401 3. Ataeva la corrompue «contre» la corruption! 4. La lutte entre la lumière et de l’ombre 5. La «Réclamation Conjointe de l’Association Internationale de défense des droits de l’homme «Club des Cœurs Ardents» et de la Coalition mondiale «Stop à la Dictature, au Fake, à la Corruption dans la Défense des droits de l’homme» pour l’ouverture d’une enquête de service sur les activités illégales des employés de FIDH en la personne d’Ilya Nouzov». Nous insistons sur l’examen des échanges écrits entre Mutabar Tadjibayeva et Ilya Nouzov pour une évaluation juridique des actes d’un employé de la FIDH, Ilya Nouzov: 1. L’échange entre Mutabar Tadjibayeva et Ilya Nouzov (№ 1 - 2) intitulé «J’espère obtenir votre aide» du 25 juin et du 27 août 2017; 2. La lettre de Tadjibayeva (№ 25) intitulée « Nous avons besoin des factures pour notre enquête journalistique» envoyée à Ilya Nouzov, à Yuliya, aux journalistes Matlouba Azamatova et à d’autres représentants de la Coalition, le 16 novembre 2018; 3. La lettre de rappel de Mutabar Tadjibayeva intitulée «Nous avons besoin des factures pour notre enquête journalistique et le monitoring» (№ 30) envoyée à Nouzov, à Yuliya, aux journalistes de Matlouba Azamatova et aux représentants de la Coalition Nina Pchenitchnaya, Vadim Kouramchine et Balli Majets, le 20 décembre 2018 et la réponse à cette dernière lettre de Nouzov (№ 31) reçue le 20 décembre 2018; 4. L’échange entre Mutabar Tadjibayeva et Ilya Nouzov du 11 et du 14 janvier 2019 (№ 33-34) intitulé «J’ai le droit d’être protégée contre les dictateurs de la défense des droits de l’homme!»; 5. L’échange entre Mutabar Tadjibayeva et Ilya Nouzov (№ 35 - № 37) intitulé «Ces dictateurs de la défense des droits de l’homme: qui me protégera contre eux???» entre le 14 et le 17 janvier 2019; 6. La lettre de Tadjibayeva (№ 38) du 18 janvier 2019 envoyée à Nouzov, Yuliya, Vadim Kouramchine, Tolekan Ismailova, Matlouba Azamatova, Dilorom Ishokova et aux
402 membres de la Coalition intitulée «A Tourgounov: j’exige un rapport financier; FIDH: je demande les factures de mes soins médicaux en Turquie!»; 7. L’échange entre Iliya Nouzov et Tadjibayeva du 19 janvier au 4 février (№ 39 - № 43) Letter to Mutabar (18.01.2019) et la réponse de Tadjibayeva intitulée «Je n’écris jamais d’information déformée et mensongère!!! Ce n’est pas pour moi!!!» (19.01.2019) et «J’annoncerai publiquement le retrait de la FIDH!»; 8. L’échange de Tadjibayeva avec Tolekan Ismailova du 10 au 12 février envoyé à Nouzov et Yuliya (№ 44 - № 46) intitulé «Iliya Nouzov doit présenter la preuve sur la diffusion de l’information déformée et mensongère contradictoire avec les faits réels!»; 9. La lettre de Tadjibayeva (№ 47) du 13 février 2019 envoyée à Ismailova, Nouzov et Yuliya intitulée «Ilya Nouzov aurait-il informé Tourgounov de ma dernière lettre?!»; 10. L’échange entre Tadjibayeva et Ilya Nouzov du 22 au 25 février 2019 envoyé à Nouzov et Yuliya intitulé «Monsieur Nouzov, je ne vais plus supporter et attendre!» (№ 48 - № 52); 11. La lettre de Tadjibayeva (№ 53) du 27 février 2019 envoyée à Tolekan Ismailova, Nouzov et Yuliya intitulée «Ilya n’est pas digne de travailler dans une organisation aussi prestigieuse que la FIDH». Si nos exigences légitimes ne seront pas honorées avant le 40ème congrès de la FIDH qui aura lieu du 21 au 25 octobre 2019, nous nous réservons le droit de nous adresser aux participants du Congrès afin de solliciter une évaluation juridique des actions des employés des organisations internationales de défense des droits de l’homme tels que Ilya Nouzov, Steve Swerdlow et autres participants de la campagne de diffamation contre Tadjibayeva, ses proches et ses organisations, en présentant les documents et les échanges accompagnés de leurs traductions en différentes langues. Mutabar Tadjibayeva Présidente de l’Association internationale de Défense des Droits de l’Homme «Club des Cœurs Ardents» Responsable pour la déclaration ci-dessus
403 Nina Pchenitchnaya Responsable pour la coordination des membres de la Coalition mondiale «Stop à la Dictature, au Fake, à la Corruption dans la Défense des droits de l’homme», pour les relations avec la presse, avec l’opinion publique et rédactrice du site «Coalition pour la vérité!» AINSI QUE Les fondateurs, les membres du conseil de la direction, les membres et les militants de l’Association internationale de défense des droits de l’homme «Club des Cœurs Ardents», Les fondateurs et les membres de la Coalition mondiale «Stop à la Dictature, au Fake, à la Corruption dans la Défense des droits de l’homme»: — L’organisation internationale des droits de l’homme «Club des Cœurs Ardents»; — La Coalition «Pour Mutabar Tadjibayeva! Pour la vérité dans la défense des droits de l’homme en Ouzbékistan!»; — La fondation internationale de défense des droits de l’homme «Mutabar Tadjibayeva» (elle s’est réformée); — L’Association Wspolnota Kazachska; — Le mouvement populaire républicain kazakh «Résistance à l’arbitraire»; — Groupe d’initiation populaire «Balance de la Justice»; — L’Organisation indépendante de défense des droits de l’homme en Ouzbékistan; — L’organisation publique «Société Patriotique de Bucovine» (Ukraine); — Groupe d’initiation «Pour la vie sans tortures»; — Comité pour la défense des droits des migrants;
404 — Groupe d’initiative «Saïda Kamalova – Recherche. Enquête. Révélation» — lutte pour le rétablissement des droits de travail bafoués des 700 employés de l’entreprise «Fond» et de ses filiales à Tachkent; — Organisations publiques et militants membres du Conseil de coordination de la société civile «Ouzbékistan alternatif».
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406 LE PARQUET DE BERLIN A REJETE LA PLAINTE DE NADEJDA ATAEVA CONTRE C-1 Le procureur de Berlin n’a pas trouvé de raison à l’ouverture d’un procès contre les employés de C-1 suite à la plainte déposée par la présidente de l’association «Droits de l’homme en Asie Centrale». Nadejda Ataeva, présidente de l’association «Droits de l’homme en Asie Centrale» a reçu le rejet du parquet de Berlin de sa plainte contre les représentants de l’organisation «Central Asia Media e.V» qui dirigent le site d’information C-1.
407 Résidant en France, Ataeva a porté sa plainte en juillet 2018 au Parquet de Berlin en réclamant d’intenter un procès contre la présidente du conseil de la direction de l’organisation «Central Asia Media e.V» basée en Allemagne, Tatiana Gourevitch, contre la rédactrice en chef de la C-1 Galima Boukharbayeva et la comptable Annetta Viden. Ataeva les accuse toutes les trois de la diffusion des informations diffamatoires et insultantes concernant son organisation et sa personne. Son mécontentement a été provoqué par l’enquête journalistique de la C-1 dévoilant en août 2017 qu’Ataeva avait falsifié les preuves relatives au massacre d’Andijan du 13 mai 2005. En 2010, elle a présenté au Parlement européen à Bruxelles le film «Histoires d’Andijan» dans lequel un professeur de Kokand Oumidjon Abdounazarov était présenté comme un anatomopathologiste, arrêté après les événements d’Andijan, puis forcé de travailler dans une morgue où il était contraint pendant six mois d’examiner les centaines de victimes des exécutions sommaires, y compris les femmes et les enfants. En 2011, sur la base de cette histoire inventée Ataeva présente un rapport et recommande Abdounazarov afin qu’il obtienne son statut de réfugié politique en France. En réponse à ces révélations de C-1, en décembre 2017, l’avocat allemand d’Ataeva a envoyé au «Central Asia Media e.V» un courrier réclamant la suppression du site C-1 de ces documents diffamatoires pour sa cliente et le paiement d’un dédommagement à hauteur de 20000 euros. «Central Asia Media e.V» a réagi par un courrier soulevant les différentes fautes dans la traduction en allemand des textes de C1, la déformation du sens des phrases et l’extraction d’autres phrases hors du contexte général. Mais le plus important, l’organisation a souligné l’absence des textes tels qu’ils étaient publiés dans leur intégralité. Finalement, il était demandé à l’avocat de présenter les textes complets de C-1 accompagnés de leur traduction en allemand réalisé par un bureau de traduction indépendant. Aucune réponse n’a
408 suivi. En revanche, au lieu de passer par le tribunal, Ataeva et son avocat se sont directement adressés au Parquet. Le Parquet de Berlin a examiné la plainte d’Ataeva et de son avocat et a très vite retiré de la liste des accusés la comptable de «Central Asia Media e.V» Annetta Viden. Cette femme allemande, native de Berlin, n’a eu aucun rapport avec les articles de C-1 ainsi qu’avec ceux publiés sur le site de l’organisation antérieur Uznews.net. De plus, elle ne parle, ni ne lit, ni écrit le russe. Durant l’examen, le parquet allemand est arrivé à la conclusion qu’il n’y a aucune raison d’accuser Tatiana Gourevitch et Galima Boukharbayeva. «J’ai arrêté l’examen préliminaire conformément à l’article 170 du Code pénal d’Allemagne car l’enquête menée ne donne aucune raison de soupçonner les accusés», a répondu le procureur du parquet de Berlin à l’avocat d’Ataeva. Il se trouve que l’avocat d’Ataeva a de nouveau porté plainte dans laquelle les articles complets étaient toujours absents: une plainte fondée seulement sur quelques citations extraites du contexte général du propos. «Sur la base des extraits présentés ici, il est impossible de déterminer dans quel contexte étaient publiées ces déclarations insultantes, selon votre cliente», écrit le procureur. Ensuite, il explique que la «diffamation, c’est lorsque quelqu’un affirme ou diffuse des faits mensongers concernant autrui, tout en ayant conscient que ces faits ne correspondent pas à la réalité». Par ailleurs, un autre type de diffamation existe, c’est lorsque quelqu’un affirme quelque chose qu’il ne peut prouver. Concernant la plainte de l’avocat d’Ataeva, comme l’a affirmé le Parquet de Berlin, «dans cette affaire, le degré de non correspondance entre les faits présentés par les accusés et la réalité n’a pu être déterminé». Compte tenu de la forme dans laquelle est présentée la plainte d’Ataeva, le procureur de Berlin a même supposé que les phrases soi-disant diffamatoires et insultantes étaient publiées sur le forum qui est mis à disposition des utilisateurs par le site C-1.
409 «Il est peu probable que les accusées soient responsables en tant qu’opérateurs du forum des messages publiés par des utilisateurs du forum.» «En conclusion, les déclarations que vous récusez n’entraînent pas de responsabilité pénale», – résume le parquet de Berlin. La forme de la plainte d’Ataeva contre C-1, dans son style et son principe, répète les plaintes portées contre Mutabar Tadjibayeva, défenseuse des droits de l’homme ouzbèke résidant en France. Ataeva accuse également Tadjibayeva de diffamation et d’insulte, mais refuse de présenter au parquet français les textes complets des articles qui contiennent selon elle des calomnies et des insultes. En novembre 2018, le parquet de Paris a rejeté la plainte d’Ataeva, déclarée comme infondé, et a confirmé l’impossibilité d’accuser une personne en s’appuyant sur quelques citations extraites du contexte général du propos. Mais Ataeva et son avocat français ont fait appel au tribunal dont l’examen débutera fin avril. Dans cette nouvelle plainte, il n’y a à nouveau que des citations disparates et aucun texte intégral d’article. Galima Boukharbayeva, rédactrice en chef de C-1 affirme que le caractère fake et mensonger du film et du rapport d’Ataeva ne laisse plus aucun doute. Récemment, le gouvernement d’Ouzbékistan a contribué à percer à jour son «héros» Oumidjon Abdounazarov en présentant au tribunal de Paris toute l’information concernant son activité d’enseignement à Kokand et en prouvant qu’il n’a jamais travaillé dans aucune institution médicale du pays, n’a jamais été arrêté et a quitté sans aucune entrave son pays en janvier 2008. Selon les déclarations de Boukharbayeva, la stratégie d’Ataeva est claire: «Chaque ligne des articles de C-1 s’appuie sur des faits et preuves, c’est pour cette raison précisément que Nadejda ne peut transmettre dans aucun parquet, ni allemand, ni français, les textes complets de nos articles.» Mais pour Ataeva, les collègues des organisations internationales de défense des droits de l’homme et les médias qui la soutiennent, poursuit Galima, il faut une justification. «Ataeva explique à tout le monde que son affaire n’est pas encore close, que tout n’est pas encore perdu, une plainte est déposée,
410 un appel aussi, et cet «entre soi médiatique et de défense des droits de l’homme» d’Ataeva continue sa vie», – affirme Boukharbayeva. La journaliste donne un exemple de la plainte présentée par Ataeva et son avocat contre l’article de C-1 «Nadejda Ataeva: celle qui a trainé dans la boue la défense des droits de l’homme d’Ouzbékistan». Dans la plainte elle indique une phrase soi-disant diffamatoire à son égard: «a détourné ses fonds [de la société nationale «Ouzkhleboprodukt»] et s’est enrichie à plus de 3,1 millions de dollars». La phrase dans son intégralité est en fait un résumé du jugement du tribunal d’Ouzbékistan: «Conformément aux documents du Tribunal municipal de Tachkent, en 2013, la famille d’Ataev – le père, le fils et la fille – a été jugée en leur absence et condamnée à 9 et 6 ans de prison ferme. Cette famille qui n’a eu accès que pendant trois ans à la direction d’«Ouzkhleboprodukt», a détourné ses fonds et s’est enrichie à plus de 3,1 millions de dollars» Le père d’Ataeva, Alim Ataev a dirigé la société nationale «Ouzkhleboprodukt» de 1997 à 2000. A cette époque, Nadejda travaillait dans la société NZI, qui a obtenu le monopole dans la fourniture des sacs en polypropylène aux entreprises de meunerie du pays. En 2000, suite à l’ouverture du procès contre eux, la famille d’Ataev a quitté l’Ouzbékistan, où ils étaient accusés de création d’un groupe criminel au sein de «Ouzkhleboprodukt» avec l’objectif de détourner les fonds et le privatiser. En se retrouvant dans la défense des droits de l’homme, Nadejda Ataeva bénéficie du soutien de nombreuses organisations: l’un de ses partenaires Human Rights Watch, par exemple, n’a pas renoncé au soutien à son égard même après la révélation du rapport falsifié sur Andijan. Mais d’après Galima Boukharbayeva, le soutien manifesté à Ataeva par ses «frères d’esprit», c’est un détail et c’est leur problème. «Le plus important c’est que les plaintes de Nadejda Ataeva, corrompue depuis le début de sa carrière en Ouzbékistan, sont rejetées par les structures de sécurité et les instances judiciaires européennes, ce qui prouve à nouveau qu’elle ne pourra jamais les duper», – a déclaré Boukharbayeva.
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412 L'AUDIENCE DEVASTATRICE DU PROCES DE NADEJDA ATAYEVA DEVANT UN TRIBUNAL DE PARIS Le juge du tribunal de Paris a douté de la véracité des activités de défense des droits humains de Nadejda Atayeva, écoutant son appel pour diffamation et insulte. Au tribunal correctionnel de Paris, où s'est déroulée le 3 avril l'audience de l'appel de la présidente de l'association "Droits de l'homme en Asie centrale" Nadejda Atayeva contre sa compatriote Mutabar Tadjibayeva, tout était contre le plaignant.
413 Le président du tribunal, après avoir étudié la plainte d'Atayeva, a commencé l'audience en présentant le plaignant: "... se faisant passer pour un activiste des droits de l'homme". Atayeva, originaire de la région de Syrdarya en Ouzbékistan, veut qu'un tribunal en France, où elle vit, punisse la célèbre militante ouzbèke des droits de l'homme Mutabar Tadjibayeva, l'accusant de diffamation et d'insulte. En novembre de l'année dernière, la première instance du tribunal parisien avait déjà rejeté le procès d'Atayeva contre Tadjibayeva. La Themis française n'a pas été en mesure d'établir la réalité des infractions en raison de l'exécution illégale de la demande : il ne contenait pas les textes intégraux des documents, mais seuls des mots et expressions sortis de leur contexte étaient transmis. Dans leur appel, Atayeva et son avocat n'ont de nouveau fourni que des citations de huit textes publiés sur le site Internet de Tadjibayeva. Le dépôt répété de plainte contraire aux exigences du Code de procédure judiciaire français, par décision du tribunal de première instance, a fait douter le juge que la plaignante soit en fait l’activiste des droits de l'homme qu'elle prétend être. Selon l'accusé Mutabar Tadjibayeva, son adversaire n'est pas encore venu au tribunal, ses intérêts étaient représentés par l'avocat Rashit Askarov. L'avocat d'Atayeva a déclaré au tribunal que lui et son client ne pouvaient pas accéder à la demande du tribunal de fournir des textes complets, qui, selon eux, contiennent des calomnies et des insultes, en raison du fait qu'ils sont "illettrés" et "très longs". Askarov a admis que, étant un locuteur natif du russe, luimême ne pouvait pas comprendre le sens de ces documents. Dans le même temps, la plainte de l'avocat d'Atayeva comprenait non seulement les articles de Tadjibayeva, mais également le matériel du site Web C-1, un article d'Elena Urlaeva, une activiste des droits de l'homme de Tachkent, et d'autres activistes ouzbeks. L'avocate de Tadjibayeva, Sabrina Goldman, n'était pas d'accord avec l'opinion de son collègue. Elle a dit au tribunal qu'elle avait lu les documents traduits en français et qu'elle estimait que le
414 tribunal devait se familiariser avec leur contenu et prêter attention aux faits qui y étaient indiqués. Goldman, les accusés sont généralement intéressés par le fait que le tribunal n'a pas examiné les demandes déposées et a plutôt décidé de rejeter la demande, mais dans ce cas, elle et son client sont intéressés par le procès le plus détaillé et font une évaluation juridique. de chaque fait. Dans le même temps, a admis Goldman, il est impossible de ne pas prêter attention au dépôt illégal de réclamations et d'appels. L'avis de l'avocat de Goldman a été soutenu par le procureur qui était présent à la réunion. Le tribunal a également interrogé Mutabar Tadjibayeva. La défenderesse a déclaré que la plaignante ne fournit pas au tribunal les textes intégraux des documents publiés contre elle, car ils contiennent des preuves d'abus et de violations commis par elle, qu'Atayeva veut cacher aux tribunaux et aux forces de l'ordre de France. La principale révélation des activités de pseudo-droits de l'homme de Nadejda Atayeva a été la sortie en 2010 et 2011 d'un faux film et d'un reportage sur les conséquences du massacre d'Andijan en Ouzbékistan le 13 mai 2005, ainsi que sur les exécutions extrajudiciaires de masse qui auraient été effectué après l'événement. Atayeva a épousé Umidjon Abdounazarov, un enseignant de Kokand, avec un pathologiste qui a été arrêté après Andijan puis contraint de travailler à la morgue de la ville, où en six mois il a été témoin de centaines de victimes d'exécutions extrajudiciaires, dont des femmes et des enfants. Grâce à cette fausse histoire et à la recommandation d'Atayeva, Abdounazarov a obtenu l'asile en France. Le rapport fictif d'Atayeva est toujours disponible sur son site Internet . Tadjibayeva a exposé d'autres fausses campagnes d'Atayeva dans des documents publiés, comme la défense de l' homosexuel et journaliste Ali Feruz (aujourd'hui Khudoyberdi Nurmatov), vivant maintenant en Allemagne, sans une seule mention qu'il était un salafiste radical dans le passé. Faits de détournement d'argent, réception de quittances pour argent non reçu, etc.
415 Mutabar Tadjibayeva n'est pas la seule visée par les avocats d'Atayeva. Ce dernier a tenté d'obtenir des poursuites pénales contre le site C-1 en portant plainte auprès du parquet de Berlin. Mais le bureau du procureur allemand a rejeté sa plainte, citant le fait que sur sa base, il est impossible de déterminer la culpabilité des suspects. Dans la plainte, l'avocat d'Atayeva a affirmé que C-1 n'avait mené aucune enquête journalistique et n'a offert au bureau du procureur que des mots et des phrases extraits hors contexte des documents de C-1. Le parquet de Berlin a finalement suggéré que, peut-être, les phrases qui ont provoqué le mécontentement étaient exprimées par les utilisateurs du forum, car il n'y avait pas d'enquêtes journalistiques ... Le tribunal de Paris rendra sa décision sur l'appel de Nadejda Atayeva contre Mutabar Tadjibayeva le 15 mai.
416 NON, NADEJDA ATAYEVA, TU NE RESPIRERAS PAS AVANT LA FIN ... Exposée au mensonge et à la fraude aux droits de l'homme, Nadejda Atayeva a tenté de gagner du temps avec l'aide du Themis français, mais aujourd'hui le tribunal de Paris va y mettre un terme... Le 15 mai à 13h00 heure locale, le tribunal correctionnel de Paris rendra public la décision du Conseil judiciaire sur le recours de la présidente de l'association "Droits de l'homme en Asie centrale" Nadejda Atayeva, qui réside aujourd’hui en France. Atayeva n'était pas d'accord avec la décision du tribunal de première instance de Paris .
417 En novembre 2018, la Themis française a rejeté sa plainte pour diffamation et injure et une demande d'indemnisation d'un montant de 8 000 euros à l'encontre de sa compatriote, une activiste des droits de l'homme bien connue, ancienne prisonnière politique et victime de torture en Ouzbékistan, Mutabar Tadjibayeva. La bataille juridique entre Atayeva et Tadjibayeva a commencé après que C-1 (une site allemagne) a publié une enquête journalistique en août 2017 sur ses pseudo-activités de défense des droits de l'homme. La principale source de matériel était Moutabar. C-1 a exposé en détail la falsification du certificat d'Atayeva du massacre d'Andijan le 13 mai 2005. En 2010 et 2011, Atayeva a sorti un film et un rapport de la tragédie sanglante qui s'est avérée être un mensonge du début à la fin. Un enseignant de Kokand, Oumidjon Abdounazarov, a été fait passer pour un pathologiste qui aurait été arrêté après le massacre puis contraint de travailler à la morgue d'Andijan, où, entre septembre 2005 et février 2006, il a examiné environ 500 cadavres portant des traces d'exécutions extrajudiciaires, y compris les femmes et les enfants. Grâce à cette fausse histoire et à la recommandation d'Atayeva, Abdounazarov a obtenu l'asile en France, où il vit actuellement. L'enquête a également évoqué les fraudes financières d'Atayeva, telles que l'extorsion de chèques et de reçus pour des services impayés, l'obtention de signatures sur des dizaines de formulaires vierges d'activistes en Ouzbékistan. Atayeva a accueilli la révélation avec un silence de mort – une activiste, qui n'a pas hésité à s'exprimer et à stigmatiser les autorités ouzbèkes en violation des droits de l'homme depuis les plus hautes tribunes du monde, n'a pas pu dire un mot pour sa défense. Le procès a commencé près d'un an plus tard, qui s'est toujours déroulé en l'absence de la plaignante elle-même. En conséquence, la demande d'Atayeva a été rejetée en novembre de l'année dernière. La décision du tribunal de Paris a déclaré que les réclamations d'Atayeva contre Tadjibayeva étaient des éléments sortis du contexte général qui ne pouvaient être qualifiés de
418 diffamation. Le procès "n'avait pas de faits clairs dans le texte de ces articles", a jugé le tribunal. En outre, la décision de justice indique que la forme des déclarations dans les documents est vague et conjecturale : "Toutes les phrases et expressions de ces articles n'ont que des faits conjecturaux qui sont exprimés par les mots "il est associé à ..." ou "il prétend être ...” «Ces formulations abusives ne sont pas contrefaits et ne permettent pas de prouver la présence de diffamation dans ces articles. Ils ne permettent pas à la défenderesse de déterminer exactement ce qu'elle peut fournir comme preuve pour ou contre ce qu'elle doit se défendre», a conclu le tribunal. En juillet 2018, Atayeva a déposé une plainte similaire auprès du bureau du procureur de Berlin contre C-1 (le fondateur du site est l'organisation enregistrée en Allemagne Central Asia Media eV)
419 En mars 2019, le parquet de Berlin a rejeté la plainte d'Atayeva, ne trouvant pas non plus l'occasion d'engager la responsabilité pénale de quelqu'un en l'absence de textes complets de documents, sur des fragments de phrases et de phrases sortis de leur contexte. L'appel d'Atayeva devant le tribunal de Paris ne contient à nouveau pas tous les éléments des articles, qui, selon elle, sont diffamatoires, bien que ce soit ce que le tribunal de première instance lui ait signalé, ainsi qu'à son avocat. Selon Mutabar Tadjibayeva, elle comprend pourquoi la plaignante ne présente pas les textes complets. «Atayeva ne peut pas donner les textes complets au tribunal, car ils consistent en des preuves irréfutables de ses crimes contre les droits humains », a déclaré Mutabar. "Avec l'aide du tribunal, elle a seulement essayé de gagner du temps, d'utiliser le procès comme excuse, mais vous ne respirerez pas avant la fin ..." Tadjibayeva est sûre que la décision du tribunal sera en sa faveur, et surtout, selon ses propres termes, en faveur de la société civile en Ouzbékistan, où l'honnêteté et la décence devraient revenir.
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429 LE TRIBUNAL DE PARIS A CONFIRME LA VERITE DE MUTABAR TADJIBAYEVA! Le tribunal parisien, sans le savoir, a joué un rôle clé dans l'établissement de normes morales pour la société ouzbèke: il a une fois de plus rejeté la poursuite en diffamation et injure de Nadejda Atayeva, qui a été dénoncée comme mensonge et fraude. La chambre d'appel du tribunal correctionnel de Paris a décidé ce jour de rejeter la plainte réitérée de la présidente de l'association "Droits de l'homme en Asie centrale" Nadejda Atayeva. Cette dernière a tenté, avec l'aide de la Themis française, de faire taire son adversaire - une activiste des droits de l'homme bien
430 connue, ancienne prisonnière politique et victime de torture en Ouzbékistan, Mutabar Tadjibayeva. C'est Moutabar qui est devenu la personne qui a attiré l'attention de collègues, de journalistes et de toute la société ouzbèke sur le fait que certaines organisations de défense des droits de l'homme, parmi lesquelles, en premier lieu, l'association d'Atayeva, recourent au mensonge lors de la compilation de rapports et de déclarations sur le situation des droits de l'homme en Ouzbékistan, et commettent également des fraudes financières. Atayeva a été exposée lors d'une présentation en 2010 d'un faux film sur le massacre d'Andijan le 13 mai 2005 depuis la tribune du Parlement européen à Bruxelles (Belgique). Lorsque Umidjon Abdounazarov, un enseignant de Kokand, a été donné comme victime et témoin de la tragédie sous le couvert d'un pathologiste. En 2011, sur la base de cette histoire fictive, elle a publié un rapport de 54 pages sur les exécutions extrajudiciaires en Ouzbékistan, qui auraient eu lieu dans le pays des mois après les événements d'Andijan. Le faux rapport parlait de centaines de victimes, dont des femmes et des enfants qui avaient été abattus. Afin de se justifier après l'exposition très médiatisée, Atayeva a déposé une plainte contre Mutabar Tadjibayeva pour diffamation et insulte devant un tribunal de Paris, et a également déposé une plainte auprès du parquet de Berlin contre C-1, qui a publié des enquêtes sur ses activités trompeuses.En novembre 2018, le tribunal de première instance de Paris a rejeté la demande d'Atayeva contre Tadjibayeva, jugeant que la plaignante et son avocat avaient déposé un mémoire en violation des normes du Code de procédure judiciaire français, en plus, il était bourré d'erreurs et inexactitudes. En réponse, Atayeva a déposé un recours, qui a été rejeté aujourd'hui par le Collège judiciaire du Tribunal correctionnel de Paris pour le même motif: dépôt illégal d'une plainte. À chaque fois, Atayeva et son avocat ont proposé au tribunal de se prononcer sur Tadjibayeva, sans présenter les textes intégraux des documents «diffamatoires». Ils se limitaient à la transmission de mots et de phrases sortis de leur contexte.
431 Mutabar Tadjibayeva a déclaré plus d'une fois que fournir au tribunal des documents complets sur les activités de pseudo-droits de l'homme de Nadejda Atayeva pourrait transformer le plaignant en accusé. En avril, C-1 a publié une nouvelle enquête sur la façon dont, en 2016, Nadejda Atayeva, en collaboration avec Human Rights Watch et un certain nombre d'autres organisations internationales, a faussement identifié un radiologue azerbaïdjanais comme expert médico-légal alors qu'il défendait une victime de torture en Ouzbékistan. "Je suis heureux du triomphe de la vérité et de la justice", a déclaré Mutabar dans une interview avec C-1. "Ce procès devrait devenir une ligne directrice pour notre mouvement des droits de l'homme et pour tout le pays, que nous devons suivre la vérité, et seulement la vérité - personne n'a besoin d'un mensonge."
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435 TABLE OF CONTENTS DECEMBER 10 IS WORLD HUMAN RIGHTS DAY ………...….…. 3 The legandare Paris court speaks about the crisis of the field of human rights! ………………………………………..…….. 5 Le tribunal légendaire de Paris parle sur la crise domaune des droits de l'homme! ……………………………………….…….. 7 Mutabar Tadjibayeva / "Violating the mechanism of human rights means violating the idea of human rights!" Stop the information attacks against our motherland Uzbekistan and spreading false information to the world community! ………......…………........... 39 Article 1. Silence pénal des médias sur la corruption dans le milieux des organisations des droits de l'homme - c'est une trahison des valeurs des droits de l'homme!................................................ 52 Article n°4. Je soutient la création d'une commission indépendante et je crois qu'elle donnera l'évaluation finale des activités de nadejda ataeva et des actions illégales de ses patrons! ……………………………………………….…….59 Mutabar Tadjibayeva: Uzbekistan has to say “no” to fakes and lies of HRW! …………………………….….….…… 66 Galima Boukharbayeva / Hugh Williamson de HRW: «Fabrication» c’est votre language!»……………….……………... 71 Galima Boukharbayeva / HRW unable to comment on Nadejda Atayeva’s criminal past ..................................................... 75 HRW - WORLD REPORT 2014: UZBEKISTAN …………….… 80 Société civile d'Ouzbékistan Condamne les mensonges de «human rights watch» …………………………..………. 82 Galima Boukharbayeva / La societe civile d’Ouzbekistan condamne les mensonges et les machinations de Nadejda Atayeva ............................................................................. 89
436 Lettre de Galima Boukharbaeva OFPRA à Umid Abdounazarov……………………………………………………110 Effort to intimidate HRW in Uzbekistan Nadejda Atayeva, une fille de lamafia du pain ouzbek. ………….………………….112 Galima Boukharbayeva / Amnesie … l’argent de karimova a fait oublier aux militants des droits de leurs annees de lute …... 116 Attack part of wider campaign to smear independent groups …... 125 Statement in support of HRW researcher Steve Swerdlow …...... 127 Galima Boukharbayeva / CAM: Exposé of HRW’s fakes from Uzbekistan is not smear campaign ……….…………......… 132 Voici le texte de la petition des defenseurs des droits de l’homme de l’Ouzbekistan aupres des autorites suisses a partir de 2014 ……………..………………………………….. 133 11.12.2017. Letter to Mutabar Tadjibayeva from the lawyer of Nadegda Ataeva Valery Kozhevnikov .......................... 136 22.12.2017. Réponse de Mutabar Tadjibayeva à l'avocat Ataeva «Je demande d'arreter les menaces et la l'intimidation» ……....… 140 Main courente ................................................................................ 141 Declaration de main courente ........................................................ 142 Galima Boukharbayeva / Mutabar Tadjibayeva a trouve la maison du faux pathologiste d’Andijan en France .................... 144 l’histoire s’est repetee. Mutabar Tadjibayeva a ete signalee a la police ……………………….………….…….. 149 Galima Boukharbayeva / Un faux expert anatomopathologiste d’Andijan revendique …………………………………………… 152 27.02.2018. Ordre du jour convoquant Mutabar Tadjibayeva
437 pour interrogation sur la plainte d'Umid Abdunazarov ................. 156 Сentre des soins pour victimes de violence politique - PRIMO LEVI .............................................................................. 157 Sur les crimes des travailleurs internationaux le docteur Français Jonas Besson! – About crimes of international French doctor Jonas Besson! ………………………………...….. 160 11.05.2018. Sibel Agreli “Mutabar Tadjibayeva - Nadejda Ataeva” ......................................................................................... 162 29.05.2018. Аu president du Centre PRIMO LEVI et avocat, monsieur Antoine Ricard ………………………………….……. 164 Тrahison de l'avocat Victoria Zubkova-Allies ………………. 173 Galima Boukharbayeva / Deux militantes ouzbeks s'affrontent devant un tribunalFrançais ............................................................. 200 Expose de la demande au tribunal de Paris Nadejda Atayeva contre Mutabar Tadjibayeva …………………………... 204 Galima Boukharbayeva / Les ouzbeks, vous avez des raisons de suivre le procés à Paris ………………………...… 218 Nina Pshenichnaya / Querre hybride des droits de l'homme, ou pourquoi je suis pour Mutabar ….…………...…...... 223 30.08.2018. Nadejda Atayeva: Declaration sur les declarations fausses et insultantes de la defenseuse des droits humains Mutabar Tadjibayeva ..................................................................... 228 Balli Marzes: Human rights defenders and people of goodwill to protect Мutabar Тadjibayeva...................................... 234 Vadim Kuramshin: «Droits de l'homme – C’est Mutabar Tadjibayeva» …………………….………….…..…….. 238 11.09.2018. Nadejda Atayeva: En France, le tribunal examinera les requetes des avocats en allemagne, le procureur de Berlin a depose une plainte. ….………………………………….……... 244
438 Photo Mutabar Tadjibayeva avec Ambassadeur pour les droits de l'homme France François Croquette ......................... 249 15.10.2018. Письмо на счет встречу. Ambassadeur pour les droits de l'homme France François Croquette ............................... 250 29.10.2018. Mutabar Tadjibayeva / Monsieur le president de la France Emmanuel Macron, nous appelons a ouvrir un dialogue avec vous! …….……................................................….. 252 Monsieur le president de la France Emmanuel Macron, nous appelons a ouvrir un dialogue avec vous! ……………….… 253 09.11.2018. Jugement Correctionnel .......................................... 282 Galima Bukharbaeva / L'auge brisee de Nadejda Atayeva …….... 294 Conclusions Nadejda Atayeva ....................................................... 299 Mutabar Tadjibayeva / Adresse au Tribunal de Paris: appel à la Thémis française! Paris. France. Tribunal de grande instance .......................................................... 310 Participation des employes de la FIDH dans la campagne de diffamation contre Mutabar Tadjibayeva et mensonge a la directrice generale de la FIDH Eleonore Morel ..................... 349 28.02.2019. Reclamation conjointe de l’association internationale de defense des droits de l’homme «Club des cœurs ardents» et de la Coalition Mondiale «SDFCDDH» pour l’ouverture d’une enquete interne sur les actions illegales des employes de la FIDH en la personne d’Iliya Nouzov.........…. 351 18.03.2019. Lettre du president FIDH Dimitris Christopoulos “Situation of the international human rights association "Fiery hearts club" with the FIDH .................... 376 28.03.2019. Declaration conjointe l’association internationale de defense des droits de l’homme «Club des cœurs ardents» declare avec regret renoncer a son adhesion a la FIDH ................ 379
439 Galima Boukharbayeva / le parquet de Berlin a rejete la Plainte de Nadejda Ataeva contre C-1 .......................................... 406 Galima Boukharbayeva / l'audience devastatrice du proces de Nadejda Atayeva devant un tribunal de Paris ........................... 412 Galima Boukharbayeva / Non, Nadejda Atayeva, tu ne respireras pas avant la fin…………………………………….….. 416 15.05.2019. Détermination du tribunal de Paris ............................ 421 Galima Boukharbayeva / Le tribunal de Paris a confirme la verite de Mutabar Tadjibayeva! ..................................................... 429 Table of contents ........................................................................... 435
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441 Mutabar Tadjibayeva The legandare Paris court speaks about the crisis of the field of human rights! Documentary book. Book two Le tribunal légendaire de Paris parle sur la crise domaune des droits de l'homme! Livre documentaire. Editor: Mutabar Tadjibayeva Cover and illustration: Akbar Nurimbetov Publisher: LULU (USA) Online Self-Publishing Book & Ebook Company | Lulu https://www.lulu.com 2022
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