The words you are searching are inside this book. To get more targeted content, please make full-text search by clicking here.
Discover the best professional documents and content resources in AnyFlip Document Base.
Search
Published by Cercle Historique de Fléron, 2023-10-15 11:39:33

2018_3

2018_3

49 Le 24 juin 1633, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Liège mettent sous la garde de leur loi le testament reçu et authentiqué par le curé de Mélen Mathieu Hariga, en présence de 3 témoins dont 2 requis : Wilhem Bolland, Pirotte Piette et son épouse, de Jean Lange, d’Evegnée, et de Béatrice, malade, en faveur de ses fils, dont Michel Lange et de ses filles (19). Le 17 février 1704, le notaire H. Moulan authentifie le testament de Jean Lange et de Marie Piron, de Queue-du-Bois (20). Le 22 mars 1681, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament de Jean Lange, fils de Michel Lange et d’Anne, de Bouxhis, fille de Melchior, de Hotchamps, de Bouxhis, près de Fléron (7). Le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament approuvé le 20 novembre 1573, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament reçu et authentiqué le 21 février 1566 par le notaire, de dame Amande, veuve de Hubin Lassar, de Jupille. Elle demande d’avoir sa sépulture dans le cimetière de Jupille. Elle lègue en faveur de : 1- Jeanne, d’Evegnée, fille de Lambert de Fays d’Evegnée, sa cousine, demeurant près d’elle. 2- Maroie le charlier, fille de Maroie le charlier, de Retinne, et de Jehan le Masilhon, de Retinne (14). Le l3 mars 1643, le notaire Bauduin Gilman authentifie le testament d’Henri Laurent, fils de feu Wilheame Laurent et de Jeanne Mairlot, de Fléron (6). Le 6 novembre 1626, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament reçu et authentiqué par le chapelain de Fléron Pierre Jusnotz, d’Henri Laurent et de Pirette, de moulin-sous-Fléron, en présence d’Anne, d’Ayeneux (21). Le 5 août 1672, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament de Laurent le jeune, fils d’Henri Laurent et de Laurette Remacle (7). 12 janvier 1670, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament de Jean Lebois et de son épouse, de Fléron (7). Le 4 février 1670, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament de Gilles Lebois le jeune et de Catherine Balhan, fille de Thomas Balhan (7). Le 8 juin 1752, le notaire Vincent Labeye reçoit et authentifie le testament de Gilles Lebrun, de Sauheid (22). Le 24 novembre 1773, le notaire Nicolas Joseph .Lambinon reçoit et authentifie le testament d’Henri Lecart, vicaire de Cornillon, originaire de Chevron, dans le pays de Stavelot (16). . Le 10 avril 1665, le notaire Bauduin Gilman reçoit et authentifie le testament de Gilles Leclercq et de Marie Balhan, de Fléron (6). Le 9 février 1753, le notaire Gilles Cerfontaine authentifie le testament d’Elisabeth Leclercq et de ses 2 belles-sœurs : Catherine Bayet, veuve de Pascal Leclercq et d’Anne Marie Leclercq, veuve de. Nicolas Leclercq (1). Le 13 août 1674 le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament de Bauduin Jean Jacques Leclercq et d’Anne Dengis, fille de Toussaint Dengis, de Romsée (7).


50 Le 19 février 1716, le notaire Denis Nizet reçoit et authentifie le testament de Mathieu Jourdan Leclercq et de sa sœur Jehenne (12). Le 10 avril 1679, le notaire Wathieu Leclercq reçoit et authentifie le testament d’Henri Leclercq et de Marguerite, de Beyne (7). Le 10 avril 1665, le notaire Bauduin Gilman reçoit et authentifie le testament de Gilles Leclercq et de Marie Balhan, de Fléron (6). Le 3 octobre 1668, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament d’Henri Leclercq et d’Anne le Charlier dit Fléron (7). Le 24 juin 1694, le notaire Pascal Moulan authentifie le testament de Jean Leclercq et d’Elisabeth Petit, de Bellaire (17). Le 6 avril 1607, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament de Marie Fassotte et de Jourdan Leclercq, fils de Jean Gilles Leclercq (23). Le 1er avril 1694, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament reçu et authentiqué par le vicaire de Chênée Laurent Coune, de Jean Louis Leclercq et de Jeanne le Foulon, de Heusay (24). Le 1er septembre 1763, le notaire Vincent Labeye authentifie le testament de Marguerite Leclercq (22). Le 29 mars 1673, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament de Mathieu Leclercq, fils de Franck Leclercq, et de Catherine Franckson, fille d’Hubert Franckson, de Beyne (7). Le 21 février 1698, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament de testament de Jean Leclercq et d’Ida le Charlier, de Fléron (7). Le 8 septembre 1646, le notaire Bauduin Gilman reçoit et authentifie le testament de Jean Gilles Leclercq, de Fléron, et de son épouse (6). Le 18 janvier 1674, le notaire Wathieu Leclercq authentifie le testament d’Henri Leclercq, fils de Jourdan Leclercq, et d’Isabeau Massar, de Fléron (7). Le 16 janvier 1555, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament de Jeanne Mathieu, fille de Mathieu, de Retinne, épouse de Piron Léonard, de Beyne. Elle demande d’avoir sa sépulture dans le cimetière de Beyne. Il est approuvé le 10 juin 1570 par le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille (25). Le 3 juillet 1671, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Liège mettent sous la garde de leur loi le testament reçu et authentiqué par, le notaire Wathieu Leclercq de Mathieu Leclercq, fils de Jourdan Leclercq, et de Noëtte Sion, fille de Tristan Sion; de leurs fils et de leurs filles, dont Jean Leclercq et Jeanne Leclercq, de Fléron (26). Le 14 janvier 1636 (ou le 7 janvier 1641?), le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament de Melchior Leclercq dit Brocard veuf de Catherine Truillet, fille de feu Gilles Truillet (27). Le 27 février 1600, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament de Toussaint le doyen, de Trooz, et de Marie (28). Le 7 juillet 1627, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament de Jean Leduc, demeurant à Fléron (29).


51 Le 5 juin 1695, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament authentiqué et reçu par le chapelain de Fléron Henri Dardenne, de François Lelièvre et d’Isabeau Louis Jean Wilheame (30). Le 4 février 1726 le notaire Denis Nizet reçoit et authentifie le testament de Catherine Lemoine, de Nessonvaux, fille de Jean Bonaventure Lemoine et de Marie Nizet, de Nessonvaux (12). Le 11 août 1757, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le testament de Pierre Lemoine, de Heusay (31). x x x Références : Archives de l’Etat à Liège. I- Cour de justice de Jupille : (2) 186-299 ; (4) 179-143 ; (9) 180-34; (11) 180-64 ; (13) 177-161 ; (14) 49-41 à 43 ; (18) 178-87 ; (21) 180-208 ; (23) 178-73 ; (24) 186-330 ; (25) 46-204 ; (27) 179- 213 ; (28) 58-250v ; (29) 180-85 ; (30) 186-375 ; (31) 189-98. II- Cour de justice des Echevins de Liège, convenances et testaments : (10) 98-191 ; (19) 67-367 ; (26) 85-326. Fonds des notaires / (1) G. Cerfontaine ; (3) G. Labeye ; (6) B. Gilman ; (7) W. Leclercq ; (8) G. Moray ; (12) G. Nizet ; (15) G. Harzé ; (16) N.J. Lambinon ; (17) P. Moulan ; (20) H. Moulan ; (22) V. Labeye. P. Guérin. = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = VIII- Conflits Le 13 mai 1468, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit qui oppose Collard, de Bawe, d’Egosée, à son fils Johan Collard, à propos de la fontaine d’Egosée située dans un pré (1). Les 16 juillet 1475 et 19 août 1475, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit qui oppose Drian Gertrude, fils de Hannet Gertrude, de Prayon, à Cloes le fèvre, de Prayon (2). Le 30 janvier 1479, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit qui oppose Henrar, de moulin le jeune, petit-fils et représentant feu Henri, de moulin, et de Jehenne sa 1ère épouse, à Johan, de Piedboeuf, époux de Agnès, de moulin, fille du dit feu Henri, de moulin, et de sa 2ème épouse Catherine (3). Le 11 juillet 1497, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit qui oppose Grégoire le brasseur aux représentants : Johan de Beaksen, Louis Degeer et Gérard Tolet, échevin de la Cour de justice de Jupille, à propos d’ une rente due sur les héritages de Brialmont (4). Après le 11 juillet 1497, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit qui oppose Noirfalise à Johan, de Ruwechon (5).


52 Le 23 août 1513, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le condamnation de Collard, de Hersée, dans le conflit qui l’oppose à Mathieu, de Trappé, à propos de la cour de Ransier (6). Le 20 septembre 1527, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le conflit de Vignoul, à Jupille (7). Le 24 avril 1531, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit qui oppose les 3 fils de feu Hanchon Donnea, de Jupille, Johan Donnea, Thiry Donnea et Henri Donnea contre la veuve d’Henri Michel, fils de Johan Michel (8). Le 11 juin 1539, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement concernant le moulin de codeviole (9). Le 5 mars 1565, Le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le procès intenté par Marguerite, veuve de Jacquemin le Parmentier, de Herve, au meunier d’Olne Spirlet (10). Le 22 juin 1738, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’adjonction donnée par : I- les enfants et gendres de feu Barthélemy Labeye, de Barchon, et d’Agnès Grailet, fille de feu Piron Grailet (Fl. juin 2003 p.40) : 1- Bartholomé Labeye ; 2- Gérard Mélen, époux d’Agnès Labeye ; 3- Marie Prick, veuve de Jean Labeye, pour Pierre Labeye expatrié du pays ; 4- Agnès Gallet, fille de feus Jean Gallet et Catherine Labeye. au procès qui les oppose à : I- Henri Moreau, Jean Leclercq et consorts, représentant feu Pascal Grailet, fils du dit Pierre Grailet (11) (Fl. juin 2003 p.41 VIG). Le 23 mai 1737, le notaire J.E.de Micheroux authentifie la constitution donnée par Pierre Labeye à la veille de partir à la guerre et s’expatrier, et donne à sa sœur Agnès Labeye, épouse de Gérard Mélen (12). Le 25 août 1703, le notaire J.E. de Micheroux authentifie la caution donnée par Thomas Laval prêtre demeurant à Noiseux dans le Condroz dans le procès qui se déroule devant le mayeur et les échevins de la Cour de justice du ban de Herve au sujet de 8 dallers dus par Henri, de la Haye, du ban de Thimister (12). Le 13 avril 1527, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le rachat des droits d’une saisie par Johan Colin et Collard Colin, fils de Colin, de Ninane, des mains de Mathieu Delbrouck, Jacques Delbrouck, Johan Delbrouck, Lambert Delbrouck et François Delbrouck, fils de feu Mathieu le clerc, del brouck (13). Les 4 et 15 février 1533, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le rachat des droits d’une saisie par Mathieu, fils de feu Johan Mathieu, de Retinne, époux de Maroie, fille de feu Jacquemin, delle roche (14). Le 18 septembre 1534, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit qui oppose Servais Jacqueminet, fils de Collet Jacqueminet, et Jacqueminet Evegnée à propos d’une maison et d’un jardin, jardin joignant d’un côté le cimetière de l’église d’Evegnée, vers Tignée Léonard Bastin et d’autre côté la voie (15).


53 Le 28 janvier 1536, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi le jugement porté dans le conflit Wilheame Leloup, de Retinne, et Servais Jacqueminet, fils de Collet Jacqueminet, à propos d’une rente due sur une maison située à Evegnée (16). x x x Référence : Archives de l’Etat à Liège : I- Cour de justice de l’avouerie de Fléron : (1) 3-13° ; (10) 12-10 ; (11) date de l’acte. II- Cour de justice de Jupille : (2) 4-72v et 104 ; (3) 5-85 ; (4) 8-17v ; (5) 9-47v ; (6) 16-233 ; (7) 17- 16; (8) 19-124v et 137v ; (9) 25-13v ; (13) 16-234v ; (14) 20-205v et 217v ; (15) J.22-52v et.22-61; (16) 22-266v. III- Fonds des notaires : (12) J.E. de Micheroux. P. Guérin. = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = IX- Communauté de Vaux-sous-Chèvremont Le 7 septembre 1582, la Chambre des Comptes accorde une location de 2 bonniers pris hors des biens appartenant à la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (9). Le 16 juin 1642, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le rendage d’une parcelle de leurs communes par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à l’honnête homme Jean Magis, surcéant de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (10). Le 9 septembre 1649, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la constitution authentiquée par le notaire Henri, de Saive, donnée à Laurent, de Chession, l’aîné, et à Jean Magis, par les surcéants de la communauté de Vaux-sousChèvremont, pour satisfaire et fournir leur quote-part à ce qu’il convient d’exposer ou qui a déjà été exposé tant pour les troupes de Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège que pour les frais et les dépenses faits ou à faire pour les soldats des dites troupes (11). Le 22 novembre 1649, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la vente absolue de 2 parcelles de leurs communes par Laurent, de Chession, et Jean Magis, tous deux commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à Colin Magis et à Piron Magis, fils de Piron Magis (12). Le 28 novembre 1650, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le rendage, au prix de 450 florins liégeois, de 3 journaux de leurs communes situées en lieu-dit ‘les gottes’ par Laurent, de Chession, et Jean Magis, tous deux commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont et appendices à leur con-surcéant Piron Debouny le jeune. Ils ont effectué ce rendage pour payer Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège et s’exonérer du logement de ses soldats (13). Le 3 décembre 1650, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Laurent, de Chession, et Jean Magis, tous deux commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont et appendices et de Lambert Debouny, demeurant sur Chèvremont (14). Le 20 décembre 1651, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Laurent, de Chession, l’ainé, de Lambert Debouny,


54 demeurant sur Chèvremont et de Jean Magis, respectivement commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont avec leur con-surcéant Tristan le gros Henri (15). Le 2 juillet 1654, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Laurent, de Chession, l’ainé, Jean Bastin et de Lambert Debouny, de Chèvremont, commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (16). Le 21 juin 1655, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le rendage d’une commune par Laurent, de Chession, Lambert Debouny, et Bastin le jeune, fils de Jean Bastin, commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à Colin Magis, au prix de 18 rix dallers de 3 florins Brabant chacun, à employer à payer Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège et autres nécessités pour la communauté de Vaux-sousChèvremont (17). Le 12 février 1659, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont et du sieur Henri, de Curtius, seigneur d’Aaz, d’Hermée, et jadis bourgmestre de Liège, présentement possesseur du château de Vaux-sous-Chèvremont (18). Le 11 juin 1660, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité d’Henri Debouny, de Servais, de Chession, et de Drian le jeune, fils de Gillet Drian, commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, députés et autorisés par Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège et sa Chambre des Comptes par le règlement du 6 février 1660 (19). Le 21 novembre 1661, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la réception de650 florins 10 patars Brabant engagés sur les communes de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont ; pour garantir le payement d’une rente au 15ème denier, par Servais, de Chession, et par Henri Bauduin, dit ‘Debouny’, tous deux commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, envers le sieur Everard, de Henrard, l’un des receveurs de Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège, échevin de la Cour de justice d’Ans et Awans (20). Le 14 août 1663, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité entre Henri Debouny, commis de la communauté de Vaux-sousChèvremont, d’une part et Servais, de Chession, et Drian le jeune, fils de Gillet Drian, aussi commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont d’autre part (21). En 1664, la Cour Impériale de Wetzlar examine un document qui lui est présenté dans le procès qui oppose Reiner, de Boesman, à Henri, de Curtius (Cour Impériale de Wetzlar, supplément n° 54). Le lundi 11 janvier 1666, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le rendage par Servais, de Chession, et Henri Debouny, commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (22). Le 6 septembre 1666, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la constitution authentiquée par le notaire Nicolas Simonis et donnée pat surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à Charles Colette, prélocuteur devant les Cours de justice de l’avouerie de Fléron et de Jupille pour emprunter une somme de 1.500 florins Brabant (23). Le 7 mars 1667, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la visite des dégâts causés par le débordement des eaux de la Vesdre à l’île, située devant le château d’Henri, de Curtius, seigneur d’Aaz, d’Hermée, situé à Vaux-sousChèvremont (24).


55 Le 1er avril 1667, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Drian le jeune, fils de Gillet Drian, commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (25). Le 3 octobre 1667, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le récit de Roland, de Croupet, fils de Roland, de croupet, interrogé au cours de l’enquête menée sur le meurtre de Piron, de Pont, jeudi dernier, entre 8 et 9 heures du soir, durant la sise (repos assis) dans la maison de Drian Riga, à Vaux-sous-Chèvremont (26). Le 15 novembre 1667, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité des surcéants de la communauté de Vaux-sousChèvremont (27). Le mercredi 28 mars 1668, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Servais, de Chession, et d’Henri Debouny, commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, députés de Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège, à la répartition des communes de Vaux-sous-Chèvremont (28). Le 21 juin 1668, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la déclaration d’Henri, de Curtius, seigneur d’Aaz, d’Hermée, sur l’île de Ster, située devant la porte du château de Vaux-sous-Chèvremont (29). Le 25 août 1668, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la visite, à l’instance du noble Henri, de Curtius, seigneur d’Aaz, d’Hermée, d’une parcelle située sur l’île de Ster, au-dessus de Vaux-sous-Chèvremont pour constater des dégâts causés par le débordement des eaux de la Vesdre (30). Le 22 juin 1670, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi le rachat pour une somme de 706 florins 12 patars Brabant au sieur Everard, de Henrard, secrétaire en la Chambre des Comptes, l’un des receveurs de Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège, par Henri Hertay, commis de la communauté de Vaux-sousChèvremont (31). Le 12 août 1673, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Lambert Grisard, commis de la communauté de Vaux-sousChèvremont (32). Le mardi 12 décembre 1673, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Martin Grisard, pour son père Lambert Grisard, commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (33). Le 20 décembre 1674, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la prestation de serment de Laurent, de Chession, le jeune, élu le dimanche précédent à l’état de commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, par les manants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, assemblés comme de coutume sous le tilleul (34). Le 18 août 1675, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Laurent, de Chession, le jeune, commis et autres surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (35). Le 3 octobre 1675, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (36).


56 Le 21 décembre 1675, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’admission et la prestation de serment, authentiquées par le notaire Jean Remy, de Labye, de Gillet Collard, élu commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (37). Le 23 décembre 1675, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Gillet Collard, commis et autres surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (38). Le 1er février 1678, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Gillet Morea le jeune, commis de la communauté de Vauxsous-Chèvremont (39). Le 10 janvier 1679, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Gillet Morea le jeune, commis de la communauté de Vauxsous-Chèvremont, et de Jacob Treck (40). Le 7 mars 1679, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Laurent Paul, bourgmestre de la cité de Liège, et du sieur Pierre Georges, maître de fenderie, située à Vaux-sous-Chèvremont (41). Le 20 novembre 1679, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Gillet Morea, commis de la communauté de Vauxsous-Chèvremont, et de l’honorable sieur Pierre Georges, maître de forge, située à Vaux-sousChèvremont (42). Le 4 mars 1680, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (43). Le 1er décembre 1682, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi la prestation de serment de Servais, de Chession, élu hier commis par la pluralité des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (44). Le 4 mars 1683, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Servais, de Chession, commis de la communauté de Vauxsous-Chèvremont (45). Le 5 février 1685, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’admission et la prestation de serment, authentiquées le 2 janvier 1685 par le notaire Henri Morea, de l’honorable Laurent le Boulanger, capitaine de la communauté de Vauxsous-Chèvremont, élu commis et bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (46). Le 5 février 1685, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’enseignement pour la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (47). Le 7 janvier 1686, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’admission et la prestation de serment, authentiquées le 23 décembre 1685 par le notaire Henri Morea, de Toussaint Demollin élu commis et bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (48). Le 30 mai 1686, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’admission et la prestation de serment, authentiquées le 26 mai 1686 par le notaire Henri Morea, de Philippe Magis élu commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (49).


57 Le 13 janvier 1687, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité du sieur Pierre Georges, maîtres des 2 fenderies de Vaux-sousChèvremont, assisté par Martin Grisard, époux de sa fille Elisabeth Georges, de Jean Grisard, époux de sa fille Marguerite Georges, et de son fils le sieur Jean Georges, âgé de 24 ans (50). Le 30 décembre 1688, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’enseignement pour Lambert, de Chession, commis moderne de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, de pouvoir asseoir des tailles dans la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (51). Le 2 mai 1691, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’emprunt pour la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (52). Le 12 juin 1691, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (53). Le 30 juin 1691, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron mettent sous la garde de leur loi l’activité de Laurent, de Chession, le jeune, et de Laurent le Bounamay, tous deux commis de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (54). Le 25 mars 1747, le notaire Nicolas Joseph Lambinon authentifie la requête de Marie Joseph Legrandgillet, épouse de Laurent, de Chession, adressée à Mathieu, de Chession, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, et à ses 6 assesseurs : Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron, Ernest Cambresier, Pierre Rener, le capitaine de la communauté Gilles Grisard, Remy Leviteux et Philippe Magis d’agir pour faire rentrer de l’armée son mari, son domestique et ses 3 chevaux attelés à un char dit ‘carmanne’, enlevés de force depuis 6 semaines par les hussards autrichiens, exposés aux rigueurs de la tempête, sans nourriture et maltraités, et restés depuis à l’armée, guidés par Laurent, de Chession, et son domestique Mathias, sans avoir pu les récupérer, malgré les sollicitations adressées aux bourgmestres de la cité, ce qui provoque une perte pour son commerce (55). Le 6 mai 1747, le notaire Nicolas Joseph Lambinon authentifie la protestation de Laurent, de Chession, et de son épouse Marie Joseph Legrandgillet, contre les manants et la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (55). Le 19 novembre 1747, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à leur bourgmestre Mathieu, de Chession, à la suite de la réquisition par le lieutenant-colonel logé en Ayeneux, aux bourgmestres de l’avouerie de Fléron (56). Le 27 novembre 1747, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à leur bourgmestre Mathieu, de Chession, pour contracter un emprunt (56). Le 31 mars 1748, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à leur bourgmestre Mathieu, de Chession, pour emprunter 2.500 florins Brabant à Gilles Grisard, Pierre Rener et Henri Renard (56). Le 28 avril 1748, le notaire Gilles Moray authentifie l’emprunt de 2.500 florins Brabant Mathieu, de Chession, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont au sieyr Nicolas Cellier (56).


58 Le 16 juin 1748, le notaire Gilles Moray authentifie l’activité de Mathieu, de Chession, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, oncle et coadjuteur de Béatrice Leviteux, et Henri Leviteux, père et mambour de Béatrice Leviteux (56). Le 12 juillet 1748, le notaire Gilles Moray authentifie les actes concernant les logements et les charrettes imposés dans la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 13 juillet 1748, le notaire Gilles Moray authentifie les fourragements et les dégâts soufferts par la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 27 juillet 1748, le notaire Gilles Moray authentifie les déclarations pour les charrettes et les troupes, de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 25 août 1748, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 21 septembre 1748, le notaire Gilles Moray authentifie la résolution passée par les constitués et les députés de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 21 janvier 1750, le notaire Gilles Moray authentifie la protestation par Mathieu, de Chession, ancien bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, car, en suite de l’acte du 3 janvier 1751, authentifié par le notaire Gilles Moray, la communauté de Vaux-sous-Chèvremont veut qu’il rende ses comptes devant elle, comme de coutume, et non pas devant le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron (56). Le 19 mars 1750, le notaire Gilles Moray authentifie les comptes rendus par Mathieu, de Chession, ancien bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, depuis les comptes du 27 février 1748 et sa reconstitution comme bourgmestre de la communauté de Vaux-sousChèvremont, en conformité du mandement du 11 mai 1750 de Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège (56). Le 30 août 1750, le notaire Gilles Moray authentifie la députation par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont dans le procès qui l’oppose à l’abbé des Prémontrés (56). Le 28 décembre 1750, le notaire Gilles Moray authentifie la location au plus offrant pour un bail de 3 ans d’un passage d’eau à Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 3 janvier 1751, le notaire Gilles Moray authentifie la commission de bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, donnée à Philippe Magis (56). Le 25 janvier 1751, le notaire Gilles Moray authentifie les comptes rendus par Mathieu, de Chession, ancien bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 7 mars 1751, le notaire Gilles Moray authentifie la décision prise par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont de remettre à un arbitrage, la solution d’un procès (56). Le 23 mai 1751, le notaire Gilles Moray authentifie la protestation de tous frais, passée par Philippe Magis, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, car aucune résolution n’a été prise au sujet de l’école dans la réunion de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 20 juin 1751, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, à son bourgmestre Philippe Magis, interpelé par le mambour des pauvres de Chênée pour concourir aux frais de la maison d’école, car elle déclare de n’entendre


59 réclamer aucun droit à la maison de l’école de Chênée, ni même d’être entrée dans le payement d’un intérêt. Ils ont encore actuellement une maison d’école qu’ils paient eux-mêmes, indépendamment de la communauté de Chênée (56). Le 24 août 1751, le notaire Gilles Moray authentifie la décision prise dans la constitution donnée par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à Mathieu, de Chession, ancien bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont pour faire les comptes de chaque manant dans les fourragements (56). Le 28 novembre 1751, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à la personne de leur bourgmestre Philippe Magis (56). Le 13 mars 1752, le notaire Gilles Moray authentifie la location au plus offrant pour un bail de 3 ans d’un passage d’eau à Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 3 avril 1752, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à leur bourgmestre Philippe Magis pour résoudre le problème posé par la grange du curé de Chênée, soit pour rendre la construction de la grange au rabais entre les 7 communautés de la paroisse, soit pour convenir d’en sortir à prix d’argent, ou autrement (56). Le 7 mai 1752, le notaire Gilles Moray authentifie l’autorisation et la constitution données par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à la personne de leur bourgmestre Philippe Magis (56). Le 12 août 1752, le notaire Gilles Moray authentifie la ratification passée par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont de la convention authentiquée le 4 avril 1752 par le notaire Vincent Labeye entre les commis des 7 communautés de la paroisse de Chênée et le révérend sieur curé et l’obligation qu’ils ont de faire construire une nouvelle grange, avec les autres communautés, sans vouloir entrer dans les difficultés suscitées par le baron de Haxhe et autres (56). Le 7 janvier 1753, le notaire Gilles Moray authentifie l’autorisation et la constitution données par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont sur les personnes des sieurs Lerond et Chession, échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron, dans le procès qui l’oppose à l’abbé des Prémontrés (56). Le 7 février 1753, le notaire Gilles Moray authentifie la déclaration passée par plusieurs manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont dans le procès qui les oppose à l’abbé des Prémontrés (56). Le 6 mai 1753, le notaire Gilles Moray authentifie l’autorisation et la constitution données à Philippe Magis et à Mathieu, de Chession, par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont pour la réduction des rentes, passée par la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 11 juin 1753, le notaire Gilles Moray authentifie l’élection de députés par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 19 août 1753, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée par l’assemblée des manants et des surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont dans le procès qui l’oppose à l’abbé des Prémontrés (56).


60 Le 14 novembre 1753, le notaire Gilles Moray authentifie la déclaration de Jean-Baptiste, de Serexhe, de Laurent Decerf, de Jacques Franck, de Servais Rener et de Mathieu Derondchêne à propos d’une supplique que Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron, a adressée à Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège d’accorder une régence à la communauté de Vaux-sous-Chèvremont comme elle l’a fait pour la communauté de Chênée (56). Le 17 mars 1754, le notaire Gilles Moray authentifie l’assemblement, la ratification et la constitution de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont dans le procès qui l’oppose à Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron (56). Le 25 août 1754, le notaire Gilles Moray authentifie la dénomination par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont de 2 députés pour se trouver à la comparution ordonnée par Son Altesse Sérénissime le Prince de Liège dans les difficultés suscitées par Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron (56). Le 14 septembre 1754, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution donnée, en réponse à l’apostille du 16 mai 1754, par la communauté de Vaux-sous-Chèvremont dans les difficultés suscitées par Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron (56). Le 11 novembre 1754, le notaire Gilles Moray authentifie la soumission passée entre la communauté de Vaux-sous-Chèvremont et Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron (56). Le 29 novembre 1754, le notaire Gilles Moray authentifie l’assemblement et la révocation de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont dans le procès qui l’oppose à Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron, et la ratification de la soumission à un arbitrage (56). Le 9 février 1755, le notaire Gilles Moray authentifie la révocation passée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont de l’accord conclu par le curé de Chênée Jean-Laurent Dethier au sujet des difficultés et du procès engagés par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont contre Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron, leur remerciement au curé de Chênée Jean-Laurent Dethier pour ses médiations dans les difficultés et les procès, leur déclaration que la communauté de Vaux-sousChèvremont serait trop lésée et leur révocation de cet accord, restant sur leur droit affirmé dans la sentence portée par le mayeur et les échevins de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron (56). Le 6 mars 1755, le Conseil Privé conserve une convention conclue entre le bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, et Servais, de Chession, en réponse à une supplique contre un certain Magis, concernant le gouvernement de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (57). Le 17 juin 1756, le notaire Gilles Moray authentifie la protestation passée par Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron, contre les comptes rendus par Philippe Magis, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 14 novembre 1756, le notaire Gilles Moray authentifie la constitution passée par le bourgmestre et les assesseurs régents de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont contre Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron, (56). Le 7 août 1757, le notaire Gilles Moray authentifie l’activité d’Henri Pirard et de son beau-frère Philippe Magis, veuf d’Isabelle Pirard (56).


61 Le 11 septembre 1757, le notaire Gilles Moray authentifie l’accord conclu entre la communauté de Vaux-sous-Chèvremont et Servais, de Chession, échevin de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron (56). Le 17 novembre 1758, le notaire Gilles Moray authentifie le patrimoine presbytéral de 200 florins Brabant garanti sur ses biens par Pierre Rener, marchand, ancien bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, époux d’Anne-Marie Saweheid, à son fils Pierre Rener (56). Le 8 octobre 1759, le notaire Gilles Moray authentifie l’autorisation et la constitution passée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à leur bourgmestre Philippe Magis pour rendre en location une parcelle de leurs aisances (56). Le 7 novembre 1760, le notaire Gilles Moray authentifie la décision prise dans leur assemblée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont d’une rehausse des charretiers désignés par leur bourgmestre Philippe Magis pour se mettre à Herve au service des troupes (56). Le 25 janvier 1761, le notaire Gilles Moray authentifie l’élection et la commission de bourgmestre accordée à Servais Rener par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sousChèvremont (56). Le 8 février 1761, le notaire Gilles Moray authentifie la dénomination effectuée dans l’assemblée des manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 11 avril 1761, le notaire Gilles Moray authentifie le répertoire des registres, des documents et des papiers appartenant à la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (56). Le 31 mai 1761, le notaire Gilles Moray authentifie la résolution prise par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont d’autoriser leur bourgmestre Servais Rener de payer les charretiers employés aux corvées pour la réparation du chemin d’Ayeneux en direction de Herve (56). Le 2 août 1761, le notaire Gilles Moray authentifie la déclaration de plusieurs manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont concernant un passage (56). Le 1er novembre1761, le notaire Gilles Moray authentifie l’assise de 4 tailles dans la communauté de Vaux-sous-Chèvremont décidée par le bourgmestre Servais Rener, député par les assesseurs de la communauté (56). Le 24 avril 1768, les chanoines du chapitre de la cathédrale Saint-Lambert examinent une supplique du bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, demandant une charité pour ses manants, que la crise de la clouterie a plongés dans la misère (58). Le 3 janvier 1771, le notaire Melchior Denoël authentifie la déclaration des cloutiers de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont sur la convention conclue en faveur de leur bourgmestre Servais, de Chession, et authentiquée par le notaire Louis Pirghaye (59). Le 25 février 1773, le notaire Simonon authentifie la protestation du bourgmestre Servais, de Chession, contre les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (60). Le 26 juin 1780, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 2 juillet 1780, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la continuation de Pierre Guillaume Closon dans sa fonction de bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61).


62 Le 20 août 1780, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la ratification la perception de la dîme sur la culture des pommes de terre par la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 26 juin 1781, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 1er juillet 1781, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la continuation de Pierre Guillaume Closon, dans sa fonction de bourgmestre de la communauté de Vaux-sousChèvremont (61). Le 1er juillet 1782, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 11 août 1782, le notaire P.F. Boileau authentifie la constitution donnée par Henri Renard à Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 25 août 1782, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie le rachat des droits d’une saisie par Léonard Florkin, marchand apothicaire, des mains de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 7 juillet 1783, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 28 juillet 1783, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la continuation de Pierre Guillaume Closon dans sa fonction de bourgmestre de la communauté de Vaux-sousChèvremont (61). Le 28 juin 1784, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie 2 constitutions données par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, à Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, pour résoudre des discussions et les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vauxsous-Chèvremont (61). Le 5 juillet 1743, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la constitution et la continuation de Pierre Guillaume Closon, dans sa fonction de bourgmestre de la communauté de Vaux-sousChèvremont (61). Le 4 juillet 1785, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 10 juillet 1785, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la continuation de Pierre Guillaume Closon dans sa fonction de bourgmestre de la communauté de Vaux-sousChèvremont (61). Le 21 avril 1786, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la nomination par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont de l’avocat Dor et d’autres pour fournir l’argent demandé par la communauté de Chênée dans le procès concernant la perception d’une dîme sur la culture des pommes de terre (61). Le 3 juillet 1786, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (61). Le 9 juillet 1786, le notaire Jean Dieudonné Barbière authentifie la continuation de Pierre Guillaume Closon dans sa fonction de bourgmestre de la communauté de Vaux-sousChèvremont (61).


63 Le 10 décembre 1786, le notaire André Woos authentifie la constitution donnée par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont à Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (62). Le 2 juillet 1787, le notaire André Woos authentifie la constitution les comptes rendus par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, aux manants et aux surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (62). Le 3 juillet 1787, le notaire André Woos authentifie la cession par Pierre Guillaume Closon, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont d’une aisance au père Wright, procureur des jésuites anglais, le 28 mai 1787, située à masures et contenant 11 verges grandes et une quarte contre une rente de 20 patars Brabant par verge grande, conformément au règlement de 1658, en présence du prêtre J.S. Chession (62). Le 8 juillet 1787, le notaire André Woos authentifie le remerciement donné par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, à Pierre Guillaume Closon, pour sa bonne administration de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont depuis sa commission authentiquée le 26 mai 1777 par le notaire Vincent Labeye et la commission de bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont donnée à Daniel Grisard (62). Le 8 juillet 1787, le notaire André Woos authentifie la constitution et le pouvoir donnés par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, à Daniel Grisard, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, de lever des impôts (62). Le 14 octobre 1787, le notaire André Woos authentifie la cession d’un terrain par les manants et les surcéants de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont (62). Le 11 novembre 1787, le notaire André Woos authentifie la contre-protestation de Daniel Grisard, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, contre la protestation intimée par ses assesseurs : le prêtre J.S. Chession, Servais Rener, Simon Legros, Gabriel Remy, Jean Grisard et Michel Rener, concernant le payement des redevances de la communauté de Vaux-sousChèvremont (62). Dans sa séance du samedi 18 mai 1793, le Conseil Privé examine une supplique de Sébastien Rener, bourgmestre de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont, contre le notaire Decerf, mayeur de la Cour de justice de l’avouerie de Fléron et notaire et ordonne qu’elle lui soit communiquée afin qu’il comparaisse et qu’il rende compte (63). Le 13 vendémiaire de l’an 9, le notaire Léonard Lambinon authentifie la caution donnée par Paul Dor à la commune de Vaux-sous-Chèvremont (64). Liste des bourgmestres de la communauté de Vaux-sous-Chèvremont : Laurent, de Chession : 22 novembre 1649, 20 décembre 1651, 2 juillet 1654, 21 juin 1655. Jean Magis : 22 novembre 1649, 3 décembre 1650. Lambert, de Bounier : 20 décembre 1651, 2 juillet 1654, 21 juin 1655. Jean Bastin : 20 décembre 1651, 2 juillet 1654, 21 juin 1655 Henri le Bonier : 11 juin 1660, 26 novembre 1661, 14 août 1663, 11 janvier 1666, 28 mars 1668. Servais, de Chession : 11 juin 1660, 28 novembre 1661, 14 août 1663, 11 janvier 1666, 28 mars 1668. Drian Gillet Drian : 11 juin 1660, 14 août 1663. Drian Rigauld : 1er avril 1667. Henri Hertay : 22 juin 1670 Lambert Grisard : 12 août 1673. Laurent, de Chession, le jeune : 20 décembre 1674, 18 août 1675.


64 Gillet Collard : 23 décembre 1675. Gillet Morea : 1er février 1678, 20 novembre 1679. Louis Thomas : 14 mai 1679 Servais, de Chession : 1er décembre 1681, 1er décembre 168 Toussaint Demollin : 29 avril 1682, 23 décembre 1685, 26 mai 1686 Pierre Magnée : 18 janvier 1684 Piron Noël Servais : 18 janvier 1684, 2 janvier 1685, 30 octobre 1692. Laurent le Boulanger, capitaine : 2 janvier 1685, 30 octobre 1692. Philippe Magis : 26 mai 1686, 18 décembre 1 Jean, de Vivier : 6 août 1690, 2 octobre 1690. Laurent, de Chession, le jeune : 6 août 1690 Servais, de Chession, et Onifry, de Chevy ; Laurent, de Chession, et Laurent le Bounamay ; Philippe Magis et Bartholomé Croctay 11 novembre 1690 et 1691. Laurent, de Chession, : 30 juin 1691. Laurent le Bounamay : 30 juin 1691 Philippe Magis : 31 mai 1692, 22 novembre 1692 Onifry, de Chevy : 16 mai 1693. Jean, de Vivier, : 22 octobre 1694, 17 octobre 1695, 13 décembre 1696, 29 janvier 1699, 18 octobre 1703. Laurent le vieux, dit ‘Sauheid’ : 23 juin 170 », 19 juin 1704. Bauduin Detroz : 22 juin 1704, 25 juin 1705 Henri Magis : 13 août 1705, 23 juillet 1707, 18 janvier 1710. Jean le Boulanger : 18 novembre 1713, 10 octobre 1723. Piron Everard : 31 octobre 1723, 29 mai 1731 Pierre Rener : 14 septembre 1744 Mathieu, de Chession, : 19 novembre 1747, 25 janvier 1751. Philippe Magis : 3 janvier 1751, 17 août 1759, 9 novembre 1760. Servais Rener : 25 janvier 1761, 15 avril 1763, 17 septembre 1769, 18 novembre 1770 Pierre Guillaume Closon : du 26 mai 1771 au 8 juillet 1787 Daniel Grisard : 8 juillet 1787, 7 juillet 1788. Sébastien Rener : au 9 mars 1793 François Legros : le 29 avril 1793. Vincent Hubert : du 29 avril 1793 au 17 mai 1796 (Fl septembre 1990 p.59 à 63) x x x Références : (8) Edouard Poncelet : La seigneurie de Tignée. BIAL tome XXIII 1892. Archives de l’Etat à Liège. I- Conseil Privé : (7) : n° 439 ; (57) n° 234 XIII ; (63) 162. II- Chambre des Comptes (9) 73-69. III- Cour de justice de l’avouerie de Fléron : (10) 44-224v ; (11) 46-210 ; (12) 46-209v ; (13) 46-368v ; (14) 47-2 ; (15) 47-192 ; (16) 47-283v ; (17) 49-113 ; (18) 64-216v ; (19) 51-124 ; (20) 51-355v ; (21) 53-54 ; (22) 54-169 ; (23) 57-263v ; (24) 54-169 ; (25) 55-185v ; (26) 55-302v ; (27) 55-345 ; (28) 56-43 ; (29) 56-72v ; (30) 57-98v ; (31) 56-170v ; (32) 59-8v ; (33) 59-40 ; (34) 59-139v ; (35) 59-300 ; (36) 59-18v ; (37) 59-366v ; (38) 60-27v ; (39) 60-31 ; (40) 60-137 ; (41) 61-153 ; (42) 61-230v ; (43) 61-297 ; (44) 62-200 ; (45) 62-443v ; (46) 63-350 ; (47) 63-350v ; (48) 64-8v ; (49) 64-106v ; (50) 64-191 ; (51) 65-137 ; (52) 65-446v ; (53) 65-448 ; (54) 65-419. IV- Cathédrale. Secrétariat, Conclusions capitulaires : (58) 85-184v. II- Fonds des notaires : (1) T. Labeye ; (2) D. Nizet ; (3) R. Baar ; (4) H.M. Firquet ; (5) L. Pirghaye ; (6) H. Schrivers ; (55) N.J.Lambinon ; (56) G. Moray ; (59) M. Denoël ; (60) Simonon ; (61) J. D.D. Barbière; (62) A. Woos ; (64) L. Lambinon. P. Guérin


65 X- Activités économiques du 11 juin 1532 au 14 octobre 1718 Le 11 juin 1532, Johan Crahea l’aîné, de Jupille, (Fl. juin 1999 p.78) et ses 2 fils : Johan Crahea le jeune et Jaspar Crahea, époux de Maroie, ont une activité économique (6). Le 1er février 1550, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le renon en faveur de Johan Jacques, de Bouchmont, par Collard Simon, fils d’Henri Simon, Damide et Maroie Colin, de Warimont, Johan Simon et Johan Fraikin aux biens hérités de leurs parents et grands parents, situés à Bouchmont (26). Le jeudi 6 janvier 1551, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Johan Vieuxjean, filiâtre de Jacquemin, de Warimont (26). Le 2 mai 1555, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage par Isabeau Vieuxjean, fille de feu Johan Vieuxjean, de Thimister, à son frère Johan Vieuxjean, de sa part des biens hérités de leur père situés à Thimister (26). Le 25 février 1557, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Johan Vieuxjean, de Thimister, et de son frère Henri Vieuxjean (26). Le 3 janvier 1566, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Johan Vieuxjean, de Thimister, et de son soroge Thomas Moreau, fils d’Henri Moreau (26). Le 4 décembre 1567, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron Colin, fils de feu Johan Colin, de Fauwe, pour lui et pour les autres enfants orphelins de feu Johan Colin, de Fauwe, par leur tante, Pentecôte, d’une rente de 2 muids spelte perçue sur les biens tenus par son beau-frère Johan Colin, de Fauwe (26). Le 24 mars 1571, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la déclaration de Johan Colin et de Damide Colin : leur père Johan Colin a donné à leur frère, Piron Colin, en subside de mariage, la moitié de sa cour située aux Fawes (26). Le 31 janvier 1572, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin avec Gielet Pierkin, de fawes, demeurant présentement à Grand-Rechain (26). Le 23 février 1572, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Johan le jeune Thiry, de Waucomont, cousin de Johan le brasseur (26). Le 29 février 1572, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Johan le jeune brasseur, de Charneux, par son soroge Johan Vieuxjean, de Thimister (26). Le 10 avril 1572 et le 26 février 1575, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron Colin, fils de Johan Colin par Pierrot Wathelet, de bougnoul (26). Le 3 mai 1572, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Johan Vieuxjean, de Thimister par son frère Jaspar Vieuxjean, d’une parcelle appelée ‘le Hougne’ en présence d’Olivier Cloes, fils de Lambert Cloes, de Thimister (26).


66 Le 4 juin 1572, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Johan Vieuxjean, de Thimister par Johan, d’Oursis, demeurant à Froidthier, de sa part d’une maison, d’un jardin et d’une assise hérités de sa mère Maroie, veuve de Johan, d’Oursis, l’aîné, situés à Stockis et l’agréation de ce rendage par les 3 enfants de Johan, d’Oursis : Johan, d’Oursis, Cloes, d’Oursis, et Marie, d’Oursis (26). Le 4 septembre 1572, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage par Johan Vieuxjean, de Stockis, à Collard, d’Oursis, fils de Johan, d’Oursis, de Stockis (26) Le 7 mai 1573, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- l’activité économique d’Henri Vieuxjean, demeurant à la haie, sous Clermont-sur-Berwinne, et de son père Johan Vieuxjean, de Thimister (26). 2- le renon par Johan, dit Vieuxjean, de Thimister, aux 7 enfants et gendres de son second mariage : Jaspar Vieuxjean, Jacques Vieuxjean, Johan Vieuxjean, de Stockis, Johan Toussaint Vieuxjean, de Stockis, Johan Lintz ; Corneille Bragard et Isabeau Vieuxjean, des biens de Winand Hannot (26). Le 9 mai 1573, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jaspar Vieuxjean, de Thimister et de son beau-frère Johan Lintz (26). Le 18 février 1574, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron Colin, fils de Johan Colin par Johan Lefils, de Rassenfosse, d’une rente de 19 stiers spelte à percevoir sur une terre située près des fawes, tenue par Johan Colin (26). Le 10 novembre 1574, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron Colin, fils de Johan Colin par Johan Cuvelier, de bougnoul, d’une maison et d’un héritage situés à bougnoul (26). Le 15 février 1575, le mayeur et les échevins de la cour de justice de Mélen mettent sous la garde de leur loi l’activité économique d’Andrien Collard, fils du second mariage de feu Collard, de Vaux sous Bolland avec Pasqueau, de Micheroux, échevin de la cour de justice de Mélen (26). Le 26 février 1575, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron Colin, fils de Johan Colin par Johan Ulrich le jeune, de Charneux (26). Le 26 mai 1575, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Ulrich, fils de Johan Ulrich par son frère Mathieu Ulrich d’une rente d’un stier due sur les héritages de Lisleau, situés à Wadeleux, tenus par Ulrich (26). Le 5 novembre 1575 et le 29 novembre 1576, dans la nuit de la fête de Saint-André, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Closset Vieuxjean, de Thimister et de son frère Johan Vieuxjean (26). Le 12 avril 1576, le mayeur et les échevins la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Gertrude, veuve de Jean Bonjean, de Froidthier, par Johan Vieuxjean, de Stockis, son frère Jaspar Vieuxjean, Collard, d’Oursis, fils de Jean, d’Oursis, mambour de Gertrude, Johan Bonjean, fils de Jean Bonjean, de Froidthier, Cloes Bonjean, fils de Johan Bonjean, de Froidthier et Gérard, fils de Servais, de Sérezé, beau-frère de Cloes (26).


67 Le 30 novembre 1576, Johan Schulinier est en relation avec son beau-père, Jean Malherbe, de Cerfontaine (26). Le 8 août 1577, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron Colin, fils de Johan Colin par Paulis Christiane, des Fawes (26) Le 2 avril 1579, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le rendage à Thomas Jacquinet par Johan Vieuxjean, de Stockis, de 2 terres : une située à crapohaie et l’autre sur le thier de Herve, joignant les héritages de feu Rener, de Stockis (26). 2- le rendage à Thiry Servais, de Stockis, par Johan Vieuxjean, de Stockis (26). Le 17 juin 1579, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat par Johan Vieuxjean, fils de Johan Vieuxjean demeurant à Stockis, à Mathieu Jacques, de Herve, d’une rente d’un daller due sur les biens de Johan Vieuxjean, situés à Stockis (26). Le 13 août 1579, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- l’assignation au profit d’Henri Vieuxjean, demeurant ci-devant à la haie, dans la seigneurie de Clermont-sur-Berwinne par Steven, fils de Thiry Steven, de Clermont-sur-Berwinne, d’une rente de 6 dallers de 6 florins et demi liégeois chacun, due sur les biens tenus à présent par Johan Vieuxjean, beau-père de Steven (26). 2- le rendage au profit d’Henri Vieuxjean, demeurant Thimister par Steven, brasseur de Clermont-sur-Berwinne, d’un pré appelé ‘le pré Mathieu et priestespîne’ d’une superficie d’un bonnier, d’un journal et 7 verges, situé près de bourboux, dans le ban de Herve (26). Le 19 novembre 1579, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’échange entre Piron Colin, fils de Johan Colin et Johan Godefroid, gendre de feu Christiane, des fawes (26). Le 21 novembre .1579, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Henri Cloes, fils de Lambert Cloes, de Thimister, au profit de Johan Vieuxjean, de Thimister (26). Le 10 octobre 1580, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Franck, de Vivier, grand-père de Barbe, fille de feu Ernould Gielet, de Cerfontaine, et Servais Lambert, de Stockis, et Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, mambours des enfants d’Ernould Gielet (26). Le 7 décembre 1580, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport en faveur de Piron Colin, fils de Johan Colin par son beau-frère Henri Antoine de sa part d’un pré, d’une terre, d’une prairie et d’un buisson appartenant à son épouse, situés au lieu des fawes, à condition de payer leur dû aux enfants de Mentelette, de Loneux (26). Le 2 mars 1581, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Johan, de Vivier, fils de Franck, de Vivier, par son frère Franck, de Vivier, de sa part de l’héritage, de la maison, du jardin et de l’assise, situés à Cerfontaine, hérités de son beau-père feu Léonard Chaweau, à condition de payer ce qui est dû au représentant de feu Pierre Claes, et l’agréation de ce transport par ses enfants et gendres : Piron Colin, fils de Johan Colin, Servais le jeune, de Bouchmont, Johan Colin le jeune, Quoilin, gendre de Franck, de


68 Vivier, Martinon, de Vivier, Barbette, fille de feu Ernould Gielet, son gendre et la garantie de ce transport donnée par Franck l’aîné, de Vivier (26). Le 29 juillet 1581, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport en faveur de Piron Colin, fils de Johan Colin par Johan Soxhlet, de Cerfontaine, d’une rente de 3 stiers spelte et un quart due sur des biens de feu Johan Colin, des fawes, et héritée de sa tante Pentecôte, des fawes (26). Le 7 septembre 1581, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport d’un bien situé à Grosoneux, Piron Colin, fils de Johan Colin, par son beau-frère, Henri Antoine (26). Le 28 septembre 1581, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le relief par Pïron et Johan, fils de feu Johan Colin, des fawes, suite au décès de leur tante Pentecôte, des fawes (26). Le 10 novembre 1582, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport en faveur de Johan Brombard, des fawes, et de Piron Colin, fils de Johan Colin par Johan Welt, fils de feu Mathieu Welt, de Halleux, demeurant à larbespine (26). Le 22 novembre 1582, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- l’activité économique de Piron, de Windel, avec son cousin Piron Colin, fils de Johan Colin (26). 2- la relation économique de Johan Vieuxjean, de Thimister, et de Steven, de Clermont-surBerwinne (26). Le 22 décembre 1582, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage au profit de Johan Vieuxjean, de Stockis, par Léonard Ernotte, de Verviers, d’une rente d’un demi-muid spelte due sur les biens de Lambert Griton, tenus par Johan Vieuxjean, de Stockis (26). Le 29 décembre 1582, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le transport en faveur de Piron Colin, fils de Johan Colin par les 2 filles de feu Wilheaume le Maréchal, de Charneux : Maroie le Maréchal et Catherine le Maréchal, d’une prairie appelée ‘le trixhe à fawes’ (26). 2- le rachat à Piron Colin, fils de Johan Colin par le jeune Johan sauvage, de Bolland, gendre de feu Wilheaume le Maréchal, de Charneux (26). Le 3 septembre 1583, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Gillet Pirkin, des fawes, demeurant à grand-Rechain avec Piron Colin, fils de feu Johan Colin, des fawes (26). Le 3 septembre 1583, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Pirkin, fils de Gillet Pirkin, des fawes, beaufrère de Johan Cuvelier, fils de Collard Cuvelier, avec Piron Colin, fils de feu Johan Colin, des fawes (26). Le 24 novembre 1583, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de : 1- Johan Colin le jeune, des fawes, avec sa tante Pentecôte, des fawes (26).


69 2- Johan Colin le jeune, des fawes, avec son frère Piron, des fawes (26) 3- Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, avec son beau-frère Henri Antoine (26) Le 5 juillet 1584, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par le greffier Henri Herman (26). Le 4 avril 1585, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Piron Lefils (26). Le 11 avril 1585, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Barthélemy Stienne, fils de Piron Stienne par Piron Lefils, fils de feu Johan Lefils, des fawes, d’une rente de 4 dallers un quart de 6 florins et demi liégeois chacun, à percevoir sur les biens que Piron Lefils a rendus à son neveu Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, au prix de16 florins Brabant de 6 florins et demi liégeois chacun (26). Le 14 novembre 1585, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, Wathelet, fils de feu Piron Wathelet, de Bougnoul, Antoine, de Grosoneux, et Franck, de Soumagne (26). Le 21 novembre 1585, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- la donation par Franck, de Vivier, au profit de ses 2 fils : Johan, de Vivier, et Franck, de Vivier, de ses 4 gendres : Piron et Johan, fils de Johan Colin, Servais le jeune, de Bouchmont, Quoilin, demeurant à Cerfontaine, et Wilheame Fluchard, fils de Jacquemin Fluchard, avec eux Collard Antoine, fils de feu Antoine, de Beauregard, époux de Barbe , fille de feu Ernould Gielet, de Cerfontaine, gendre de Franck, de Vivier, pour lui et pour ses consorts, avec le consentement libre de son épouse Maroie, et pour une meilleure utilité de sa personne et de son épouse, sur les conseils de ses bons amis, ses héritages, sa maison, son jardin, son pré, sa prairie, ses haies et son buisson à condition d’acquitter les charges et de payer à Franck, de Vivier, et à son épouse,Maroie, une rente de 120 dallers, un tiers à Pâques, un tiers à ?.et un tiers à la fête de Saint André, soit chaque enfant une rente de 15 dallers de 6 florins et demi liégeois (26). 2- la promesse de ces enfants et gendres de donner annuellement, par reconnaissance, à leur père Franck, de Vivier, et à leur mère Maroie, 4 stiers de feutaige, des poires et des pommes et le pouvoir d’habiter sur le plancher qui est au-dessus de la cuisine, l’engagement de faire une cheminée et de chauffer leur vie durant, de pouvoir tenir une vache, et de lui donner une quarteron et demi de foin; de 20 pesées le quarteron, et la concession par Franck le jeune, de Vivier, à son père, de pouvoir user du cortil al chêne provenant des héritages de feu Lekeu, au prix d’une rente de 2 dallers à défalquer de son dû (26). Le 9 janvier 1586, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Guillaume Fluchard, fils de Jacquemin Fluchard et son beau-frère Quoilin, gendres de Franck, de Vivier, par Piron, des fawes, et Servais, de Bouchmont, leurs beaux-frères, aussi gendres de Franck, de Vivier (26). Le 20 février 1586, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Wuillaume, de Windel, par Thiry, de By, près de Charneux, d’une rente d’un daller de 6 florins et demi liégeois, due sur les biens tenus par Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes (26).


70 Le 13 mars 1586, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Servais le jeune, de Bouchmont, à son beau-frère Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes (26). Le 20 mars 1586, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Lambert, de Halleux, demeurant al neuve haie, d’une rente due sur les biens qui appartinrent au cuvelier, des fawes, tenus à présent par Johan Colin, fils de Johan Colin, des fawes (26). Le 4 septembre 1586, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le rendage à Wilhem le jeune, gendre de feu Christiane, des fawes, par Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes (26). 2- l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de son beau-frère Winand (26). Le 14 avril 1587, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le transport au profit de Thiry Merckelbach, de Stockis, demeurant à Aix-la-Chapelle et de Johan Vieuxjean par Thiry Rener de tous les biens qui appartinrent à l’épouse de feu Hubert, de la Haye, jadis mayeur de Julémont (26). 2- la relation économique de Jacques, de Warimont, et de son beau-frère Johan Vieuxjean, de Thimister (26). Le 28 juin 1587, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de son frère Johan Colin (26). Le 7 juillet 1587, Jean Gaspard, époux d’Aghis Lambert, une des 5 enfants de feu Lambert, de Bellaire, a une activité économique (7). Le 11 février 1588, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Paulus Christiane, des fawes, par Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, (26). Le 17 mars 1588, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Franck, de Vivier, de la 11ème part de d’une rente de 10 dallers héritée de son père Franck (26). Le 28 novembre 1588, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de Johan Georis, fils de Thiry Georis (26). Le 7 janvier 1589, Wilhem Gaspard, de Bellaire, a une activité économique (8). Le 20 avril 1589, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Piron Lefils, des fawes, d’une rente de 2 dallers, de 6 florins et demi liégeois chacun, due sur un pré (26). Le 7 mai 1589, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Piron Lefils, des fawes, d’une rente de 5 dallers, de 6 florins et demi liégeois chacun, due sur un pré appelé ‘nauxhorfosse’ (26).


71 Le 18 novembre 1589, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de son beau-frère Wuillaume Fluchard, fils de Jacquemin Fluchard (26). 2- le transport au profit de Johan, époux de Catherine, veuve de feu Johan le brasseur, de Charneux, par Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes (26). Le 23 novembre 1589, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Piron Lefils, des fawes, d’une rente d’un daller, de 6 florins et demi liégeois chacun, due sur les biens hors franchise de Jacques Bauduin (26). Le 27 novembre 1589, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de son beau-frère Servais, de Noblelieu (26). Le 28 novembre 1589, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Piron Lefils d’une rente de 2 dallers de 6 florins et demi liégeois chacun, due sur la prairie hors franchise de Jacques Bauduin (26). Le 31 janvier 1591, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la relation économique de Jacob François, de Halleux, et de Johan Vieuxjean, de Stockis (26). Le 7 février 1591, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la relation économique de Laurent Nizet, fils du grand Nizet, de Halleux, et de Johan Vieuxjean, de Stockis (26). Le 18 avril 1591, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la relation économique de Jacquemin Vieuxjean le jeune, fils de Johan Vieuxjean, de Thimister, et de son neveu, Johan Cloeset fils de feu Cloeset, de Corbillon (26). Le 16 mai 1591, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Lambert Gielet, fils de feu Johan Gielet, d’une rente de 2 dallers de 6 florins et demi liégeois chacun, due sur les biens de Gérard Wuillaume, situés à Sironval (26). Le 23 novembre 1591, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi ile rendage à Cloeset Godefroid par son beau-père Johan Vieuxjean, de Thimister (26). Le 28 novembre 1591, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de son beau-frère Winand, des fawes (26). Le 5 décembre 1591, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- l’activité économique entre d’une part Franck, de Vivier, et d’autre part Johan Colin, Franck Colin et Pïron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, Servais, de Bouchmont, Quoilin et Wilheaume Fluchard, avec eux Collas Antoine, représentant Gielet Ernould (26). 2- la relation économique entre Pïron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et son soroge Henri Antoine, de Grosoneux (26).


72 Le 9 décembre 1592, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Pïron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de Léonard Lambert, fils de Johan Lambert, par Catherine, veuve de Guillaume le meunier, demeurant à Charneux, d’une parcelle appelée ’la bollant fontaine’ (26). Le 23 juillet 1593, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Collard Vieuxjean le jeune, de Thimister et de son beaufrère Thiry Winand (26). Le 24 novembre 1593, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, par Piron, de Windelle, et son fils Piet, de Windelle (26). Le 7 juillet 1594, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Winand, des fawes, et son beau-frère Winand, par leur frère et beau-frère Piron, des fawes (26). Le 15 septembre 1594, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le transport à Steven, de la Haye, échevin de Clermont-sur-Berwinne et y demeurant, par son beau-frère Jacquemin le jeune Vieuxjean, de Thimister, d’une rente de 4 dallers due sur un bien de Steven, de la Haye, situé à Thimister (26). 2- le rendage à Collard le jeune Vieuxjean, de Thimister, par Steven, de la Haye, échevin de Clermont-sur-Berwinne, de sa part d’une maison située à Thimister (26). 3- la relation économique de Jacquemin le jeune Vieuxjean, de Thimister, et de Johan Lintz, de Thimister (26). Le 24 novembre 1594, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat par Léonard Lambert, fils de Johan Lambert, à Corneille, de Warimont, de 2 rentes : une de 3 dallers et demi due sur les biens de Léonard Lambert et l’autre d’un daller et demi due sur les biens de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes (26). Le 1er décembre 1594, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la relation économique de Steven, de la Haye, de Clermont-sur-Berwinne, et de son cousin Johan Vieuxjean, fils de Cloeset Vieuxjean (26). Le 16 février 1595, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la relation économique de Catherine, veuve de Léonard Erkin, manant à fosse dans le ban de Clermont-sur-Berwinne, et de Jacquemin le jeune Vieuxjean, de Thimister (26). Le 11 mai 1595, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piet, de Neufchâteau, demeurant à Herve, par son frère, Johan, de Neufchâteau, des biens de Piet, del hougne, située dans le ban de Charneux (26). Le 11 décembre 1597, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le relief obtenu par Jacquemin, de Warimont, Jacquemin le jeune Vieuxjean, Steven, de la Haye, de Clermont-sur-Berwinne, et Thiry Winand, de Thimister, des biens, cens, rentes et héritages échus après le décès de leur père Jacquemin, de Warimont, et de leur mère Catherine (26). Le 7 mai 1598, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Léonard Lambert, fils de Johan Lambert, à Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, d’une rente de 4 stiers et demi spelte (26).


73 Le 21 janvier 1599, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la vente par Maroie, veuve de Jean Lahaux à Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, d’une rente à percevoir sur les biens de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, hérités de sa tante feue Pentecôte, et l’agréation de cette vente par ses 3 enfants en âge de discrétion: Piron Colin, Maroie Colin et Catherine Colin et la garantie donnée par Piron Lahaux pour l’agréation de son frère Johan Colin (26). Le 1er juillet 1600, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Johan Colin le jeune, des fawes, par son frère Piron Colin (26). Le 15 juillet 1600, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron Colin, fils de Johan Colin, des fawes, et de Lambert, gendre de Jean Prévôt (?) (26). Le 9 septembre 1604, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique d’Art Goder, de Beauregard, des 2 frères : Piron, des fawes, et Jean, des fawes et de leur belle-mère, la veuve de Franck, de Vivier (26). Le 18 novembre 1604, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron, des fawes, et de son beau-frère Franck, de Vivier (26). Le 27 novembre 1604, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’assignation au profit des 2 enfants orphelins : Piron et Ulrich par Piron, des fawes, et le transport à Jean le jeune Lefils au nom des 2 orphelins par Piron, des fawes, d’une rente de 2 dallers, de 6 florins et demi liégeois chacun, due sur les biens tenus par Laurent Bolce, fils d’Henri Bolce et par Toussaint, fils de Jean Toussaint, acquis de la meunière Catherine (26). Le 29 décembre 1604 le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Steven, de la Haye, de Clermont-sur-Berwinne, pour lui et pour Jean, de Rechain, et sa belle-sœur Catherine à Thiry Winand pour lui et pour son beau-frère Jacquemin le jeune Vieuxjean, d’une rente due sur le moulin de Hameval (26). Le 3 février 1605, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le relief obtenu par Jacquemin le jeune Vieuxjean à la suite du décès de son frère Thiry Winand (26) Le 24 mars 1605, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Johan Colin le jeune, des fawes, par Anne, veuve de Jean Brombard (26). Le 29 décembre 1605, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à la veuve de Jacques, de Warimont, fils de Corneille, de Warimont, par son beau-frère Henri Jacquemin, de Warimont (26). Le 16 février 1606, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat par Piron, des fawes, à Henri Larchediach, marlier à Soumagne (26). Le 15 novembre 1608, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jean, des fawes, fils de Piron, des fawes (26). Le 20 novembre 1608, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Piron, des fawes, par Collas Antoine, d’une rente due sur les biens de Winand, de Larbuisson, hérités de la veuve Franck, de Vivier (26).


74 Le 18 décembre 1608, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Piron, des fawes (26). Le 5 février 1609, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le renon à son usufruit par Barbette, veuve de Mathieu Servais, de Bouchmont, avec le consentement de son second mari Jean, de Sironval, en faveur des 5 enfants propriétaires de son 1er mariage : ses 2 fils : Jean Servais et Servais le jeune son gendre, Mathus Mathy, fils de Simon Mathy et ses 2 filles : Catherine Servais et Laurette Servais (26). Le 5 octobre 1610, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Mathy Leroy, de Cerfontaine, à ses 2 beaux-frères : Jean Piet, del Hougne, et Mathy Baltus, d’une rente due sur les biens situés à Cerfontaine et qui appartinrent à Jean Leroy, de Cerfontaine (26). Le 24 novembre 1610, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage au profit de Mathiet, fils de Simon Mathiet, de Bouchmont, par Jean Servais, fils de Mathieu Servais, de Bouchmont et de ses 2 sœurs : Catherine Servais et Laurette Servais (26) Le 7 juin 1611, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- l’activité économique de Piron, des fawes, et de son frère Jean, des fawes, avec leur beau frère. Wuillaume Fluchar (26). 2- le transport à Piron, des fawes, par Servais, de Noblelieu, d’une rente d’un daller et demi, à percevoir sur les biens qui appartinrent à Winand, de Larbuisson, et qui sont tenus par son gendre (26). 3- la relation économique de Piron, des fawes, avec son fils Jean, des fawes (26). Le 25 juin 1611, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la relation économique de Laurent, des fawes, fils de Piron, des fawes, avec Jean Gérard, de Blanthier (26). Le 26 novembre 1611, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’assignation au profit des enfants du 1er mariage de Jacques Henrard, à savoir : Jérôme Henrard, Wuillaume, Léonard Henrard, et leur belle-sœur Jehenne François, par les enfants et le gendre de Léonard Henrard, de Charneux, à savoir : Henri Henrard, Piron Henrard, Mathy Leroy et Jean Defawes, fils de Piron Defawes (26). Le 24 octobre 1613, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Corneille, de Warimont, au profit des enfants orphelins de son fils Jacques, de Warimont (26). Le 26 juin 1614, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de François, de Chaineux, demeurant en Mont, dans le ban de Rechain, par les enfants et les gendres, héritiers de feu Franck l’aîné, de Vivier : Wuillaume Fluchard pour lui et pour son beau-frère Jean Franck, Franck le jeune, de Vivier, Quoilin, de Vivier, Servais, de Noblelieu, Collas Antoine, Collas Colin, fils du jeune Colin, gendre de Jean, des fawes, et Pïron, des fawes (26).


75 Le 21 avril 1614, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’échange entre Jean, delle Hougne, époux de Jehenne, veuve de Jacques, de Warimont, fils de Corneille, de Warimont, pour les orphelins du 1er mariage de Jehenne et Jean Louis, de Wadeleux (26). Le 24 avril 1614, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’échange entre Wuillaume, fils de Mathy Wuillaume, de Cerfontaine, et Jean, delle Hougne, fils de Piet, delle Hougne, pour les enfants orphelins du 1er mariage de son épouse Jehenne (26). Le 27 novembre 1614, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron, des fawes, par Jean, delle Fosselette, d’une rente de 2 dallers de 6 florins et demi liégeois chacun due sur des biens tenus par Pïet, delle Hougne, qui peut être rachetée au denier 16 (26). Le 11 mars 1615, le mayeur et les échevins de la cour de justice de Mortier mettent sous la garde de leur loi le transport de Jean Vieuxjean, brasseur à Chefneux, à Jacquemin, de Warimont, fils de Pirot, de Thiernagant, demeurant à présent à la petite Galoppe (26) Le 2 mai 1615, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Piron, des fawes, par Jean Lefils, fils de Gielet Lefils, d’une rente de 2 dallers de 6 florins et demi liégeois chacun, sur des biens tenus par Lambert (ou Laurent) Bolce, fils d’Henri Bolce, tenus à présent par Henri Bolce (26). Le 9 mai 1615, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- la tutelle de Piron, de fawes, sur son fils Jean, des fawes (26). 2- l’assignation au profit de Catherine, meunière de Charneux, par Piron, de fawes, (26). 3- l’assignation au profit de Gérard Pïrot, de Herve, par Jean Piron, des fawes (26). Le 14 mai 1615, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Gérard Pïrot, de Herve, par Jean Piron, des fawes (26). Le 20 octobre 1617, Collard, fils de feu Johan Collard, de faweux, demeurant à Beaufays (Fl décembre 2004 p.37 VB-3a) emprunte à France Servais, dit Harzé, bourgeois de Liège, 312 florins liégeois contre une rente de 26 florins liégeois dont le payement et le remboursement au prix de 12 florins pour chaque florin de rente sont garantis sur : 1- un fournil situé à Beaufays et un bonnier de pré et de terre, joignant vers l’est le fournil, vers le sud les héritiers de Piron Piette, vers Tilff la même part et du 4ème côté Henri. Il en a hérité lors du partage avec ses consorts le 16 septembre 1617 devant les échevins de Jupille. 2- une rente de 4 dallers due par sa sœur Catherine. 3- une rente de 17 florins liégeois due par Vincent, fils de Johan, de Gomzé, demeurant à Jehanster, dont il affirme sous serment qu’elle n’était nullement engagée ailleurs (13). Le 29 octobre 1617, Georges, fils de feu Tilkin Georges, demeurant au tiege à Beaufays, emprunte 25 florins Brabant à France Harzé, marchand bourgeois de Liège, contre une rente annuelle de 4 stiers, grande mesure d’avoine payée présentement par Jean Lamba Michel le vieux frère et consorts, représentant en ce cas feu Thomas, de Tiege, léguée au dit Georges par le testament de la veuve du dit Tilkin le 10 juin 1616 devant sire Jean Crasier notaire, curé de Chênée, acquise par le dit Tilkin par purgement d’une saisie des biens de Jean Adam, tournés en garantie par le dit feu Thomas, de tiege, au profit de Georges, de thier, le 7 janvier 1572 devant la cour de


76 Jupille et affectés sur une cour, maison, jardin et 3 bonniers situés à Beaufays, joignant vers l’est le dit Georges, vers l’ouest la terre saint Gérard, vers le sud le héritiers de Johan le ménestré et vers le nord Georges Tilkin. Georges Tilkin garantit le payement de cette rente jusqu’au remboursement du capital, sur sa cour, maison, jardin qu’il possède au tiege de Beaufays, joignant vers l’est le réal chemin, vers midi les représentants de Thomas, de tiege, vers l’ouest la veuve de Remy le godet (14). Le 2 janvier 1618, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi l’activité économique d’Henri Rahier demeurant aux bruyères de Jupille,.et d’Anne Delsemme, fille de feu François Delsemme, dit le Jeunehomme (12). Le 2 avril 1618, Dieudonné Baets, marchand bourgeois de Liège, rachète à Pirchon Thomas, de Chênée, au prix de 155 florins 9 aidants liégeois, 8 stiers d’avoine grande mesure dus par la veuve Remy le godet et les représentants de la veuve Gilet, del vigne, restant de 12 stiers, que feu Pirchon Lekeu, grand-père du dit Pirchon avait acquis de Thomas le chartreux, demeurant à Beaufays le 7 mars 1556 sur une maison où Thomas le chartreux demeure. Pirchon Thomas, de Chênée, donne en garantie une maison et un jardin qu’il possède à Chênée, joignant vers Liège Lambert Renchon, vers Vaux Collard Loly, vers Fléron les aisemences et d’autre côté Gielet Pot (15). Le 12 janvier 1619, France Servais, dit Harzé, bourgeois de Liège rachète à Jean le Godet, de Ninane, en sa qualité de mari de Maroie, fille de Mathieu des champs (Fl mars 2003 p.77 IIIB-2), au prix de 99 florins Brabant, le tiers d’une rente de 40 florins liégeois reçue du dit Mathieu en subside de mariage de sa fille Maroie, et que Mathieu a reçue le 11 juillet 1606 devant la cour de Jupille, de Jean, fils de feu Piron, de mosbeux, époux de Maroie, fille de Jean Colin, de Ninane, et de Maroie, fille de feu Piron, des champs (Fl juin 1999 p.70 IVA-3b ; mars 2003 p.77 IIIA), prise hors d’une rente de 60 florins Brabant acquise devant la cour de Jupille par Piron, des champs, le 10 décembre 1594 de Mathieu, de Jehanster, affectée sur la cour, la maison et le jardin situés à Beaufays, joignant vers l’est tant Everard, de Fraipont, qu’une voie, vers le sud le wérixhas, vers Liège Gérard, de tromely, et de l’autre côté Mathieu, de Jehanster, et une rente de 20 florins Brabant, 3ème part d’une rente de 60 florins Brabant aussi donnée à son épouse à l’occasion de leur mariage par Mathieu, de Jehanster, qui l’avait aussi reçue le 10 décembre 1594. Jean le Godet apporte en garantie sa maison et son jardin situés à Ninane. (16). Le 9 juillet 1619, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage au profit de Frambach, de la Haye, bourgeois de Visé, par Wuillaume, fils d’Henri Wuillaume, de Cerfontaine, son censier (26). Le 21 mai 1620, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Baltus, de Chawasy, par Denis Dor, Mathieu, fils de Denis, delle bouxhée, et Polis, de Froidthier, représentant les enfants orphelins de feu Franck, fils de Jean Franck, d’une prairie située à la voie de chasseroux, joignant Martin, de Bouchmont, et Mathieu, des Vignes (2). Le 12 novembre 1620, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jean Piron, des fawes, mambour de son père, Piron, des fawes (26). Le 2 mars 1621, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique des 4 enfants de Jean Franck, de Fonsny : Jean Franck, Simon Franck, Maroie Franck et Jehenne Franck, de Denis Bor, chirurgien demeurant à Herve et son beau-frère Mathieu Denis, delle bouxhée (26).


77 Le 13 mars 1621, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Clermont-sur-Berwinne mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Jean Vieuxjean, fils de Collard Vieuxjean, de Thimister, par son oncle Jacquemin le jeune Vieuxjean, de biens situés à Corbillon tenus par Olivier, de Neef (26). Le 30 mars 1621, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage au profit d’Henri Mathiet et de Mathus Mathiet, fils de Simon Mathiet et de leur beau-frère Polis, de Goirhé, par Servais, fils de feu Pirot Servais, de Charneux, constitué mambour des 2 fils de feu Mathieu Simar le jeune dit Matlocquet Michel Simar et Mathieu Simar, Andrian Gerits, époux de leur sœur Catherine Simar et pour les enfants orphelins de feu Augustin Simar, de Leyde, représentés par Michel Simar, d’une rente due sur les biens de Mathieu Simar, de Bouchmont (26). Le 12 juillet 1622, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Welt Derouau, beau-frère de Jacques Christiane (26). Le 10 septembre 1622, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’agréation par Jean Franck, fils de feu Franck, de Fonsny, et son gendre, de la vente d’une rente de 10 stiers spelte par leurs oncles Henri Mathiet et Mathus Mathiet à Olivier Mathonet, fils de Pirot Mathonet (26) Le 5 novembre 1622, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le relief obtenu par Simon Franck, de Fonsny, à la suite du décès d’Ailid Stienne et de Jehenne Stienne, de Bouchmont (26). Le 24 novembre 1622, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- l’activité économique de Mathieu Simon, de Bouchmont (26). 2- la relation économique de Jacques Mathiet, fils de Simon Mathiet et de son frère Mathus Mathiet (26). Le 1er juin 1623, un accord est signé entre Hermès Colin, demeurant à Droixhe, et Berthe, veuve de Mathieu Haxhe (17). Le 9 juin 1623, Jeanne, veuve de Constant, de Chantraine, pour 2 tiers et Jean Jacquet, dit cul d’or de Longdoz, pour l’autre tiers, rachètent, au prix de 300 florins liégeois à Lambert, de Harzé, demeurant au ban de Charneux, un cens de 20 florins liégeois créé au denier 15 , hérité après le décès de feu Jean, de Harzé, prieur haitie de Cornillon (Fl décembre 1995 p.78), reçu de Gilles Collinet, en sa qualité d’époux d’Agnès Gérard, fille de feu Gérard, de Chantraine, pris hors d’un cens de 26 florins liégeois créé par rendage le 5 mars 1583 devant la cour de Jupille par Gérard, de Chantraine, à Johan, de Chantraine, demeurant à Longdoz, d’un pré situé à Longdoz, joignant vers les chartreux la voie des foulons, en aval Collard le romain, vers l’Ourthe Béatrice, veuve de Collard, de Sougné, et en amont les représentants de Martin Thonon et d’un autre pré joignant en amont et en aval Jean, fils de Collard Hanchon, vers Beaurepart l’Ourthe et vers les chartreux Béatrice, veuve de Collard, de Sougné (18). Le 22 juin 1623, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la donation par Catherine Simar, fille de Simon Mathieu Simar, veuve de Franck le jeune, de Fonsny, épouse de Polis Louis (?), au profit des 3 enfants de son 1er mariage : Jean Franck, Simon Franck, Jehenne Franck et de son gendre Ernould Noël, de son usufruit aux maisonnages situés à Bouchmont, dont ses 4 enfants sont propriétaires, hérités après le décès de Simon Mathieu, de Bouchmont et de sa 1ère épouse, leur père et mère, grand-père et grand-mère (26).


78 Le 6 février 1624, Mathieu Kinet, demeurant à Beaufays (Fl mars 1999 p.40 IIIA) rachète à France Harzé, bourgeois de Liège, les droits d’une saisie obtenue le 18 novembre 1622 pour faute de payement d’une rente par Mathieu Kinet et Collard Lemaire, due sur une cour, une maison et un jardin situés à Beaufays, joignant vers l’est tant Everard, de Fraipont, qu’une voie, vers le sud le wérixhas, vers Liège Gérard, de tromely, et sur les autres biens de Mathieu, de Jehanster, hérités par Mathieu Kinet lors du partage avec ses autres cohéritiers des biens de leur père Mathieu, de Jehanster, le 16 octobre 1606 devant la cour de Jupille (19). Le 16 février 1624, France Harzé, marchand, bourgeois de Liège, rachète à Mathieu Kinet, demeurant à Beaufays, au prix de 400 florins liégeois, une rente de 4 dallers de 6 florins et 10 aidants liégeois pièce, acquise de Pirchon Fabri, gendre de feu Everard, de Fraipont, le 6 octobre 1622 devant la cour de Jupille et alors due par Gilles, le capitaine de Beaufays, qui représente au titre de retrait lignager Mathieu Kinet qui représente Jean et Everard, fils de feu Everard, de Fraipont. Mathieu Kinet apporte en garantie sa cour, sa maison, son jardin et 4 bonniers, joignant vers l’est Martin Courcol, vers le sud le wérixhas, vers l’ouest la voie de Beaufays et les maisons de bois et vers le nord tant Mathieu Kinet que les représentants d’Everard, de Fraipont (20). Le 17 août 1624, le mayeur et les échevins de la Cour de justice de Jupille mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Paulus, fils de Jean Paulus, demeurant à Rafhay, époux d’Isabeau Léonard, fille de feu Jean Léonard, dit le drapier (11). Le 23 novembre 1624, le mayeur et les échevins de la Cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Olivier, de Battice, fils de Wuillaume, de Battice, à Mathieu Baltus, de Champiomont, d’une rente à percevoir sur les biens de Mathy Leroy, de Cerfontaine, provenant de son beau-père Pirot, de Warimont (26). Le 28 mai 1625, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jacques Christiane, de Monty, avec Pirot Frambach le brasseur (26). Le 27 novembre 1625, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage à Jehenne Franck, fille de feu Franck, de Fonsny, par son oncle, Denis Bor, chirurgien et bourgeois de la franchise de Herve (26). Le 28 novembre 1625, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat d’un bien par Henri Michel, de Fonsny, à Jean Franck le jeune, Jehenne Franck et son beau-frère Ernould Noël (26). Le 4 décembre 1625, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jacques Christiane, de Monty, avec son beau-frère Jacques Simon (26). Le 12 février 1626, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Franck, de Vivier, son beau-frère Quoilin, de Vivier, Jean Piron, des fawes, mambour de son père Piron, des fawes, et son oncle Jean Franck (26). Les 30 avril 1626, 20 septembre 1640, 10 juillet 1649 et 11 mars 1673, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jacques Christiane, de Monty (26). Le 17 décembre 1626 le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Servais Maigret, échevin de la cour de justice du ban de Herve et de Mathieu, fils de Simon Mathieu, de Bouchmont (26).


79 Le 3 octobre 1628, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jean Piron, des fawes, fils de Piron, des fawes (26). Le 17 décembre 1626 le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Mathus, de Bouchmont, beau-frère de Jean Servais, fils de Mathieu Servais (26). Le 6 juillet 1628, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le relief obtenu par Denis Bor, chirurgien, la veuve de Mathieu Denis et Ernould Noël, à la suite du décès d’Herman Franck, fils de Jean Franck, de Bouchmont (26). Le 27 mai 1629, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le rendage au profit de Lambert le jeune, de Halleux, par Jean Piron, des fawes, fils et mambour de Piron, des fawes (26). 2- la supplication de Piron, des fawes, et de Léonard Lambert, fils de Jean Lambert, habitants du ban de Charneux, dans la juridiction du ban hors franchise de Herve et le duché de Limbourg. Leur fils Laurent Piron, des fawes et son épouse, leur fille Héluy Lambert, décédés il y a quelque temps, ont laissé en vie 7 à 8 petits orphelins, tous en bas-âge, propriétaires d’une petite maison et de quelques bonniers, pour lesquels ils demandent un secours (26). Le 13 septembre 1629 et le 31 janvier 1630, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la relation économique d’Ernould Noël, de Herve, avec son beau-frère Simon Franck (26). Le 6 avril 1630, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Mathieu Baltus, beau-frère de Mathy Leroy, de Cerfontaine (26). Le 16 mai 1630, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jean Vieuxjean, fils de Collard le jeune Vieuxjean, de Thimister, cousin de Jacquemin Vieuxjean, fils de Jacquemin le jeune Vieuxjean, de Thimister (26). Le 27 novembre 1630 le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique d’Henri Mathiet, fils de Simon Mathiet, de Bouchmont, de son frère Mathus Mathiet et de Jean Jacquet, fils de Collard Jean Jacquet, époux de leur sœur Catherine Mathiet (26). Le 30 octobre 1631, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat par Mathy Leroy, de Cerfontaine, à sa belle-sœur Marie, veuve de Collard Simar (26). Le 7 février 1632, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Mathy Leroy, de Cerfontaine, par Cornet Jacques, de Cerfontaine (26). Le 9 juin 1633, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l'activité économique de : 1- Mathy Leroy, de Cerfontaine. 2- (26).


80 2- Simon Christiane, frère de Jacques Christiane, de Monty (26). Le 9 juin 1633, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l'activité économique de Mathy Leroy, père de Mathy Leroy, de Cerfontaine, avec Jacques Christiane (26). Le 30 juin 1633, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l'activité économique de Jean Leroy, fils de Mathy Leroy, de Cerfontaine, beaufrère de Jacques Christiane, de Monty (26). Le 27 novembre 1630 le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jacques Mathiet, fils de Simon Mathiet et de son frère Mathus Mathiet (26). Le 14 février 1634, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport d’une rente par Collard, beau-frère de Jean, delle Hougne, due sur les biens des enfants orphelins du 1er mariage de son épouse (26). Le 9 novembre 1634, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la possession d’un bien de Catherine, mère de Jacques Christiane, de Monty, qui appartenait à son fils Simon Christiane, décédé (26). Le 16 juin 1635, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le rendage au profit de Pierrot Mathy, de Hauzeur, fils de Jean Mathy, par son beau-père Jean le Parmentier, bourgeois de la franchise de Herve d’une maison, d’une étable, d’une brassine et de ses ustensiles et la garantie de ce rendage fournie par Jean Mathy, de Waucomont, père de Pierrot Mathy, de Hauzeur (26). 2- le rachat par Jean Mathieu, à Collas, de l’abbaye, pour les enfants orphelins de feu son gendre Lambert le Parmentier et l’agréation de ce rachat par le grand-père et mambour de ces enfants orphelins, Jean le Parmentier l’aîné (26). Le 21 février 1636, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l'activité économique de Jacques Christiane, de Monty, avec Wuillaume Bastin, delle waide, et son beau-père Léonard Lambert, fils de Jean Lambert (26). Le 21 février 1636, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l'activité économique de Collard, de Labie, échevin de la franchise de Herve et de Jean le Parmentier, jadis bourgmestre de la franchise de Herve, grand-père paternel et grandpère maternel des enfants orphelins de feu Lambert le Parmentier et de Marie Collas, avec Pirot, fils de Mathieu Pirot, gendre de Jean le Parmentier (26). Le 3 septembre 1639, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi l’agréation de l’activité économique de Maroie, veuve d’Henri, de Vaux, par son fils Guillaume Guyot, bourgeois de Liège, ses 3 filles : Isabeau Guyot, Marie Guyot et Catherine Guyot et son gendre Jean (26). Le 28 juin 1640, Etienne Contraire, fils de feu honorable Charles (?) Contraire, marchand, vend à Paul Debois, bourgeois de Liège et à son épouse Philippette Jean, une maison dite ‘la maison des Fassotte’, une étable, les appendices et les appartenances situés assez près du pont de nuisset dans la paroisse de Saint-Martin-en-île, joignant vers le pont de nuisset le pont d'île, devant les représentants d’Henri Serette et en aval le chemin.


81 Cette maison fut possédée auparavant par Marie Delbrouck et acquise le 22 janvier 1635 par Denis Leruite, beau-frère d’Etienne Contraire. Le prix est un cens de 35 florins Brabant, outre quelques charges. Cette vente est enregistrée et mise en garde de loi par les échevins de Liège, greffe Ostreman.(1) (2). Le 30 janvier 1642, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Marion, veuve d’Henri Michel, de Fonsny, par Maroie, veuve de Mathieu Denis, maître Jean Bor, chirurgien, et Ernould Noël et l’agréation de ce transport par son fils Denis Mathieu, Jean Franck et Denis Franck (26). Le 18 mars 1642, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi l’agréation de par Collas le Parmentier, fils de feu Lambert le Parmentier, du rendage des maisonnages par son grand-père Jean le Parmentier à son oncle Pierrot Mathy, fils de Jean Mathy (26). Le 30 octobre 1642, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage du 28 octobre 1641 par Jehenne veuve de Jacquemin le jeune, de Thimister, à Servais Dôme et son agréation par Jacquemin Massin, Warnier Johan et Mathieu le Serwier le jeune, ses beaux-frères (26). Le 15 septembre 1644, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat de Piétresse, veuve de François Christiane, fils de Jacques Christiane à Jacques Christiane (26). Le 16 avril 1645, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Collas, de Labeye (aussi Labie et l’abbaye), échevin de la cour de justice du ban de Herve, mambour des enfants orphelins de Jean le Parmentier (26). Le 16 mai 1650, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jean Collard le jeune, de Thimister, et de son cousin Jacquemin, fils de Jacquemin le jeune, de Thimister (26). Le 31 janvier 1651, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique authentiquée le 19 janvier 1650 par : Jean Hannot, Jacques Maigret, Guillaume Warimont, Jean junior, de Gerono, Servais Maigret, Pasqueau le meunier, Jean, de Windelle, Jacquemin le jeune, Sion Henri, Guillaume Duchâteau, Pierre Goeders, de Beauregard, Jean, de Gerono l’aîné, Olivier Mathonet, François, de la Vieillevoye, Mathieu, de Hodiamont, Thomas Franck, dit Petitbois, Guillaume, de Bebronne, Cloes Jeanson, Jacquinet, de Chalbot, Mathieu Servais, Herman Defawes, Thomas, fils de Jean Thomas, Laurent Goeder, Wuillaume Jacques, Jean Frambach, Jean Lefils, fils de Gillet Lefils, Polis Josselet, Olivier, de Tiège, Piron Piet, de Windelle, Guillaume , de Wé, Polis, des Vignes, Servais Michel, Jean Henri , de Warimont, Gielet Hanlet, Collas, des Vignes, Léonard Pasqueau, Bartholomé, de Fraipont, dit Lacot, Thjry, des Colombs, Jean, de Wé, Adam Martin, Massin Maigret, Olivier Piron, Wuillaume Laques le jeune, Pasqueau Wathy, de Battice, Henri, de Rozai, Winand Mathy, fils de Jean Mathy, Jean Thomas, de Chaineux, Lambert Collas, de Bouchmont, Thomas Léonard, Jean Martin, Collas, de Battice, Collas, de Boeur, Léonard Servais, Martin, de Befve, Guillaume le jeune, de Wé, et Jean Hannot, mayeur, échevins, asséeurs jurés et principaux manants des bans de Herve et de Charneux (26).


82 Le 17 mars 1651, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’agréation par Marie, de la Sauvenière, fille de feu Collas, de la Sauvenière, d’un rendage au profit des 2 fils de Mathy Leroy, de Cerfontaine : Jean Leroy et Henri Leroy (26). Le 12 octobre 1651, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage au profit de Thiry Daniel par Collard le Parmentier, fils de Lambert le Parmentier et par son beau-frère Guillaume Erven, d’une maison, d’une étable et d’un cortil situés sur le marché de Herve (26). Le 25 novembre 1651 et le 4 janvier 1652, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Warnier Jacquemin le jeune, de Thimister, et de son frère Jacquemin le jeune (26). Le 25 novembre 1651, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Jean Herman, de Rogister, et de Jacquemin le jeune, mayeur d’Andrimont (26). Le 13 janvier 1652, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Baltus Herman, de Champiomont, aux enfants et représentants de feu Mathy Leroy, de Cerfontaine : Léonard Leroy, Henri Leroy, Jacques Christiane, Isabeau Leroy et Maroie, veuve de Jean Leroy (26). Le 20 mars 1653, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit d’André Guyot, de son frère Guillaume Guyot et de leur sœur Jehenne Guyot, par leur oncle Gaspard Goffard (26). Le 23 novembre 1653, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Gaspard Goffard, huissier du Souverain Conseil de Brabant à son neveu Guillaume Guyot, d’une rente héritée de sa grand-mère, la veuve d’Henri, de Vaux, du chef de sa mère Marguerite, de Vaux, fille de feu Henri, de Vaux (26). Le 27 novembre 1653, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Michel Bartholomé, d’Oultrecourt, par Toussaint Simon, fils de Jacques Simon, demeurant en Malvaux (26). : Le 8 septembre 1659, André Collette et son frère Collette André Collette cèdent et transportent à leur frère Jacquemin André Collette André tout ce qui pouvait leur compéter à l’hérédité tant des biens mobiliers qu’immobiliers de feu leur frère Wilheaume André Collette. Ensuite André Collette et son frère Collette André Collette et Jacquemin André Collette tant en son propre que comme héritier de feu Wilheame André Collette partie faisant aussi pour leur beau-frère Jean Lassaux, transportent à Servais Harzé une rente d’un daller et demi que Servais Harzé leur doit à la suite du rendage proclamatoire fait par leur père feu André Collette pour son usufruit et la propriété de ses enfants orphelins (Fl décembre 1988 p.95 et septembre 2006 p. 41 n°21) à feu David Renchon premier mari de l’épouse Servais Harzé le 26 mai 1626 devant les échevins de Liège (Fl décembre 2002 p.22 I-4) et ce, au moyen d’une génisse que Servais Harzé a livrée à Jacquemin André Collette passé environ 2 ans. A ce prix, les transporteurs se trouvent entièrement contents et satisfaits du dit Servais tant du capital que des canons arriérés, lui faisant par cette bonne, entière et absolue quittance. Ce transport est réalisé dans la maison du notaire Grégoire Harzé, située à Queue-du-Bois dans la paroisse de Fléron, en présence d’Héluy Laroche, épouse de Lambert Dethier, d’Anne Laroche et de Marie, épouse de Henri Laroche témoins à ce requis et appelés et du notaire Grégoire Harzé.


83 Le 30 mars 1660, Jean Lassaux, époux d’Oudelette fille de feu André Collette, ayant eu lecture de l’acte de transport et cession faite tant en faveur de Jacquemin André par ses 2 frères : Collette et André par devant le notaire Grégoire Harzé le 8 septembre 1659 que du transport fait par Jacquemin Collette et André Collette en faveur de Servais Harzé le dit jour auquel Jacquemin Collette avait fait partie pour le dit Lassaux, est ratifié, loué, agréé et approuvé par Jean Lassaux. Ce transport et cette approbation ont lieu en la maison du notaire Grégoire Harzé située à Queuedu-Bois en présence d’Héluy Laroche, épouse de Lambert Dethier et d’Anne Laroche, témoins à ce requis (4). Le 30 septembre 1660, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le renon par les 5 enfants de feu Guillaume Masset et de Marie, de Warimont : Jacquemin Masset, Guillaume Masset, Jean Masset et Maroie Masset, veuve de Jean-Joseph, Toussaint Simon, fils de Jacques Simon, époux de Marie Masset au profit de Martin Ferir et de son fils Everard Ferir, échevin de la cour de justice de la franchise de Herve (26). Le 28 mai 1661, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Christiane, fils de Jacques Christiane, de Monty, à Jehenne Mouton, épouse de Léonard, de Cunion, bourgeois de Herve, d’une rente due sur les biens de son père Jacques Christiane (26). Le 20 mars 1664, le mayeur et les échevins Blanche et G. de Warimont de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi et font enregistrer par leur greffier l’activité économique mise en justice le 28 juin 1662 d’Isabeau Leroy, fille de Mathy Leroy, delle garde de Dieu (26). Le 7 juin 1664, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport authentiqué le 4 septembre 1663 par le notaire Paul, à l’honorable maître Simon Guillaume, marchand de Visé, par Léonard Leroy, manant d’Asse, son frère Henri Leroy, de Cerfontaine, Antoine Léonard, gendre de Léonard Leroy, partie faisant pour son beaufrère Jacques Christiane, Isabeau Leroy, fille de Mathy Leroy et les enfants orphelins de leur frère, avec promesse d’obtenir leur ratification (26). Le 23 février 1668, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport à Jacques Pirard, fils de feu Mathieu Laurent Pirard, et à son épouse Anne Wéra, fille de Welt Wéra, par Jacques, fils de Wuillaume Jacques, d’une rente due sur les biens de Jacques Christiane, de Monty (26). Le 29 janvier 1669, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage de Wuillaume Joseph, fils de Jean Joseph au profit de Martin Ferir et de son fils Everard Ferir, échevin de la cour de justice de la franchise de Herve (26). Le 8 février 1669, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi l’agréation authentiquée par le notaire Artus, de Visé, de l’acte de renon du 30 septembre 1660 par les 7 enfants orphelins de feu Libert, de Gurné, et de Marguerite Masset, demeurant à Verviers : Libert, de Gurné, Wuillaume, de Gurné, Olivier, de Gurné, Jacques, de Gurné, Jean, de Gurné, Pirard Jaspar, époux d’Anne, de Gurné, et de Marie, de Gurné (26). Le 14 mai 1669, Lambert Dosquet, échevin d’Amay emprunte 2.500 florins Brabant au noble seigneur Louis de Libois, conseiller de Sa Sérénissime Eminence en sa Chambre des Comptes et des Etats réviseurs, contre rente de 100 florins Brabant, qui peut toujours être rachetée au denier 20. Cet emprunt est réalisé dans la maison de Louis de Libois, située derrière la collégiale SaintPaul à Liège (1) (2).


84 Le 7 mai 1669, le noble Louis de Libois, seigneur de Libois, à la requête reçue le 13 mars 1669 de la demoiselle de Tornaco, mère d'Henri Plumier paie 150 florins Brabant à l’honoré Erasme Massillon, jurisconsulte et avocat de la cour de l'official de Liège, l'un des tuteurs d’Henri Plumier. Ce payement est réalisé dans la maison de Louis de Libois, située derrière la collégiale SaintPaul à Liège dans la paroisse de Saint-Martin-en-île, en présence des 2 témoins requis : Jean François et Guillaume Moreau. Erasme Massillon signe sa quittance (1) (2). Le 10 mai 1669, le noble et illustre Louis de Rossius, seigneur de Libois, chanoine de l'illustre cathédrale de Liège, conseiller de Son Altesse Sérénissime déclare que dans le remboursement fait en son nom et au nom de madame Cassal et autres, il a employé les 12.500 patacons que le seigneur de Libois lui avait comptés à cet effet, à la suite des accords en vertu desquels le noble Etienne de Rossius conseiller de Son Altesse en sa cour féodale et bourgmestre de Liège l’admettait à concurrence de tous achats et comme pour l’extinction des rentes restantes affectées sur les biens du seigneur de Libois, il reste encore à charge 4.500 patacons, il promet à Etienne, de Rossius, de les lui rembourser dans un délai de 2 ans. Cette déclaration et cet engagement sont signés au palais de Liège, en la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : Jean Grand Aaz, chanoine de l’église collégiale SaintPierre et Everard, de Henrard, secrétaire de la Chambre des Comptes (1) (2). Le 2 mars 1670, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de la veuve de Mathieu Leroy, de Cerfontaine, avec Olivier Collas, de Rosmel (26). Le 16 mars 1670, le noble et généreux seigneur Louis François baron de Mirbacht de Hennest, seigneur de Stevoort, Berbrouck, drossard et haut officier du comté de Looz est pressé par le sieur Devor de payer 4 années d’arriérés d'une rente de 200 florins Brabant affectés sur sa maison et ses biens de Stevoort. Il n’a argent à la main. Pour prévenir les frais ultérieurs, il vend au noble et généreux Louis de Rossius, seigneur de Libois, au prix de 600 florins Brabant, une terre d'environ un bonnier nommée ‘peerveld’, joignant une autre terre du même nom appartenant à Louis de Rossius, louée à présent à Herman Goreux à Stevoort. Il se réserve cependant durant 3 ans le droit de la racheter de même que l'engagère d'une prairie nommée ‘jurwée’. Cette vente est réalisée au palais de Liège dans la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : le baron de Horion, mayeur de Curenge et Guillaume Méan. Tous signent (1) (2). Le 3 juin 1670, le noble et illustre seigneur Louis Rossius seigneur de Libois, chanoine de l'illustre cathédrale de Liège consent que les 600 patacons mis en dépôt auprès du seigneur Blois pour le rachat des mains de l'avocat Vlierdenne soient par le sieur Blois remis en mains du sieur Rondelet suivant la commission du seigneur de Mirbacht, à condition que le seigneur de Libois donne décharge au sieur Blois de ses obligations concernant cet argent. Ce consentement est donné au palais de Liège dans la Chambre des Comptes, en présence, des 2 témoins requis : Everard, de Henrard, secrétaire de la Chambre des Comptes. et Henri Pirotte (1) (2). Le 10 février 1672, le noble et illustre seigneur Louis Rossius seigneur de Libois, chanoine de l'illustre cathédrale de Liège prête au noble Edmond Dochain dit de Jemeppe, seigneur d'Aye et autres lieux 136 souverains d'or au denier 16.


85 Ce prêt est réalisé au palais de Liège dans la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : le noble et illustre seigneur Jean-Pierre de Rosen, chanoine de la cathédrale et Nicolas Blavier (1) (2). Le 15 mars 1672, le notaire J. Henrard authentifie la location par Jean Masset, fils de Jacquemin Masset, bourgeois de la franchise de Herve à son oncle Toussaint Jacques, habitant du ban de Herve d’une prairie aboutissant à la voie de hack, provenant de feu son grand-père. Ce contrat est conclu dans la maison de feu Jean Joseph, située dans la franchise de Herve (26). Le 22 juillet 1672, la demoiselle Bertrand de Lantremange reçoit 5.500 florins Brabant pour le capital du noble et illustre seigneur Louis Rossius seigneur de Libois, chanoine de l'illustre cathédrale de Liège qui lui rachète une rente de 250 florins Brabant transportée le 4 août 1671 par le notaire Woot, enregistrée devant les échevins de Liège au greffe Bouille. Ce rachat est réalisé dans la maison de la demoiselle Bertrand de Lantremange sise dans la paroisse saint-Adalbert, en présence de Jean, de Malmedy, prêtre (1) (2). Le 23 septembre 1672, le noble et illustre seigneur Louis Rossius seigneur de Libois, chanoine de l'illustre cathédrale de Liège, en suite du pouvoir et du droit acquis, décide de faire vendre les meubles et argenteries qui lui ont été mis en main par la comtesse de Gronsfeldt en garantie des sommes qu’il lui a prêtées et il trouve à propos de lui faire intimer sa décision afin de faire ce qu'elle trouvera convenir pour son avantage et utilité. Il signe sa décision au palais de Liège dans la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : les secrétaires de Henrard et de Borre qui signent aussi (1) (2). Le 9 février 1674, le seigneur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Welt Derouau, fils de Collas Derouau, et de Jean Seel, fils de Lambert Seel, de Roisleux (26). Le 3 juillet 1674, le seigneur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le contrat authentiqué par le notaire H. de Tiège, entre d’une part les enfants de feu Jean, del Hougne, à savoir ses 2 fils : Mathy, del Hougne, et André, del Hougne, le gendre Jean le Faway, leur belle-sœur, Marie Jacques veuve de Piet, del Hougne, , pour eux et d’autre part les représentants de feu Henri, de Warimont, nommément : Jean Henri, de Warimont, Servais , de Warimont, Judith, de Warimont, et Collas, fille de Judith, dans la maison de Jacques, de Warimont, fils de Jean Jacques, de Warimont, en présence des 2 témoins requis : Cloes Jardon, du ban de Clermont-sur-Berwinne et Collas Desvignes, de Warimont (26). Le 18 juillet 1674, le noble et illustre seigneur Louis Rossius seigneur de Libois, chanoine et prévôt de Saint-Pierre dans la cathédrale de Liège rachète au secrétaire de Son Altesse Sérénissime en sa Chambre des comptes Everard de Henrard, partie faisant pour son beau-père Jean Leonardi une rente de 250 florins Brabant vendue le 23 juillet 1670 devant le notaire Jean Nicolaÿ. Ce rachat a lieu dans une grande salle de la maison du chanoine Louis Rossius sous les encloîtres de la cathédrale, en présence des 2 témoins requis : Pierre Denis et Pierre Gantry. Tous signent.(1) (2). Le 24 novembre 1674, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Pasqueau Drolenval par André Guillot, gendre d’André Lopagne et par son fils Jean Lopagne (26).


86 Le 5 avril 1675, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi : 1- le rendage au profit de Nicolas Ernolet, des maisonnages et héritages situés au lieu de la garde de Dieu et hérités de leur sœur et tante feue Isabeau Leroy, joignant les biens de Léonard Pirot, par Henri Leroy, Henri Jean Leroy et Guillaume Henrard, fils d’Henri Henrard, pour eux et pour Piet Leroy, Jean Leroy, Marie Leroy, veuve de Michel Antoine, Evrard Horion et Thomas Barthélemy, leurs frères, sœurs et beaux-frères, Mathy Leroy, fils de Léonard Leroy, échevin d’Asse, Mathy Christiane, fils de feu Jacques Christiane et Catherine, veuve de Christiane Jacques, partie faisant pour elle et pour ses enfants, Jacques, de Mont, fils de Jean, de Mont, et Françoise, veuve de Jacques Christiane, mère et tutrice de sa fille Jehenne Christiane et la ratification de ce rendage par les 3 enfants de Jean Leroy : Pïet Leroy, Jean Leroy et Marie Leroy et par les 2 gendres de feu Jean Leroy :Thomas Barthélemy et Evrard Horion, (26). 2- le rachat par Nicolas Ernolet d’une rente due sur les biens d’Henri Leroy, fils de Mathy Leroy, à Mathy Christiane, fils de Jacques Christiane et à Jacquemin, du Mont, fils de Jean, du Mont (26). Le 2 janvier 1676, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat d’un bien par les héritiers de feu Jacques Christiane à Henri Leroy (26). Le 5 mai 1675, Jean Bolgi, surcéant de Pansy dans la juridiction d'Avroy emprunte 150 fl bbt à Marie Moxhon représentant son mari Mathy Pacquay Delbouille et lui garantit le payement d’une rente de 10 florins Brabant sur sa maison, jardin, appendices et appartenances situés à Pansi joignant vers Geer Philippe Arnotte, vers Meuse Jean Joassin et vers Pansy le royal chemin. Le 5 septembre 1675, Jean Bolgy emprunte 150 florins Brabant à Jeanne Bolgy, veuve de Léonard Liégeois contre une rente de 10 florins Brabant et un demi. Ces emprunts sont contractés dans la maison du notaire Jean Nicolaÿ portant l'enseigne du castor en la rue de l'épée à Liège, en présence des 2 témoins requis : Gilles Foccroulle et Gilles Jean Guillaume, de Rouveroy.(1) (2). Le 9 mai 1675, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage au profit de Léonard Henne, fils d’Henri Henne, dit le Trou, par Anne Simon, fille de Jacques Simon, veuve de Mathieu Henne, fils d’Henri Henne, usufruitière dont les enfants sont propriétaires, d’une prairie de 2 journaux située au coir de Herve et l’engagement de Léonard Henne, de Toussaint Simon, fils de Jacques Simon et de Jean Paquot, fils de Colin Paquot, oncles paternel et maternel, des enfants orphelins, de faire agréer ce contrat par les enfants orphelins dès qu’ils seront arrivés en âge de discrétion (26). Le 13 septembre 1675, le notaire A. Hagelstein authentifie le contrat conclu entre l’honnête Jean le Faway d’une part et André, delle Hougne, représentant Jean, delle Hougne, d’autre part (26). Le 5 octobre 1675, Jacques Kinable et Raes Bernimolin s’accordent pour l’entretien et la nourriture de la mère de leurs épouses, leur grand-mère Marguerite, des Meneux. Sur proposition de Jacques Kinable, Raes Bernimolin recevra toutes les rentes comprises dans le registre de leur grand-mère aussi longtemps qu'il en aura la charge. Ils estiment entre eux ces rentes ‘à la bonne foi’ à 260 florins Brabant par an. Jacques Kinable et Raes Bernimolin signent ce contrat dans la maison de Jacques Kinable en Avroy dans la paroisse de Sainte-Véronique, en présence des 2 témoins requis : Jacques Kinable le vieux et Marguerite Crémer (1) (2).


87 Le 13 janvier 1676, le notaire J. Chantraine authentifie le renon à son usufruit par Catherine, veuve de Mathieu Dubois, fils de Polis Dubois, habitant dans le ban de Clermont-sur-Berwinne en faveur de ses 2 fils : Polis Dubois et Jean Dubois, de sa fille Jeanne Dubois et de son gendre Ernould Collard (26). Le 11 mai 1676, le notaire A. Hagelstein authentifie l’activité économique de Polis Dubois habitant dans le ban de Clermont-sur-Berwinne (26). Le 24 mai 1677, Jean Werick (il signe Jean Hallet) constitué devant le notaire Bodson de la ville de Maastricht subroge Nicolas Van Rickel au rendage de la maison, appendices et appartenances en faveur de Jean Wérick par Renard Feron et son épouse devant le notaire Jean Nicolaÿ le 12 juin 1673 au prix de 35 florins Brabant et à condition d'acquitter les charges. Il signe sa subrogation dans la maison de Jean Chester (?) située en la chaussée Saint-Gilles en présence des 2 témoins requis : le vénérable Gilles Walthéry, bénéficier de la collégiale SaintMartin en Mont à Liège et Jean Dengis. Tous signent (1) (2). Le 23 janvier 1679, le baron Lambert Marc Betten cède par engagère sa seigneurie au prix de 250 écus pour 3 ans au noble et illustre seigneur Louis Rossius seigneur de Libois, chanoine et prévôt de Saint-Pierre dans la cathédrale de Liège. Cette cession est réalisée au palais de Liège, en la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : Louis, de Monnay, et de l’huissier de la Chambre des Comptes, Mearse (?) le jeune (1) (2). Le 7 mars 1680, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Marguerite, du Mont, fille de Jean, du Mont, de Charneux, par son frère Guillaume, du Mont, d’une rente de 4 dallers affectée sur les biens qui appartinrent à Jacques Christiane situés à Monty et que paie à présent Servais Maigret (26). Le 9 avril 1680, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport au profit de Noël Gérardi, fils de Pasqueau Gérardi, brasseur à Charneux, par Marguerite, du Mont, de Charneux, avec le consentement de son père Jean, du Mont, d’une rente de 4 dallers provenant du partage des biens délaissés par feu le révérend Jacques, de Warimont, jadis curé de Charneux, qui appartinrent à feu Jacques Christiane situés à Monty, que possède à présent Servais Maigret (26). Le 23 novembre 1680, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la reconnaissance authentiquée le 21 juin 1679 par le notaire H. de Tiège d’une dette de 370 florins Brabant due à Guillaume, des Vignes, par 4 membres : 1- Henri Leroy. 2- Marie, veuve de Michel Antoine, pour elle et pour ses consorts, représentant feu Jean Leroy. 3- Pasqueau Leroy, Denis Leroy et leur beau-frère Adrian, pour eux et pour leurs consorts, représentant feu Léonard Leroy. 4- Jacquemin Dumont, fils de Jean Dumont et Laurent Maigret, époux de la veuve de Jacques Christiane le jeune, pour eux et pour leurs consorts, représentant feu Jacques Christiane, époux de Jeanne Leroy. et l’approbation authentiquée le 19 septembre 1679 par le notaire H. de Tiège de Mathy Christiane, fils de Jacques Christiane, en présence de Jacquinet, de Chalbot (26). Le 15 novembre 1681, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport d’une rente de 32 dallers due sur les biens de leur père et beau-père Jacquemin le jeune, au profit de -Lambert Jacquemin le jeune, docteur en médecine,


88 -par ses 2 frères : Jean Jacquemin, Henri Jacquemin, -sa sœur Marguerite Jacquemin -et ses 2 beaux-frères : Gilles Lacroix et Jean Tancré (26). Le 24 novembre 1681, le notaire Guillaume Fraikin authentifie la cession par André Lacotte, demeurant au ban de Herve, à Henri Blanche, licencié ès lois, échevin de la haute cour de Limbourg, pour lui et pour ses frères et ses sœurs, d’une rente foncière d’un muid spelte échus depuis le décès de Guiot Bartholomé, de Fraipont, affectée sur les biens de feu André Crasborn, situés à Warsage (26). Le 14 février 1682, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rendage au profit de Bartholomé Lambert, fils de Jean Lambert, de leurs parts des héritages qui ont appartenu à Remacle, de Wegnez, situés à Roisleux par Remacle, de Wegnez, et ses 3 fils : Remacle le jeune, Simon Remacle et Lambert Remacle, de François Seel, fils de Lambert Seel et de ses 2 gendres : Alexis Crustin et Joiris Lambert, fils de Jean Lambert, de Catherine Jaspar, veuve de François Remacle et de ses 2 fils : Remacle le jeune et Jaspar Remacle pour eux et pour leurs frères et leurs sœur (26). Le 16 mars 1682, le noble et illustre seigneur Louis de Rossius, seigneur de Libois et de Jemeppe, chanoine de Liège et prévôt de Saint-Pierre renonce à la location de 9 bonniers et 3 journaux de terre loués à Piron, fils de Jean Pétri, de Noville. Ensuite, ce 16 mars 1682, Louis de Rossius vend à Théodore Lenart, l'un des capitaines des hommes de la cité de Liège, au prix de 800 florins Brabant pour chaque bonnier, 9 bonniers et 3 journaux de prairies et de terres : 1- 2 bonniers et 5 verges ci-devant engagés à feu Pierre Denis, de Noville, le 22 décembre 1630 en 3 pièces : 3 journaux au pré ‘alle mère’, 13 verges en la hauteur de Fexhe et un demi-bonnier en la campagne en fond delle mer. 2- 3 bonniers et 7 verges pris hors de 27 bonniers en territoire de Roloux appelés ‘quartal’. 3- 4 bonniers entre Fexhe et Roloux en lieu-dit ‘aux Rouwa’. Louis de Rossius signe son renon et sa vente au palais de Liège dans la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : monsieur Perin (il signe Nicaise Parin) huissier de la Chambre des Comptes et Marie-Catherine Lamalle, épouse d'Alphonse Fabri (1) (2). Le 28 avril 1682 le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi l’agréation par Marie Goffard, Nicolas Goffard et Gaspard Goffard, de l’accord conclu aux environs de 1670 et enregistré sur ordre du mayeur et des échevins de la cour de la franchise de Herve, entre leur mère et leur cousin André Guyot (26) Le 5 mars 1683, le noble et illustre seigneur Louis de Rossius, seigneur de Libois et de Jemeppe, chanoine de la cathédrale de Liège, prévôt de Saint-Pierre fera obtenir sur son nom à Adam Mercier à l'enchère publique la seigneurie de Petit-Rechain s'il se peut et si elle lui demeure, il pourra la faire revendre après la fin de l'année, à condition partager le surplus entre eux deux, de manière égale. Ils signent leur accord au palais de Liège dans la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : Paul Jean Preudhomme, secrétaire de la Chambre et Pascal Leduc qui signent aussi (1) (2).


89 Le 18 mai 1684, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de Laurent Maigret et de Jacquemin, du Mont, fils de Jean, du Mont, représentant Jacques Christiane (26). Le 17 juillet 1684, Bauduin Closon somme Jean Denis Closon de payer une dette de 120 florins Brabant Le 24 juillet 1684, il reçoit 60 florins Brabant et recevra 60 florins Brabant en 2 termes : 7 écus et demi à la Toussaint et autant à la Purification (2 février 1685). Ce payement est effectué et cette obligation est prise dans la maison de Jean Gaÿe, sise au faubourg Sainte-Marguerite, dans la paroisse Saint-Servais, en présence des 2 témoins requis : Jacob Wets et Marie Gaÿe. Tous signent (1) (2). Le 7 avril 1685, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi le rachat par Bartholomé Lambert, fils de Jean Lambert, à Simon Remacle, Lambert Remacle; François Remacle, François Seel, fils de Lambert Seel, Joiris Lambert, fils de Jean Lambert, Remacle François et Alexis Crustin, de leurs parts des biens qui appartinrent à son beau-père feu Remacle, de Wegnez (26). Le 19 juin 1685, Jean Renier, en sa qualité d'époux de Véronique Saury reçoit 1.744 florins Brabant dont 1.680 florins Brabant pour le capital de Jeanne Thomas, veuve de Martin Geury (?), épouse d'Erasme Chambellain, qui, autorisée par l’acte du 4 juillet 1678 devant le notaire Gilles de Meneux, rachète une rente due par la veuve Toussaint Hennay (1) (2). Le 2 août 1685, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique de la demoiselle Elisabeth Simar, veuve de l’échevin de Fouron Hendrick Blanche et de son neveu Henri Blanche, échevin de la haute cour de Limbourg (26). Le 20 octobre 1685, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique au profit d’Henri Blanche, échevin de la haute cour du duché de Limbourg, d’une rente de 4 dallers due sur les biens d’André Toulmonde, situés à Sironval, cédés par Collas Henrotay le 8 mars 1674 à sa mère, feue la demoiselle Blanche (26). Le 20 octobre 1685, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’activité économique au profit de la demoiselle Elisabeth Dardenne veuve d’Hendrick Blanche, mayeur de Fouron par son neveu Henri Blanche, échevin de la haute cour de Limbourg (26). Le 20 septembre 1686, le notaire Guillaume Fraikin authentifie l’activité économique entre d’une part l’honnête Jacques le Maréchal, fils de feu Lambert le Maréchal et de feue Barbe Mathy, fille de Jean Mathy et d’autre part Jean Paquot, fils de Colin Paquot, bourgeois de Herve, époux de Catherine Mathy, fille de feu Jacques Simon Mathy pour lui et pour son beau-frère Lambert Leloup, Anne Mathy; fille de feu Jacques Simon Mathy, veuve de Mathy Detroz, fils d’Henri Detroz assistée de sa fille et Marie Simon, fille de feu Toussaint Jacques Simon. Ils traitent d’une rente que leur mère, belle-mère et grand-mère Lorette, veuve de Jacques Mathy, fils de Simon Mathy, avait donnée comme dot de mariage le 25 septembre 1659 à son fils Mathieu, aujourd’hui décédé, qui avait épousé devant la cour de justice de Herve Jehenne le Charlier, fille de Wuillaume le Charlier, épouse en secondes noces de Jaspar Beaufort , fils de Stas Beaufort, aussi décédée sans enfant (26).


90 Le 19 juin 1687, le notaire A Hagelstein authentifie l’activité économique de Jaspar Moreau, Jacques Moreau le jeune, Robert Hannot Bastin Hannot, seigneur de Goé pour lui et pour son beau-frère Ferdinand, et d’Henri Blanche, échevin de la haute cour de Limbourg pour lui et pour ses frères et ses sœurs, représentant Jean Blanche (26). Le 3 août 1687, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi la vente authentiquée par le notaire de Maastricht Christian Weest par la dame Elisabeth Blanche, compagne de l’écuyer et seigneur Hubert Cloeps au chanoine de la royale d’Aix-la-Chapelle, de rentes dues dans le ban et dans la franchise de Herve (26). Le 6 avril 1688, l’honnête fille Marguerite Hurlin cède en location pour un an à Simon Melan une petite cuisine, une chambre au-dessus de la moitié de la cave et une étable annexée servant à mettre du bois, à partir de Pâques au prix de 44 florins Brabant à payer par moitié de 6 en 6 mois. Ce contrat de location est conclu dans la maison de Marguerite Hurlin sur le rivage de Beaurepart, en présence des 2 témoins requis : Everard André et Jeanne Nizet. Tous signent (1) (2). Le 26 avril 1688, Michel Debatÿ vend à Guillaume Gilloteau, au prix de 300 florins Brabant, la maison, les appendices et les appartenances acquis d'Arnold Scronx et consorts le 30 octobre 1685 devant les échevins de Liège qui l’avait offerte à l’enchère publique devant l’official de Liège le 19 octobre 1685. Cette vente est réalisée dans la maison du notaire Jean Nicolaÿ, située sous les encloîtres de la collégiale Sainte-Croix à Liège, en présence des 2 témoins requis : Jean Henoumont et Catherine Dupont. Tous signent (1) (2). Le 30 avril 1689, le mayeur et les échevins de la cour de justice de la franchise de Herve mettent sous la garde de leur loi le transport par Isabeau, de Vaux, fille d’Henri, de Vaux, et son neveu André Guyot, à leur nièce et sœur, de Vaux, fille d’Henri, de Vaux (26). Le 21 décembre 1690, le notaire A.G.Montelet authentifie l’activité économique de Philippe Guillaume André, seigneur de Neuberghg à Henri Blanche, échevin de la haute cour de Limbourg, constitué par son frère Jean Léonard Blanche, receveur des droits d’entrée et de sortie de Sa Majesté d’Aix-la-Chapelle (26). Le 14 juin 1691, Guillaume Demolin, avec le consentement de Jean Scronx, cède à Jean Balaes pour un an à partir du 24 juin 1691, la maison lui rendue par Jean Scronx saisie contre Servais Martel le 12 juin 1691 devant le notaire Riga Nasaette, à condition de la réparer. Cette subrogation a lieu dans la maison de Jean Scronx située sous les encloîtres de SainteCroix, en présence des 2 témoins requis : le prélocuteur Bustin et Jean Henri Van Leewe (1) (2). Le 24 novembre 1691, le notaire A G Montelet authentifie l’activité économique d’Henri Blanche, échevin de la haute cour de Limbourg, constitué par le chanoine André Blanche, de la royale d’Aix-la-Chapelle et de son frère Jean Léonard Blanche, receveur des droits d’entrée et de sortie de Sa Majesté d’Aix-la-Chapelle avec Corneille Polis, syndic des sœurs récollectines de Herve (26). Le 20 mars 1692, le notaire J. Henrard authentifie l’exécution d’un accord conclu le 15 novembre 1691 avec Monsieur le baron d’Acre par les fils et les gendres de feu Bertholet Dedie, à savoir : Jean Dedie, Thomas Dedie pour lui et pour son beau-frère Jacques Loneux, Hendrick Lahaye, Pasquay Leroy et son gendre François Bauduin, fils de Sandre Bauduin, pour lui et pour sa bellesœur Mentelette et Thomas Micheroux (26).


91 Le 21 octobre 1695, Henri Chefneux, prélocuteur au nom du noble et illustre seigneur messire Louis de Rossius de Libois, chanoine de la cathédrale de Liège, prévôt de Saint-Pierre, conseiller de Son Altesse Electorale dans son Conseil Privé et dans la Chambre des finances rachète à Gilles de Foccroulle, prélocuteur devant les échevins de Liège une rente de 3 muids d'épeautre acquise de feu Jean de Schrivers, écuyer et de la dame Anne Marie de Schrivers sa fille, veuve de monsieur de Crasenbach, souverain officier de Namur, devant le notaire de Meneux de la ville de Namur, le 3 mars 1693 et réalisée devant les échevins de Liège. Cette rente de 3 muids est due par la veuve, les enfants et les représentants de feu le commissaire Parfondry. Ce rachat a lieu dans la maison de Gilles, de Foccroulle, située en la rue de l'épée à Liège dans la paroisse Saint-André, en présence des 2 témoins requis : Jean Larmoyer, chanoine de Hocsem et Pascal Leduc, échevin d'Avroy. Tous signent (1) (2). Le 1er janvier 1699, le notaire O. Poullet authentifie l’activité économique entre d’une part les enfants et gendre de feu Guillaume, des Colombs, à savoir : Jacques Poncelet et sa belle-sœur, Martine, des Colombs, pour eux et pour Thomas, des Colombs et Jean, des Colombs, et d’autre part les représentants de feue Marguerite Dedie, à savoir : Thomas Dedie pour lui et pour les enfants de son beau-frère Jacques Loneux, Pauquay Leroy et son fils Pauquay Leroy pour lui et pour ses frères et ses sœurs, Thomas Micheroux, Henri Pauquay, fils de Jean Pauquay, pour lui et pour son beau-frère Gillis, del Vaugelsannen, Bertholet Lahaye, son frère Thomas Lahaye et son beau-frère Antoine Lambert, pour eux et pour leur frère et beau-frère François Lahaye, Bertholet Dedie, pour lui et pour ses frères (26). Le 28 mars 1699, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi l’accord authentiqué le 25 avril 1698 par le notaire T.D. de Sironval: 1- des 2 fils de Christiane Jacques : Denis Jacques et Servais Jacques et de ses 3 gendres : Hubert Mies, Gilles le Damoiseau et Henri le Parmentier, pour eux et pour leur belle-sœur : la veuve de Jacques Christiane et ses enfants orphelins. 2- de Jacquemin, du Mont, fils de Jean, du Mont, pour ses enfants orphelins. pour faire suivre à Jeanne Christiane, fille de feu Jacques Christiane, de Monty, assistée de Laurent Maigret, époux en secondes noces de sa mère, les maisonnages et biens situés à Monty, légués par le testament de feu Mathieu Christiane, fils de Jacques Christiane et de sa compagne Jeanne Collard, fille d’Olivier Collard, authentiqué le 12 octobre 1691 par le notaire T.D.de Sironval et mis sous la garde de leur loi le 11 octobre 1692 par le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve. Cet accord est conclu dans la maison d’Olivier, de Tiège, procureur de la cour de justice du ban de Herve, située à Bouchmont, en présence des 2 témoins requis : Jacques Warimont, bourgmestre du ban de Charneux et Pierre Herman, fils d’Hubert Herman, du ban de Herve (26). Le 20 novembre 1699, Nicolas Fabry, en sa qualité d'époux de la demoiselle Hélène Fremans vend à Jean Nicolaÿ (aussi Nicolas), premier official de la Chambre des Comptes de Son Altesse Sérénissime de Liège, au prix de 184 florins Brabant 4 rentes héritées lors du partage du 17 août 1696 devant le notaire Henri Mignon : une de 2 florins Brabant 2 patars due par Hubert Everard ; une de 7 florins Brabant 14 patars due par Grégoire Denis ; une de 16 florins Brabant 10 patars due par Laurent Denis et une de 4 florins Brabant 7 patars due par Simon Glossay, tous surcéants de Rouveroy dans le ban de Sprimont. Cette vente est réalisée dans la Chambre des Comptes, en présence des 2 témoins requis : Pascal Leduc et Jean le pontier bourgeois de Liège (1) (2).


92 Le 20 décembre 1702, le notaire O. Poullet authentifie la cession d’une rente due sur les biens de feu Martin Soxhlet, que paie son gendre Pierre Welt le Mangon, par Thomas Micheroux, habitant de Cerexhe et sa belle-sœur Marguerite, veuve de Thomas Dedie, résidant à Asse à sa beau-sœur, veuve de Bertholet Dedie (26). Le 11 juillet 1704, Barbe fille de feu Gilles, de la Vignette, veuve de Bertrand, de Stembier, reçoit 162 florins Brabant dont 150 florins Brabant pour le capital de Jean, fils de feu Wathieu, delle cense de Bellaire qui rachète une rente de 6 dallers transportée par Wathieu, delle cense de Bellaire à Gilles, de la vignette le 2 mai 1670 devant les échevins de Liège. Ce rachat est réalisé dans la cuisine de la maison de Barbe, de la Vignette, sise dans la paroisse Saint-Pholien à Liège, en présence des 2 témoins requis : l'avocat P.M.Hanckart et Marie Mulunaire. La veuve de Stembier et l'avocat P.M. Hankart signent. Marie Mulunaire marque une croix (1) (3). Le 29 août 1704, Lambert Dethier, maréchal de Jupille et Roland Defresne, à la requête de Bartholomé Counart déclarent que le 21 mars 1702, dans la maison de Roland Defresne, il fut expressément conditionné que Bartholomé Counart pouvait faire réparer la maison avec un petit cotillage qui lui était louée par Adam Dujardin pour un bail de 3 ans et qu'à raison de la caducité causée par les toits. Bartholomé Counart pouvait décompter du prix de la location le prix de la réparation. Le menuisier Nicolas Musion et le couvreur Hubert Julin attestent que pour ces réparations Bartholomé Counart a dépensé 13 florins Brabant 9 patars, sans comprendre ses vacations. Ces témoignages sont authentiqués dans la maison de Jacques Minet à Jupille, en présence des 2 témoins requis : le capitaine de Jupille, Médard Delsemme et Michel Fraipont. Roland Defraisne et Lambert Dethiers signent. Michel Fraipont et Médard Delsemme marquent une croix à côté de leur nom (1) (3). Le 20 juin 1705, Lambert Troisfontaines déclare avoir reçu de Jean Grosdenis 200 florins Brabant dus suite à la subrogation du 3 janvier 1705 devant le notaire Hubert Moulant. Cette déclaration est authentiquée dans la maison de la veuve Anseau Mawet sise à Cokaiko dans la paroisse de Fléron, en présence des 2 témoins requis : Jean Hannotte et Marguerite Mawet. Jean Hannotte et Marguerite Mawet signent. Lambert Troisfontaines marque une croix (1) (3). Le 21 avril 1708 et le 7 mai 1708, le notaire A.G. Montelet authentifie l’activité économique des 2 gendres d’André Guyot et de Marguerite Lopagne : Henri Vincent et Jean Rahier et de leurs 2 filles : Anne Guyot et Barbe Guyot, en présence de Servais, de Saive. (26). Le 4 juillet 1712, le notaire A. G. Montelet authentifie l’activité économique de Jean-François Delcour avec son beau-frère Philippe Florenne (26). Le 22 janvier 1714, le notaire J.H. Dehauregard authentifie l’activité économique de JeanFrançois Delcour, habitant à Herve avec son beau-frère Philippe Florenne (26). Le 13 novembre 1718, le notaire J.H. Dehauregard authentifie l’activité économique de Philippe Florenne avec sa nièce Anne Herman, fille de Jean Herman (26).


93 Les 12 janvier, 10 août 1720, 7 avril 1721, 23 avril 1722, 25 octobre 1722, 28 avril 1724 et 30 avril 1725, le notaire J.H. Dehauregard authentifie l’activité économique de Philippe Florenne avec sa nièce Gertrude Rogister (26). Le 18 janvier 1722, le notaire J.H. Dehauregard authentifie l’activité économique de Philippe Florenne avec le forestier H.J. Rogister (26). Le 14 mars 1722, le notaire J.H. Dehauregard authentifie l’activité économique de Philippe Florenne avec son beau-frère Jean Toby, habitant aux Trois-Vierges (26). Le 22 juin 1722, le notaire J.H. Dehauregard authentifie la vente d’Herman Joseph Rogister, forestier de la franchise de Herve à Gillet Coutelier , au prix d’une rente de 108 dallers due sur sa maison située au coin de Herve, de la maison, du jardin et de ce qui en dépend, qui appartinrent à Sébastien Lacrosse, joignant celle de Jean Halen, fils de Théodore Halen et de l’autre côté la veuve de Pierre Jardon, en présence des 2 témoins requis : Philippe Florenne et Gertrude Rogister (26). Le 28 février 1725 devant le notaire Grégoire Sauvage, Jean, de Troisfontaines, reçoit la location d’un bien, pour lequel il devra une somme à son beau-frère Grégoire Harzé. Ils règlent cette dette le 20 mars 1728, dans la maison de Jean, de Troisfontaines, à Retinne, en présence des 2 témoins requis : Joseph Leclercq et Jean Chaumont, fils de Christian Chaumont (21). Le 30 mai 1726, le notaire CD. Dehalleux authentifie l’activité économique d’Arnould Chaqueue, d’Arnold Franck et de Libert Franck, fils de Collas Franck, de leur beau-frère Guillaume Petit, ces 3 derniers pour eux et pour leur frère et beau-frère Franck le jeune, Toussaint Franck, fils d’Etienne Franck pour lui et pour ses frères et sœurs et pour les enfants de Polis Dubois, avec leur oncle Arnold Franck (26). A la fin d’octobre 1727, Jean, de Troisfontaines, de Retinne, permet verbalement à son beaufrère Grégoire Harzé, de recevoir du procureur Jacquemart la moitié des 90 florins Brabant accordés par transaction le 10 septembre 1727 devant le notaire Henri Baiwir. Le 31 décembre 1727, à la requête de son beau-frère, il confirme ce consentement verbal dans la maison du notaire Martin, de Troisfontaines, située derrière Saint-Thomas à Liège, en présence des 2 témoins requis : Elisabeth Sanwilberg et Marie Anne Prépels (21). Le 29 novembre 1727, le notaire J.H. Dehauregard authentifie la constitution par les 4 représentants de feu Philippe Florenne et d’Anne Delcour à savoir : 1- Jean François Delcour. 2- Elisabeth Delcour, veuve de Louis, de Pasquier. 3- Jean Toby, époux de Gertrude Delcour. 4-Jean Taillard, époux de Marie-Anne Rogister, Jean Marc Gustin, époux de Jeanne Rogister, Gertrude Rogister, Jean Rogister et Philippe Rogister sur leurs nièce, sœur et belle sœur Gertrude Rogister et Elisabeth Fraikin pour demeurer par provision dans la maison mortuaire (26). Le 19 janvier 1728, le notaire O. Poullet authentifie la vente de la maison de Philippe Florenne, située en la voie del Vaux, joignant Aimond, fils d’Aimond,.par les 7 héritiers et représentants de Philippe Florenne et d’Anne Delcour, à savoir : 1- François Pierat, constitué par Guillaume Pierat le 27 décembre 1727 devant le notaire E.C. Lion, de Florennes.


94 2- André Baudeson pour sa mère Marie Goherlier, veuve de Thomas Baudeson, constitué le 27 décembre 1727 devant le notaire François Théodore Marchot, à Thuin, 3- Jean Jacques Taillard. 4- Jean François Delcour. 5- Elisabeth Delcour, veuve de Louis, de Pasquier. 6- Jean Toby, époux de Gertrude Delcour. 7- Jean Herman, de Rogister, son frère Philippe, de Rogister, Monsieur le révérend Jacques Jules, de Saive, pasteur de Mortroux, official de Hesbaye partie faisant pour Gertrude Rogister et Jamar Gustin, époux de Jean Rogister. et son adjudication à Jean Jacques Taillard (26). Le 26 janvier 1728 devant les mayeur et échevins de la cour de justice de Retinne, Jean, de Troisfontaines, gendre et représentant de l’échevin feu Pierre Harzé, et Grégoire Harzé relèvent du procureur Jacques, mort, et de ses consorts, représentant Voes, fils Noël des trois dits mangons, une rente de 2 muids créée le 3 juin 1553 devant les échevins de Liège sur une pièce située à Liéry, joignant vers le sud Thomas Lesoinne et vers l’ouest la voie de rosée (22). Le 8 janvier 1729, le notaire G.J. Masset authentifie la vente par François Pierat pour lui et pour Guillaume Pierat à son beau-frère Jean Taillard d’un capital de 66 florins Brabant 13 sols et un quart et 8 deniers créé en rente au denier 20 (5%) à charge des biens possédés par Jean Tobie (aussi Toby), situés aux Trois-Vierges dans le pays de Luxembourg et obtenu lors du partage le 27 janvier 1728 des biens de feu Philippe Florenne et la donation en garantie de ses biens situés à Florennes dans le pays de Liège.(26). Le 2 juin 1729, Monsieur François Wamps, écuyer, et les demoiselles Catherine Mulenaire et Marie Marguerite Mulenaire ses belles-sœurs, vendent à Jean, de Troisfontaines, et à Grégoire Harzé son beau-frère, une cense située à Liéry, hauteur de Retinne, leur appartenant en suite de la reprise du 24 juin 1725 devant le notaire André Sauvage des mains du sieur Thomas Lesoinne, lieutenant-bailli de la Hesbaye, et réalisée le même jour devant les échevins de Liège, avec tous les biens en dépendant tant terres que prairies, contenant, suivant la mesure en faite par Jean François Mangon, mesureur assermenté, en date du 23 juin 1715, 13 bonniers 12 verges grandes et 15 petites et réduites par mesure en faites postérieurement à 13 bonniers 6 verges grandes et 2 petites le 12 juillet 1725 devant le notaire André Sauvage, au prix d’une rente annuelle de 480 florins Brabant à payer au domicile des demoiselles Mulenaire et à condition d’acquitter 4 muids 7 stiers et demi et une demie quarte de charges, soit : - 3 muids et une quarte et une demie partie de plus aux chartreux de Liège partie de plus. - un muid 5 stiers et une quarte au doyen et au chapitre de la collégiale Saint-Barthélemy, partie de plus. - un muid 6 stiers à Pascal Moulan représentant Dirick Moors, son beau-père qui représente la demoiselle Bousman. - un muid partie de plus grande somme au prélocuteur Delbrouck qui représente le sieur Brockar. - 4 stiers et demi à l’église de Fléron hors de plus grande somme. - 3 stiers et demi au marguillier de Fléron aussi partie de plus grande somme. - 2 muids et.des stiers à la demoiselle Ailid Liben représentant Arnould, de trixhe. - 3 muids 4 stiers au commissaire Mélan, représentant feu monsieur de Rossius, seigneur de Bellaire. - 2 stiers à la veuve Bert représentant feu Gérard, de Labye.


95 - .des stiers à Clousart, représentant le curé de Fléron qui représente la veuve de Denis Massar. Cette vente est signée dans la maison de François Wamps et de ses belles-sœurs Mulenaire, proche de Saint-Georges à Liège, en présence des 2 témoins requis : Bastiane et Marie Jeanne, de Rosier. Elle est authentiquée par le notaire Simon Gathon et enregistrée et mise sous la garde de leur loi par le mayeur et les échevins de à la cour de Retinne le 22 juin 1729 (23). Le 8 avril 1731, dans la maison de Grégoire Harzé à Liéry, et en présence des 2 témoins requis : Jean Cornélis et Catherine Leclercq, Grégoire Harzé et son beau-frère Jean, de Troisfontaines, règlent un compte concernant la location de mars1730 au 10 mars 1731 du bien loué par Jean, de Troisfontaines, depuis le bail conclu le 28 février 1725 devant le notaire Grégoire Sauvage. Le 21 septembre 1731, le notaire Martin, de Troisfontaines, intervient pour mettre au point les payements convenus le 8 avril (21) (24). Le 22 janvier 1755, le notaire Th. J. Deloneux authentifie la convention entre Jean Baptiste Rensonnet carme présentement au couvent de la Xhavée, constitué de Nicolas Milon, d’Operpallen, et Charles Charsalée (13). Le 25 juillet 1735, le notaire J.H. Dehauregard authentifie l’activité économique d’André Baudeson (aussi Bodson), habitant à Florennes et de son frère Antoine Baudeson, pour eux et pour leur nièce Marie Anne Sevrin et leur cousin Jean Taillard (26). Le 17 août 1735, Marie Joskin, veuve de Nicolas, de Troisfontaines, résidant à Wallory (= Waoury ?), attendu qu’elle se trouve incapable de pouvoir cultiver ses biens et héritages renonce à son usufruit en faveur de ses enfants et de ses gendres, propriétaires: Jean, de Troisfontaines, Henri Daniel, Nicolas, de Troisfontaines, Denis, de Troisfontaines, Anne Degueldre, veuve de Pierre, de Troisfontaines, Melchior Delsemme, mari de Marie, de Troisfontaines, Piron Hanquet, mari de Jeanne, de Troisfontaines,: tant aux édifices, cens, rentes et biens héritables au lieu de Wallory et du bois Retinne qu’ailleurs, à condition : 1- de payer les charges. 2- de retenir sa demeure sa vie durant dans une des maisons qu’elle habite présentement à Wallory, libre de toute charge dont l’entretien sera à charge de celui qui l’obtiendra. 3- de lui fournir annuellement chacun à son domicile 2 stiers de wassen et un demi-stier de froment, faisant ensemble 17 stiers et demi en 2 espèces pour sa pension vitale à payer au 1er septembre, et 6 livres de beurre, une demi-douzaine de fromages, 4 florins Brabant et de lui laisser 8 assiettes, un lit entier, 2 chaudrons, un pot de fer (21). Le 17 août 1735, Denis, de Troisfontaines, résidant à Grand-Rechain, vend à son beau-frère Melchior Delsemme au prix de 36 écus, une prairie de 6 verges grandes en lieu-dit ‘au hez’ joignant vers l’est les représentants de Jean Remy, de Bouxhis, vers le sud le chemin de la houillère, vers l’ouest les bois et vers le nord la voie d’ahesse avec la part du bois y contiguë. Cette vente est réalisée dans la résidence du notaire Troisfontaines en présence des 2 témoins requis : Elisabeth Sanwilberg et Anne Marie Spirlet (21). Le 4 mai 1743, le notaire M. Halleux authentifie la cession de veines de houille par Catherine Françoise Gillet, veuve d’Alexandre, des Vignes, et par son gendre Sébastien Crawhez, pour lui et pour ses 2 beaux-frères : Henri Bonaventure et Thomas Joseph, des Vignes, en présence de Servais Rogister (26). Le 23 septembre 1743, le notaire G. C. Detiège authentifie la déclaration de Marie Françoise, de Tiège, et de son époux Henri, de Loneux, à la requête d’Hubert Gurné, père de Mathieu Gurné, de Bouchmont (26).


96 Le 2 mars 1745, le notaire G. C. Detiège authentifie la vente par Henri Philippe François, de Tiège, à Jean Guillaume Halleux d’une rente de 18 dallers héritée de son père, l’avocat Jacques Joseph, de Tiège, et de sa mère Barbe Thérèse, de Tiège, perçue sur les biens et les édifices de son beau-père Henri Loneux, situés à Bouchmont (26). Le 4 août 1746, le notaire M Halleux authentifie l’activité économique de Jean François Henrard et de ses 6 enfants : Albert Henrard, Elisabeth Henrard, Jeanne Henrard, Catherine Henrard, Marie Anne Henrard et Marie Madeleine Henrard (26). Le 14 novembre 1752, le mayeur et les échevins de la cour de justice d’Asse mettent sous la garde de leur loi le rachat authentiqué par le notaire A.J. Leruth par Henri Philippe François, de Tiège, à son oncle Charles, de Tiège, d’une rente de 13 dallers, 28 sols et 3 deniers et demi hors plus, due sur la cense d’Asse sous Julémont (26). Le 20 mars 1753, le mayeur et les échevins de la cour de justice d’Asse mettent sous la garde de leur loi le rachat authentiqué le 10 avril 1751 par le notaire J.J. Wathye à Henri Philippe François, de Tiège, par l’avocat, de Tiège, mayeur de la ville et de la franchise de Herve, d’une rente de 7 dallers et 26 sols due sur la part de l’avocat, de Tiège, échevin de la haute cour de Limbourg, dans la cense et les biens situés à Asse (26). Le 1er février 1759, le mayeur et les échevins de la cour de justice de Julémont mettent sous la garde de leur loi la cession authentiquée le 31 janvier 1759 par le notaire J.A. Lemoine des 3 fils d’Albert Henrard : Thomas Henrard, Albert Henrard et Joseph Henrard (26). Le 2 décembre 1765, le notaire L.J.G. Foccroulle authentifie la relation économique du prêtre Henri Harzé, fils de Guillaume Harzé, avec son frère Jean Léonard Harzé et son beau-frère Pierre Pirson (25). Le 3 avril 1771, Martin Dellicour et son frère Arnold Dellicour, propriétaires à Bolland, en sont sortis, Martin Dellicour pour être fermier au ban de Herve et Arnold Dellicour pour être fermier dans la juridiction de Mélen (26). Le 3 septembre 1771, le mayeur et les échevins de la cour de justice d’Asse mettent sous la garde de leur loi l’échange entre l’ex-commissaire, N.B. Desvignes qui cède à Daniel Joskin sa part des bois situés à Asse, joignant la terre nommée ‘les sarts’ et le seigneur comte de Lannoy, et qui reçoit de lui en contrepartie la partie de ces sarts transformée en gazon d’une superficie de 6 verges grandes, joignant le chemin et la baronne de Libotte (26). Le 18 août 1772, le mayeur et les échevins de la cour de justice de Julémont mettent sous la garde de leur loi la cession authentiquée le 16 juin 1772 par la demoiselle Marie M.H. baronne de Libotte et du Petit-Rechain au greffier et ex-commissaire Desvignes pour lui et ses consorts une petite prairie située derrière ses bâtiments situés à Asse et une parcelle de 2 verges grandes joignant la prairie appelée autrefois ‘le grand enclos’ et le chemin de Heusier (26). Le 18 août 1772, le mayeur et les échevins de la cour de justice de Julémont mettent sous la garde de leur loi la caution donnée par Daniel Joskin à la communauté de Julémont pour son fils Jean Joseph Joskin nommé percepteur des tailles dues sur les édifices et dépendances et sur une parcelle de 22 bonniers, joignant la demoiselle Marie M.H. baronne de Libotte, l’ex-commissaire Desvignes et autres (26).


97 Le 30 novembre 1772, le notaire H.B. Desvignes authentifie le rachat par la demoiselle Marie Isabelle Champiomont, veuve de Thomas Joseph Desvignes, frère du notaire, au prix de 700 florins Brabant, d’une rente créée en faveur de son père Nicolas Champiomont (26). Le 23 novembre 1773, le mayeur et les échevins de la cour de justice de Julémont mettent sous la garde de leur loi le rachat authentiqué le 18 août 1772 par le notaire H.N.J.Guillot, par l’excommissaire H.B. Desvignes à François Florent, d’Hennion, d’une rente de 3 dallers due sur la cense d’Asse (26). Le 24 décembre 1774 le notaire H.N.J. Guillot authentifie la vente mise en suite par le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve sous la garde de leur loi par le révérend prêtre et bénéficier G.G. de Tiège, l’avocat et mayeur de la ville et de la franchise de Herve, H.J.J. de Tiège et Henri Bonaventure, de Vignes, ex-commissaire à l’Etat-Tiers du duché de Limbourg, pour lui et pour son beau-frère Henri Philippe François, de Tiège, à Jacques Mawhin, de leur cense et des biens en dépendant, situés à Asse, tels qu’ils sont loués au censier Winand Ignace Bémelmans, pour un bail qui doit encore subsister 5 ans, au prix de 21.250 florins Brabant chargés de rentes foncières notamment : 7 florins Brabant et 19 sols à la cure de Neufchâteau, 4 florins Brabant et 7 sols et demi à la caisse des pauvres de Julémont et un tiers d’un muid à la communauté de Julémont (20). Le 10 juillet 1777, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la cession authentiquée le 10 juillet 1776 par le notaire J.J. Chawistrée de la veuve de Thomas Henrard, de ses 3 fils : Albert Henrard, Jean Henrard et Lambert Henrard et de son gendre Noël Loneux, époux de Marie Elisabeth (26). Le 25 novembre 1777, le mayeur et les échevins de la cour de justice du ban de Herve mettent sous la garde de leur loi la cession au profit de Jacquemin Thisken par son beau-frère Gilet Lefils de 7 rentes : 1- une de 8 dallers due sur les biens d’Olivier Collas situés à Tirbonnet. 2- une de 5 dallers due sur les biens de Jean le Maréchal situés à Sironval. 3- une de 4 dallers due sur les biens de Lambert, de Halleux, situés à Wadeleux. 4- une de 12 dallers due sur les biens de Léonard Declou, fils de Laurent Declou. 5- une de 4 dallers due sur les biens d’Henri Martin, situés à Befve. 6 une de 6 dallers due sur les biens d’Hendrick. 7 une de 4 dallers due sur les biens de Wuillaume Duchâteau et de l’échevin Maigret (26). Le 14 octobre 1778, après le décès de Denis Gérard, fils de Jean Gérard, bourgmestre de la communauté des Troischênes et de Marie Hesbignon (Fl. décembre 2000 p.54), leurs biens, divisés en 5 parts, sont mis en vente par : 1- Jacques Joseph Gérard, bourgmestre des Troischênes, du 21 avril 1778 au 23 février 1779, qui succède à son père. 2- Jeanne Gérard et Denis Rensonnet. 3-- Denis Gérard, au nom de son père Henri Gérard. 4- Marguerite Gérard, veuve d’Hubert Bartholomé, Jeanne Flamand pour Lambert Bartholomé, Thomas Bartholomé, Hubert Bartholomé, Gilles Bartholomé et Jeanne Catherine Bartholomé. 5- Thomas Servais et Elisabeth Servais, veuve d’Henri Collette (5).


98 x x x Références : Documents aimablement publiés (1) aimablement transmis par Monsieur Francis Bolsée. (26) sur Internet par Monsieur André Coméliau. Archives de l’Etat à Liège. I- Cour de Jupille : (6) 20-87 ; (7) 58-60 ; (8) 59-93 ; (9) 39-4v ; (11) 84-102 ; (12) 80-237 ; (13) 80-188 ; (14) 80-190 ; (15) 80-326 ; (16) 81-106; (17) 83-235; (18) 83-235 ; (19) 83-370. II- Cour de Retinne : (22).19-57 ; (23) 19-84 ; (24) 19-151 Fonds des notaires : (2). Jean Nicolaÿ ; (3). H. Moulan ; (4) Grégoire Harzé ; (5) G. Labeye ; (10) G. Cerfontaine ; (13) Th. J. Deloneux ; (21) M. de Troisfontaines ; (25) L.J.G. Foccroulle. P. Guérin = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = ERRATUM Il faut lire à la page 18 de la publication de juin 2018 : Lambert Fortemps de Loneux X Idon Martin Xhauflair ____________________________________|___________________________________ | | | | MARTIN FORTEMPS Péternelle Fortemps ( -1681) Jean Fortemps ( -1676) LEONARD FORTEMPS curé de Bolland X Hubert de Bolland ( -1633) X Marie Mathonet ( -1673) curé de Saint-André ( -1656) | | ( -v1674) JEAN BOLLAND OLIVIER FORTEMPS curé de Bolland curé de Bolland ( -1665) (1637-1696)


Click to View FlipBook Version