉ GRAVEL 24
MARCEL DESROSIERS 25 ALINE PAQUIN 25 RUTH P. VEILLEUX 25
JACQUELINE DEMERS 28 ANDRÉE FONTAINE 25 JEAN-PAUL TESSIER 26
RODRIGUE PERREAULT 28 CÉLESTIN BOISVERT 26 RENÉ FRÉCHETTE 27
SIMONE CHABOT 29 COLETTE PINARD-GIRARD 27
MADELEINE TÉTREAULT 30 MARIE-A. SIMONNEAU 28
JEANNINE HOULE 31 CLAIRE BOUCHER 28
IDA LESSARD 31 HENRI COURNOYER 28
LOUIS J BONNEAU 29
JANVIER ANDRÉ BOUSQUET 30
GASTON CADORETTE 30

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(Suite de la page 3) pour le groupe duquel tu fais par-
tie. Reste comme cela longtemps
avec nous. Nous t’aimons et t’ap-
précions beaucoup.

Tu es née sous une bonne
étoile, tout te réussit, même un
récent 224 aux quilles!..


Amicalement,


Léonne Ouellet

Yolande Plasse






















bien mise et très représentative



Un moment de recueillement


Viateur Deschênes
Thérèse Desrosiers


L'AQRP offre ses condoléances aux familles éprouvées.

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Les visiteurs inattendus





Prenons quelques instants pour réfléchir sur ce conte de Noël d’après un poème de Helen Steiner



iméon, le vieux cordonnier, vivait seul dans pas d’un visiteur. « C’est Lui! ». Vitement, il
S un petit village perdu au creux des Ro- ouvre toute grande la porte. C’est un passant,
cheuses. Ses deux enfants partis pour les États ne affamé, vieilles bottines aux pieds, manteau
lui écrivaient pas souvent. Sa femme, depuis troué sur le dos. Ému, le vieux Siméon lui donne
longtemps, l’avait quitté pour un ciel plus serein. ses propres chaussettes et quelques vêtements
La franche et cordiale hospitalité du vieux Si- plus chauds.
méon lui avait mérité l’estime de tout le monde.
Les douzes coups de minuit depuis long-
Or voici que la nuit précédant Noël, le Christ temps se sont éteints dans la nuit. Déçu, épuisé,
Jésus lui apparaît en le vieux cordonnier tombe
songe : « Siméon ! dans un profond sommeil.
Siméon ! Ce soir, Soudain, il sursaute, ses yeux
c’est Noël. Je viens ont peine à soutenir la lu-
chez toi ». mière éclatante qui baigne sa
maison. Une voix très douce
Le cœur plein appelle le vieux Siméon. Il la
d’une sainte joie, le reconnaît : c’est le divin Visi-
sympathique cordon- teur!
nier nettoie la bou- - Siméon!
tique, prépare le re- Siméon!
pas, déblaie la der- - C’est toi,
nière neige, décore Jésus?
l’humble cabane. - Oui, Si-
Tout est prêt pour méon!
accueillir dignement - Seigneur,
le divin visiteur. pourquoi n’es-tu pas venu?
J’ai attendu en vain toute la
Voilà qu’aux nuit. Pour toi, j’avais tout
coups de l’horloge, Siméon entend frapper à la préparé, nettoyé, décoré. Je désirais tant te voir.
fenêtre. Il accourt, ouvre la porte; c’est un enfant
tout en pleurs qui cherche sa mère. Vitement le - Mais, Siméon, relève la tête.
vieux Siméon rassure l’enfant et se hâte de le J’ai tenu promesse! À trois reprises, ce soir, j’ai
reconduire à ses parents. franchi le seuil de ta porte. À trois reprises, tu
m’as accueilli : l’enfant tout en pleurs, la grand-
Le vieux cordonnier attend toujours avec mère toute transie, le mendiant affamé, c’était
hâte l’invité de marque, lorsqu’on frappe à nou- MOI!…
veau à la porte. Entre alors une vieille grand-
mère, toute courbée sous les ans et grelottante. (Texte recueilli par Yolande Plasse)
« L’hospitalité, monsieur, pour l’amour de
Dieu! » La chambre d’hôte est bien prête, mais
ce sera pour le céleste Visiteur. Pris de pitié, Si-
méon offre à la vieille grand-mère un bon thé
bien chaud et quelques galettes.

L’horloge égrène encore les heures, lors-
qu’une troisième fois, le vieux Siméon devine le

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Redevenir un enfant...





ar la présente, je veux donner ma démis- travers le mémèrage quotidien, la maladie et la
sion du monde des adultes. J'ai décidé perte d'êtres chers.
P d'accepter de reprendre les responsabili-
tés d'un enfant de huit ans. Je veux croire au pouvoir du sourire et des
caresses, à un monde gentil, à la vérité, à la
Je veux aller au McDonald en pensant que justice, à la paix, au rêve, et à l'imagination en
c'est un restaurant 4 étoiles. Je veux croire que créant de petits anges avec la neige sur le
les M&Ms sont meilleurs que l'argent point de tomber.
parce qu'on peut les manger. Je veux
installer, avec mes amis, sous un Donc... voici mon carnet de
grand chêne, un kiosque de limonade chèque, mes clefs d'auto, mes cartes
par une belle journée ensoleillée de de crédit, mes comptes à payer et ma
l'été. lettre de démission. Je me retire offi-
ciellement du monde des adultes.
Je veux remonter dans le temps
jusqu'au moment où ma vie n'était Et si vous voulez en discuter avec
que couleur, table de multiplication et moi, vous devrez être vite sur vos pa-
rimes de gardienne alors que rien ne tins parce que voyez-vous... "TAG",
me dérangeait parce que je ne savais vous êtes touché !
rien et que je m'en foutais. La seule
chose qui importait était d'être heureux car
j'étais tout à fait inconscient des choses qui recueilli par Rémi Blanchard
pouvaient me tracasser et me choquer.

Je veux croire à nouveau que le monde est
juste, que les gens sont honnêtes et bons. Je
veux croire que tout est possible. Je veux être
inconscient des complexités de la vie pour
m'attarder, m'émerveiller et m'exciter avec
toutes les choses simples de la vie.

Je veux revivre simplement, ne plus voir
mes journées consister en pannes d'ordinateur,
en montagne de travaux à faire, en nouvelles
négatives, en comptant les journées où je pour-
rai vivre normalement dans le mois en comp-
tant l'argent que j'ai à la banque et tout ça à

Page 8 La Rumeur
Un peu d'humour...




Bière et hormones femelles
8. Terminez toutes vos phrases par "selon la prophé-
Pour vous mettre de bonne humeur. tie".

Ce week-end, avec quelques amis, on discutait de 9. Ajustez la teinte de votre moniteur de façon à ce
choses et d'autres, lorsque l'un de nous sort : " hé les que le niveau de luminosité illumine tout le bureau.
gars, j'ai lu quelque part qu'il y avait des hormones Insistez auprès de vos collègues que vous aimez ça
femelles dans la bière ! ". comme ça.


Vu qu'on est un peu scientifique dans l'âme, on a 10. N'utilisez aucune ponctuation
décidé de vérifier la véracité de ces propos. Du coup,
on a vidé une vingtaine de canettes, dans l'intérêt de la 11. Aussi souvent que possible, bondissez plutôt que
science bien sûr. Le résultat de cette expérience est marchez.
stupéfiant.
12. Demandez aux gens de quel sexe ils sont. Riez de
Au bout de 20 tournées : façon hystérique de leur réponse.
- on avait tous pris du poids;
- on parlait beaucoup pour ne rien dire; 13. Spécifiez que votre commande au service au vo-
- on éprouvait des difficultés à conduire correctement; lant est "pour emporter".
- il nous était impossible de tenir un raisonnement
simple; on refusait obstinément de reconnaître qu'on 14. Chantez avec les interprètes à l'opéra.
avait tort, même lorsque c'était évident;
- pour couronner le tout, on allait uriner toutes les 15. Assistez à une soirée de poésie et demandez pour-
5 minutes, tous ensemble, en plus on devait faire ça quoi les poèmes ne riment pas
assis....
16. Découvrez à quel endroit votre patron magasine et
Je pense qu'il est inutile de pousser l'expérience plus achetez exactement les mêmes vêtements. Portez-les
loin : il y a bien des hormones femelles dans la bière. une journée après votre patron. (C'est particulièrement
efficace si votre patron est du sexe opposé.)

17. Appelez une ligne de médiums et ne dites rien.

Dose de folie 18. Lorsque l'argent sort du guichet automatique,
criez "J'ai gagné, j'ai gagné!" "C'est la troisième fois
1. À l'heure du lunch, assoyez-vous dans votre voiture cette semaine!!!"
avec vos verres fumés et pointez un séchoir à cheveux
vers les voitures qui viennent dans votre direction. 19. En quittant le zoo, courrez vers le stationnement
Regardez-les ralentir. en criant "Au secours, ils se sont échappés!."

2. Demandez-vous à l'Intercom. Ne déguisez pas votre 20. Dites à votre patron: "Ce ne sont pas les voix dans
voix. ma tête qui me dérangent, ce sont les voix dans TA
tête."
3. Si quelqu'un vous demande de faire quelque chose,
demandez-lui s'il aimerait des frites avec ça. NDLR. L’auteur de ces conseils est toujours au 7e
à l’hôpital Ste-Croix. Si vous allez le visiter, appor-
4. Développez une peur irrationnelle des brocheuses. tez-lui des oranges.

5. Mettez du café décaféiné dans le percolateur pen-
dant trois semaines. Une fois que tout le monde a sur-
monté son besoin de caféine, changez pour de l'espres-
so.

6. Dans la partie "note personnelle" de tous vos
chèques, inscrivez "pour faveurs sexuelles".

7. Répliquez à tout ce qu'une personne dit par "c'est
ce que tu penses".

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Bon à s’en lécher les doigts...





Celeri à l’ancienne 1 1/2 tasse de vinaigre
1 citron non pelé coupé en quatre
Ingrédients 3 tasses de sucre
1 celeri
2 oignons Préparation
1 carotte moyenne Dans un bol, déposer les poivrons hachés et le
2 tomates pelées et épépinées gros sel, laisser reposer 3 à 4 heures.
1 gousse d’ail Bien égoutter.
1 tasse de bouillon végétal Déposer dans une casserole les poivrons, le
vinaigre, le citron.
Préparation Faire cuire 3 minutes à feu lent.
Choisir un beau pied de celeri, le couper en Retirer le citron, ajouter le sucre.
tronçons. Poursuivre la cuisson à feu lent environ 1
Cuire dans un peu d’eau pendant dix minutes heure jusqu’à l’obtention d’une marmelade
environ. (remuer quelques fois durant la cuisson).
Ajouter les oignons hachés, les rondelles de Verser dans des pots stérilisés.
carottes, les gousses d’ail hachées et les tomates Conserver dans un endroit frais et sec à la
en quartiers. noirceur.
Laisser cuire à feu doux jusqu’à ce que les lé-
gumes soient cuits mais encore un peu croquants.
Ajouter un concentré de légumes si désiré.
Thérèse Lévesque Gardon

Confiture de poivrons

Ingrédients
12 poivrons rouges hachés au robot
1 c. soupe de gros sel




J’ai lu pour vous



teur: Paulo Coelho (traduit du portugais (Brésil)
Titre : L’homme qui rit Auteur : Victor Hugo par Jacques Thiériot
Édition : Nelson, Éditeurs Éditions : Anne Carrière

Deux volumes d’environ 400 pages chacun. Le dé- L’homme est-il bon ou mauvais? Entraînés par un
but m’a paru assez difficile parce que l’auteur pré- mystérieux étranger, les habitants d’un petit village
sente et situe les différents personnages du roman ont une semaine pour choisir entre le Bien et le Mal.
sans faire de lien entre eux. De plus, il fait de longue Une parabole éblouissante sur le combat que se livre
description de lieux, de personnages et d’événements en nous les ténèbres et la lumière, et une réflexion
(v.g. une tempête et un naufrage). Il se fait parfois sur la liberté que nous avons, à chaque instant, de
philosophe, parfois psychologue, et toujours critique choisir notre chemin.
des moeurs et des personnages politiques du temps.
Les personnages évoluent en Angleterre mais avec
de fréquentes références à la France. L’intérêt tarde Côme Nolet
à venir mais il devient, au fil des pages, il devient
très prenant et nous garde en haleine jusqu’à la fin.

Titre: Le démon et mademoiselle Prym Au-

Page 10 La Rumeur



J’ai appris...






… qu’être bon est plus important qu’être fort.

… que la vie est sérieuse mais qu’il est nécessaire de rire souvent.

…que souvent ce dont une personne a besoin, c’est une main qui se tend
et un coeur qui écoute..

...que tenir un enfant endormi dans ses bras est l'instant le plus apaisant
et le plus merveilleux au monde.

…que la vie est comme un rouleau de papier de toilette. Plus tu arrives vers la fin,
plus ça passe rapidement.

…qu’il est heureux que Dieu ne nous accorde pas tout ce que nous voulons.

…que l’argent n’achète pas la classe et la distinction.

…que plusieurs petits bonheurs valent souvent un très grand.

…que c’est l’amour qui guérit et pas seulement le temps.

…que la meilleure façon de progresser c’est de s’entourer de gens meilleurs que soi.

...qu'une réputation se construit en 20 ans... mais se détruit en 5 minutes.

…que plusieurs personnes entreront ou sortiront de ma vie
mais seulement les vrais amis laisseront une empreinte dans mon cœur.

…qu’un sourire est une façon économique d’améliorer son apparence.

…que tout le monde veut vivre en haut de la montagne
mais que le bonheur n'est présent que quand tu l’escalades.

…que ma vie sans mes ami(e)s serait
l’endroit le plus triste au monde.

…qu’hier est de l'histoire, demain est un mystère
et aujourd'hui est un cadeau.




Recueilli par Rita Camiré

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Un grand émoi...



Nous avons lu avec ravissement l’aventure d’une de nos talisman. Les voilà tous agenouillés, cherchant sous le
membres, madame M. R. Notre ami Gérald a réussi à lui soutirer comptoir. On dirait une rangée de musulmans implorant
une autre de ses aventures que nous vous présentons avec un
grand plaisir. Allah. Aucune réponse à leurs supplication. Pas de bijou
sous les meubles!…

Déjà quelques années se sont écoulées depuis ce Désolée, je les remercie et me confonds en excuses
merveilleux voyage qui m’a amenée en Grèce. Quel ma- et je monte à bord de l’autobus qui me ramène à Drum-
gnifique pays de la vieille Europe!.. Les édifices éclatant mondville. Pendant le trajet je passe en revue mes allées
de blancheur étagés aux flancs des montagnes; les ports et venues. En quittant mes amies, j’avais ma médaille.
de mer grouillants d’activités; la mer d’un bleu tur- Lors de mon arrêt au magasin, j’avais ma médaille. Des-
quoise aux reflets de lumière… Ah! Les beaux souvenirs cendant du métro, j’avais ma médaille… Mystère total!
dont recèle ma mémoire!
J’entre chez-moi déçue, fatiguée. Il est tard et mon lit
Une visite guidée nous fit explorer plusieurs sites m’attend. Tout de suite, je me prépare pour la nuit. Je
historiques. Je suis resté béate d’admiration devant ces pends ma robe sur un cintre; je détache mon soutien-
monuments de la culture ancienne. Aussi, n’ai-je pu ré- gorge quand j’entend tout à coup: Gling!...Gling!… Sur
sister à la tentation devant les comptoirs de bijoux et de le plancher roule une pièce de monnaie…. Non! C’est
souvenirs. J’ai ajouté à ma collection de parures un mé- mon médaillon!… Il avait glissé dans mes vêtements….
daillon de belle valeur, frappé à l’effigie du temple Dans le miroir de ma chambre je vois, bien imprimé sur
d’Athena Parthénos, Le Panthéon. En voyage, je me dis, mon sein gauche le PANTHÉON!!!… Tout près de mon
on peut bien se payer une folle dépense; l’occasion ne se cœur!
représentera plus.
Ah! Quel bonheur!… et quel soulagement!…
Depuis ce jour, avec fierté, lors de mes sorties chics,
je porte cette belle médaille comme un reliquaire pré- Je suis toute confuse en pensant à ces gens auprès
cieux. Mais voilà qu’aujourd’hui, je me retrouve au ter- desquels je ne pourrai jamais m’excuser assez de tous
minus Berry-UQAM, à Montréal, de retour d’une sortie mes énervements. Et je remercie le Ciel. Je vais pouvoir
chez des amies. Une demi-heure d’attente c’est long. dormir en paix, dans mon lit comme dans un temple
Juste le temps de me payer une consommation. Mais au grec !
comptoir du bar-restaurant il y a affluence. Je dois jouer M. R.
du coude, tenter d’attirer l’attention du garçon qui courre
d’un bout à l’autre pour servir les clients… Enfin! J’ai Propos recueillis par Gérald Lévesque
mon café que je sirote en me calmant un peu. D’un geste
instinctif je passe la main à mon cou: Malheur!… Plus de
médaille!…

Où est passé mon médaillon?… je regarde sur le
comptoir, sous mon tabouret: pas de médaillon!...Je re-
fais la longueur du comptoir où j’ai passé tout à l’heure,
j’invite les clients du bar à chercher eux aussi le précieux

Nos généreux donateurs




Conscients du rôle joué par La Rumeur, plusieurs
membres ont fait des dons dans le but de participer finan-
cièrement à sa diffusion. On les remercie grandement.

Il est à espérer que cet exemple sera suivi par d'autres. Madame Estelle Forest-David

Même s'ils tiennent à l'anonymat, je crois qu'ils doivent
recevoir autant d'égards que nos autres annonceurs.

Un gros merci
Monsieur Gustave Traversy

Page 12 La Rumeur


Vie sociale et vie paroissiale




Notre ami Gérald Lévesque continue la tendons très bien. Je réunis par la suite les
chronique de sa soeur Marie-Rose, institu- jeunes filles de mon milieu et nous allons deux
trice "dans l'ancien temps". fois par semaine exercer ces chants au village.
Nous voilà toutes les deux emballées par ce
projet. Avec ma sœur, nous formons un groupe
de huit voix. Tout va à merveille. Je les connais
Novembre 1930 débute. Un projet si bien ces chants appris au pensionnat de Ri-
de l’an dernier me trotte dans la tête : un spé- mouski. Lorsque nous avons une répétition gé-
cial pour la messe de minuit du 25 décembre nérale (basses, ténors, sopranos, altos) chez
prochain. J’ai décelé depuis ce temps plusieurs notre organiste, son vieux père s’exclame :
belles voix dans mon entourage. Alors pour- « Je me croirais au Ciel! »
quoi ne pas préparer les chants de Noël pour
la messe de minuit? Ce sera nouveau dans Nous voilà au 24 décembre. Le soir
cette petite paroisse de campagne. même nous partons tôt pour la séance de con-
fessions qui précède la messe. C’est le mo-
Le vieux curé à barbe blanche a ment choisi par monsieur le curé pour vérifier
pourtant ses vieilles habitudes auxquelles il la longueur des robes des demoiselles. Plu-
déroge difficilement. Ce qui existait demeure, sieurs se voient refuser l’absolution. Raison :
mais rien de plus. Il a des idées bien ar- robe trop courte!….
rêtées. Quelques événements récents
me retiennent sur mes gardes. Ainsi, Ma jeune sœur Thérèse, toute
deux jeunes institutrices, des filles de la confiante se présente à son tour au con-
paroisse aux idées avant-gardistes, déci- fessionnal sans aucune arrière-pensée;
dent de raccourcir leurs jupes à hauteur mais elle aussi se fait poser la terrible
des genoux pour le malin plaisir d’attirer question: « Ta jupe est-elle à treize
l’attention sur elles. Résultat : scandale pouces du sol ? » Surprise, ma jeune
dans la paroisse! Du haut de la chaire le sœur qui ne s’est jamais arrêtée à cette
décret tombe: « Les robes des jeunes question lui répond: « Je ne sais pas!
filles ne doivent pas remonter à plus de treize « Résultat : pas d’absolution pour elle non
pouces du sol. » plus! Bouleversée, elle me revient toute blême,
à un point tel que je la crois malade. Nous sor-
D’autre part, l’institutrice du village tons prendre l’air et elle me raconte tout. Je
qui enseigne au niveaux des 7ième, 8ième et suis indignée! Je tente de la réconforter, faisant
9ième année jouit d’une excellente réputation. dériver ses pensées vers la belle messe de
Elle demeure avec ses parents âgés et inva- minuit que nous allons vivre; mais j’aurais le
lides dont elle prend soin. Âgée de trente ans, goût d’aller dire au curé : »c’est votre façon de
elle est en même temps organiste à l’église. nous remercier pour toute la peine que nous
Pour moi, c’est une grande amie. C’est avec nous donnons pour vous organiser une belle
elle que je mettrai à exécution mon projet de fête de Noël! »
messe de minuit. Entre temps, une nouvelle
famille vient s’installer au village. Le père prend Le matin venu, à la messe du jour,
possession du magasin général. L’aîné des fils, beaucoup de paroissiens viennent nous remer-
un garçon instruit, devient rapidement secré- cier, nous féliciter pour ces beaux chants de
taire de la municipalité. Un autre garçon de Noël, comme ils n’en ont jamais entendus dans
cette famille s’intéresse, lui, à l’institutrice- leur église. Cette reconnaissance nous ap-
organiste, ce qui entretient les potins chez ces porte satisfaction et joie pour le bonheur que
dames du village. nous avons créé au sein de la communauté
paroissiale. Et Thérèse, maintenant remise de
Mais décembre approche. Je ren- ses émotions, peut, après coup, reconnaître
contre l’organiste et lui fais part de mon projet. de quel côté est l’erreur.
J’ai la musique et les partitions pour une
messe de minuit à quatre voix. Nous nous en- (Suite page 13)

Volume 4 Numéro 2 Page 13


(Suite de la page 12)
Les jours passent. Le printemps Peu à peu je réalise que ma situa-
venu, notre organiste, fidèle à la tradition éta- tion tient à bien peu de choses. Je ne suis pro-
blie, se rend quotidiennement à l’église pour tégée que par moi-même... et encore! Il suffit
accompagner les chants du « mois de Marie ». de quelques potins, de commérages pour dé-
Or, le fils du marchand, son ami, va la rejoindre truire une réputation. Décidément, les conseils
chaque soir au sortir de l’église et l’accom- de prudence et de discrétion de mes parents
pagne jusque chez-elle où ils s’assoient tous sont bien fondés.
les deux dans la balançoire pour bavarder, et
ensuite entrer chacun chez-eux. Autre scan-
dale! Le curé convoque l’organiste au presby- Marie-Rose Lévesque
tère pour lui recommander de cesser ces allées
et venues dans le village; c’est un bien mauvais propos rapportés par
exemple pour l’entourage. Mais notre institu-
trice-organiste n’en à cure, consciente de ne Gérald Lévesque
faire aucun mal. Elle entretient sa « mauvaise
habitude ». La punition suivra…

Septembre venu, l’impénitente or-
ganiste perd sa classe au village et est con-
trainte d’aller enseigner loin de ses parents, à
l’autre bout de la paroisse dans une école éloi-
gnée, un coin perdu. Tant pis pour les deux
vieillards. Ils devront se débrouiller seuls, cinq
jours sur cinq. Un an plus tard, s’étant mariée
et ayant purgé sa peine, elle reviendra au vil-
lage. Les scandalisés seront satisfaits.


Échos du déjeuner –conférence du 12 novembre 2002





Des membres de l’AQRP ont assisté le leur temps, qui rencontrent des gens intéres-
mardi 12 novembre dernier, à un déjeuner- sants, qui ont des contacts enrichissants, qui
conférence au Dauphin. posent des actes bienveillants qui valent plus
que de l’argent et qui peuvent se dire « Je suis
Madame Lina Lamy de l’organisme à but bénévole et j’en suis ravi »
non lucratif le « Centre d’action bénévole
Drummond » nous a parlé de cet organisme. Nous remercions donc la conférencière d’être
Elle nous a expliqué tous les services offerts venue nous parler de cet organisme, le
par cet organisme aux personnes âgées, conva- « Centre d’action bénévole Drummond » qui
lescentes, handicapées, en perte d’autonomie. est là pour répondre à nos besoins et si vous
connaissez une personne qui a besoin de leurs
Ces services sont : l’accompagnement- services, vous n’avez qu’à les contacter au 472
transport médical et/ ou commissions, le gar- -6101.
diennage léger, les formulaires/impôts, la lec-
ture à domicile, les menus services (ex. les tra-
vaux légers), la popote roulante, le service en Yolande Plasse
lecture sur cassette audio, le télé-bonjour, les
visites d’amitié et/ ou sorties amicales.

Il est essentiel, pour pouvoir donner ces res-
sources, d’avoir des bénévoles qui donnent de

Page 14 La Rumeur


Le bon vieux temps...




Je ne veux pas nous faire vieillir medi matin.
mais.... te rappelles-tu... De jouer à la cachette au crépuscule.
D'acheter des bonbons avec des bouteilles
Te rappelles-tu quand t'étais "Game"? vides.
C'était avant Internet, avant les ordinateurs, le
Nintendo... Avant le disco et le McDo. De veiller sur le balcon en pyjama après avoir
pris son bain.
Je parle des bouquets de pissenlits. De courir à travers l'arrosoir.
Du bonhomme sept heures. De construire des forts dans des bancs de
Du magasin du coin. neige.
Du ballon-chasseur. De marcher à l'école, quelque soit la tempéra-
Des cerceaux. ture.
Des bolos. De sauter sur le lit.
Des lèvres de cire rouge. De tourner sur soi-même jusqu'à devenir étour-
D'un million de piqûres de moustiques. di.
Des mitaines mouillées. De manger de la poudre de Kool-aid dans des
Des combats d'oreillers. pailles en papier.
Des sièges banane et des poignées "Mustang".
Des pupitres qu'on nettoyait à la fin de l'année. La pire humiliation était d'être choisi le dernier
De la voix de ta mère lorsque ton oreille était dans une équipe.
contre sa poitrine. Les ballons d'eau étaient armes ultimes.
Des effluves de parfum à travers les manteaux Les cartes de joueurs de hockey, un outil
d’hiver des "Ma tante" en visite. d'échange redoutable.
Les catalogues Sears faisaient office de maga-
Je parle de quand; prendre de la drogue voulait sins.
dire croquer une aspirine rose. Les éraflures étaient guéries par un bisou.
De quand; le coin de la rue semblait loin et le
centre-ville l'autre bout du monde.
De quand; personne n'avait un chien de race.
De quand; un vingt-cinq cents était une alloca- Pour ce qui est de moi,
tion raisonnable, et un autre, un miracle. je me souviens de ...
De quand; les filles n'embrassaient pas avant la
fin du secondaire. Quand on jouait dehors tout simplement.
Quand il y avait assez d'enfants dans la rue
De quand; n'importe quel parent pouvait disci- après l'école pour jouer au drapeau.
pliner n'importe quel enfant, ou lui demander de
porter des sacs d'épicerie, et personne, pas Quand on jouait les jours de pluie sur la table
même les enfants, ne trouvait à redire contre de la cuisine à ‘’Jour de paye, Château la For-
ça. tune, Clue, Mille borne’’ version papier carton
(pas CD-ROM) avec des pions qu'on pouvait se
De quand; on se baignait assez longtemps lancer ou se mettre dans le coin de la bouche.
pour avoir les lèvres bleues.
Quand les envfants connaissaient des jeux de
De quand; les décisions étaient prises en fai- cartes; ou savaient faire le pont de Québec en
sant "1,2,3,4, ma tite vache a mal aux pattes... corde; ou jouer aux élastiques, bref plein de
" choses qui ne coûtent pas cher.
De quand; la chose la plus grave qu'on pouvait
attraper du sexe opposé était un feu sauvage. Quand téléphoner au 876-9897 était beaucoup
De quand; avoir une arme à l'école, ça voulait plus long qu'au 524-1223 car il fallait attendre
dire se faire attraper avec un tire pois. que la roue du cadran de téléphone revienne
pour composer le numéro suivant.
Je parle de regarder les dessins animés le sa- (Suite page 15)

Page 15


(Suite de la page 14) Quand le consommateur n'avait pas tant de
choix:
Quand il était impossible de savoir la couleur
des habits de Bobino (TV noir et blanc). Un imperméable c'était jaune et marine réver-
sible (pas rose transparent).
Quand Fanfreluche faisait un "hit".
Les bottes de rubber étaient noires à semelles
Quand on écoutait Cosmos 1999 et qu'on trou- et bouts bruns (pas avec des Fraisinette ou
vait cela crédible, 1999 c'était si loin! Caillou).

Quand il n'y avait pas de crème glacée molle. La balançoire était blanche rayé bleue-jaune-
rouge.
Quand on se changeait tous dans la classe
avant le cours d'éducation physique. Le téléphone noir.

Quand le professeur pouvait rencontrer seul un La chemise à carreaux rouge et noire (pas
élève après la classe. jaune ou bleu ciel).

Aux scouts, tout le monde buvait dans la même Il n'y avait pas de version junior du Scrabble, du
cruche sans se poser de question (Ouach!!) Monopoly, d'Arpents de piège..... On jouait
quand on avait l'âge.
Quand on mangeait des toasts sur feux de bois
le soir en ville. Le linge pour enfants, c'était comme celui des
adultes mais plus petit.
On faisait des tours d'auto le dimanche.
Si tu peux te rappeler tout ca, alors tu as pleine-
Il fallait regarder une émission quand elle pas- ment VÉCU ton enfance.
sait (pas de vidéo), rejoindre les gens quand ils
étaient chez eux (pas de répondeur), Faites lire cet article à tous ceux qui
prendre le temps de cuisiner (pas de ont besoin de s'échapper un peu de
micro-onde ou de repas congelé), aller leur vie "d'adulte "...
à la caisse au comptoir aux heures
d'ouverture. T'ES PAS GAME!!!
T'ES PAS GAME!!!
Le popcorn se faisait sur le rond dans T'ES PAS GAME!!!
un contenant d'aluminium qu'on bras-
sait sans arrêt.
recueilli par Rémi Blanchard
Quand tout le monde faisait la com-
mande, entre jeudi soir et samedi midi,
et passait à la commande à l'auto.

De la popularité des épiceries Steinberg.

De bagatelles le samedi matin.

Quand il n'y avait PAS d'équipe de filles de ba-
seball ou de hockey.

Le mot REER n'existait pas.

Personne n'avait de fonds communs de place-
ments.

Un 5$ pour devenir membre et ouvrir un
compte chez Desjardins c'était beaucoup.

Page 16 La Rumeur



En roulant ma boule....






Quilles : statistiques au 20 novembre 2002


Semaine du 20 novembre Pour la saison

Meilleur simple Meilleur triple Meilleur simple Meilleur triple
femme Hélène Ouellette 276 Hélène Ouellette 609 femme Hélène Ouellette 276 Hélène Ouellette 609
homme Yvon Hélie 231 Yvon Hélie 555 homme Edmond Dionne 247 Léonide Dionne 625
équipe Micheline Martel 919 Micheline Martel 2,531 équipe Micheline Martel 919 Micheline Martel 2,531
Meilleure moyenne chez les femmes : Micheline Martel 174 Meilleure moyenne chez les hommes : Edmond Dionne 190

Les positions : 3- Roland Dionne 8- Jean-Guy Mercier
4- Léonide Dionne 9– Hélène Mathieu
1- Yvon Hélie 5– Edmond Dionne 10– Irenée Allard
2- Micheline Martel 6– Jean Ouellette
7- Gérard Simard

Prochaines activités



Souper de Noël
Date : 12 décembre 2002 Dîner des quilleurs
Heure : 17 h 30 cocktail, 18 h souper Date : 7 mai 2003
Endroit : Hôtellerie le Dauphin Heure : 12 h 00
Prévente : 6 décembre de 13 h 30 à 16 h. Endroit : Restaurant du Bois-Joli
Coût : 20 $ en prévente, 24 $ à la porte Prévente : le 2 mai 2003
Coût : 9 $ taxes et pourboire inclus
Hommage aux bénévoles
Date : 16 janvier 2003 Assemblée générale provinciale
Heure : 14 h 30 Date : 3, 4, 5 juin 2003
Endroit : Centre Com. St-Pierre Endroit : Hôtel Universel
Goûter Coût : à confirmer

Déjeuner-conférence Tournoi de golf du président
Date : 20 février 2003 Date : 18 juin 2003
Heure : 8 h 30 Endroit : Club de Golf l’Émeraude
Endroit : Hôtellerie le Dauphin Coût : 15$ (droit de jeu)
Conférencier : Roch Perreault, 15$ (le repas)
président régional
Prévente : le 14 février 2003
Coût : 8 $

Souper du 15e anniversaire
Date : 13 mars 2003
Autres informations à venir
Assemblée générale annuelle
Date : 10 avril 2003
Autres informations à venir