Mon école était à la campagne et les classes ont été construites à flanc de coteau . Il y avait un couloir très large entre les salles, avec des plantes et des fleurs. Les classes étaient lumineuses et spacieuses. Il faisait froid en hiver et beau au printemps. Je me rappelle le temps que nous passions à jouer à l'arrêt de bus pendant qu’on l'attendait: on jouait à “los cromos”, à la corde, à l'élastique . Nous jouions aussi au ballon prisonnier dans la cour de récréation. À cette époque-lá , nous portions des voiles blancs sur la tête, pour aller à la messe le dimanche et aussi à l'école pour aller à la chapelle. Seulement les filles le portaient . C’était une école de filles. Nous prions le chapelet chaque après -midi, avant d’entrer dans la classe. Tous les matins, la professeur faisait l’appel et nous devions dire “ viva Jesús”. Dans mon école il y avait beaucoup de célébrations: en Noël, où j’ ai participé à un ballet et ma mère m’a fait une robe blanc avec des pailletes , quelques classes étaient décorées avec des girlandes et les bureaux servaient à mettre les paquets de riz, de légumes secs, de biscuits, que nous avions apportés pendant la collecte d’aliments, comme ici à l'école de langues. Pendant le mois de mai, nous chantions et portions des fleurs à Marie. Quand j'étais collégienne, à l'âge de 12 ans, nous avons participé à un concours de chansons consacrées à la Vierge Marie: nous devions choisir une chanson célèbre et changer les paroles pour d’autres que nous devions inventer. Nous avons choisi “ las flechas del amor” de Carina. Je m’y suis beaucoup amusée. "Je me souviens avec nostalgie des premières années à l'école où nous jouions et chantions toujours, et nous étions toutes très naïves·." “LAS TERESIANAS” QUAND J’ÉTAIS PETITE… Je me souviens avec nostalgie des premières années à l'école où nous jouions et chantions toujours, et nous étions toutes très naïves. Nous avons appris en jouant. Après, ce temps de rêve est terminé et nous avons grandi d’un coup. Notre école était très religieuse mais aussi très avancée. Quand nous étions en quatrième ,nous devions faire des fiches de toutes les matières: maths, histoire, sciences, français….. Il y avait une classe ou “laboratoire” pour chaque matière . Il fallait les finir avant la fin de chaque semaine afin d’apprendre à nous organiser et gagner en autonomie. Je n’étais pas douée pour ce système donc j'étais souvent punie: j'étais distraite, j'essayais d'être attentive et disciplinée . Malgré ça, je garde de très beaux souvenirs de cette période de mon enfance et de ma jeunesse. Margarita Almeda, B1A Francés 49
"La maîtresse nous récompensait avec une étoile sur le front quand nous étions sages." Je vais partager avec vous quelques souvenirs de mon enfance à l’école quand j’étais au Mexique. Mes souvenirs de l’école maternelle sont un petit peu vagues mais je me souviens que mon père m’y emmenait à vélo et que je portais une blouse à carreaux quand j’étais très petite. En cours, la maîtresse nous récompensait avec une étoile sur le front quand nous étions sages. Par contre, si nous étions turbulentes ou désobéissantes, elle nous punissait sans récréation. Je me rappelle que je jouais la plupart du temps aux poupées ou au cache-cache dans la cour de récréation avec mes amies. Je me souviens que dans les années 80 à l’école primaire, les maîtres et les maîtresses avaient des cachets qui servaient à évaluer l’élève. Par exemple, il y avait un cachet avec une petite abeille qui voulait dire qu’on avait bien bossé mais il y avait d’autres cachets qui étaient un vrai cauchemar pour nous. Je me souviens du jour où ma mère a vu un petit perroquet estampé sur mon cahier, ça voulait dire que ce jour-là j’avais beaucoup papoté en cours. Ça a été la catastrophe ! elle s’est fâchée contre moi et elle m’a punie sans regarder la télé pendant une semaine et je devais aussi faire des lignes qui disaient "je ne dois pas parler en cours". Après cette expérience j’ai appris à bien me tenir en cours… Ce dont je me souviens le mieux, c’est du collège, j’y ai rencontré mes amis, et c’est là que je suis tombée amoureuse pour la première fois, je garde de bons souvenirs de cette époque-là. Je me rappelle que j’étais aussi une bonne collégienne, j’avais des bonnes notes et j’étais douée pour les langues mais j’étais nulle en maths. L’ÉCOLE AU MEXIQUE Au collège, je détestais porter l’uniforme, je boudais tout le temps à cause de ça. Le lundi c’était le pire jour pour moi parce qu’au Mexique c’est le jour où le drapeau du pays était mis en honneur. Ça m’arrivait souvent d’oublier de mettre la jupe blanche plissée de rigueur, je ne portais jamais les chaussettes longues jusqu’aux genoux et mes chaussures n’étaient jamais bien brossées. Je me rappelle que les profs me grondaient beaucoup, je n’ai jamais compris pourquoi on se réunissait au centre de la cour pour voir un petit groupe de six étudiants qui escortait le drapeau pendant que les autres saluaient avec une main sur la poitrine tout sérieux comme des petits soldats, … quel supplice!. J’avais « La haine du lundi » comme Garfield, ma BD préférée à l’époque. Ces souvenirs sont restés gravés dans ma mémoire, aujourd’hui je me souviens avec tendresse de mon enfance, quelle belle époque ! Ça me rend nostalgique. Cecilia Martínez Hernández, B1A Francés 50
Josefa Antúnez Llamas, CAPE Sociocultural Francés Otros 51
María José Pérez Bellot, CAPE Sociocultural Francés 52
Alba Aguilar Bello, B2.2 Árabe " جمعية"قرطبة أكوخي 53
54 UN MONOLOGUE HUMORISTIQUE Ce samedi, on m'a invité au théâtre pour écouter un monologue de l'humoriste Juan Luis Calero au Centre de Congrès de Cordoue, très près de la Mosquée. C´est la première fois que je vois un monologue humoristique en direct et ce ne sera pas la dernière, car j'en ai beaucoup joui. Bien que les sketchs soient les mêmes qu’en télévision, le rire est très contagieux et si tes voisins rient, tu riras aussi. Juan Luis a commencé par des histoires quotidiennes de sa famille et de sa vie avec un sens de l´humour si percutant qu´on avait besoin de demander des pauses pour se calmer. Après cela, étant donné qu´il a été formé comme journaliste, il a choisi deux « volontaires » pour les interviewer sur leur vie sexuelle. Finalement, il a décrit son enterrement idéal et il l'a représenté avec l'aide du public comme une fête joyeuse inspirée par les processions andalouses de Pâques et la musique folklorique de l’Andalousie. En résumé, une expérience magique dans un endroit historique que je ne peux que fortement recommander. Miguel Ángel Hernández González, CAPE de Comunicación Oral en Francés البرتغال Cristobal Almirón Expósito, antiguo alumno de árabe
À l'heure actuelle, il y a des mots qui ne se prononcent pas, qui vivent entre nous et ils profitent d'une grande puissance dans la société, bien qu'ils aient une allure quasi invisible. Tel est le cas du mot « réussir ». Lorsqu'on parle de réussir, on fait référence, pour l'essentiel, à faire partie d'une élite aisée où il ne faut pas faire d'efforts pour y arriver. Autrement dit, c'est un des moyens par le biais duquel notre collectivité rend hommage à ceux qui sont installés en haut de la hiérarchie de n'importe quoi. Toutefois, la population générale songe à atteindre un stade supérieur à ce qu'elle a, à priori. C'est-àdire, escalader à travers de l'ascenseur social et trouver la place qu'il avait rêvé d'occuper. A partir de ce moment-là, on peut annoncer que l'individu a réussi. Le regard du voisinage n'est plus le même d'avant, d'autant plus que le personnage change de vêtements ou de voiture subitement. Jusqu'ici, tout est, on dirait, une évolution de justice sociale au sein de la population. Mais, que peuvent envisager les gosses et les fillettes, ceux qui n'ont pas la moindre formation ? Ou qui ne sont pas suffisamment préparés pour affronter le monde du travail? Ils ne cessent de se fixer sur les célébrités comme des modèles à suivre. Certes, les joueurs de football des premières équipes, les chanteurs, les présentateurs et tous ceux qui se montrent sur le Net, ou même à la télé, deviennent des idoles pour eux, ce qui veut dire qu'ils ont réussi. En somme, pour la majorité du monde, il s'agit non seulement de gagner sa vie par le biais du travail mais aussi d'avoir un impact significatif sur autrui, soit dans le milieu le plus proche, soit dans les médias. À l'opposé, certains individus tentent de bosser et de vivre leur vie dans la joie et la bonne humeur en faisant ce qu'ils veulent passionnément et finalement, ils y arrivent aussi. Pilar María Sánchez Ordóñez, C1.2 A Inglés UNE RÉFLEXION SUR LE MOT RÉUSSIR María Ángeles Jurado Brieva, CAPE de Comunicación Oral en Francés We were surprised by Chat GPT, the state-of-theart Chatbot based on AI (Artificial Intelligence). This user-friendly computer program mimics human conversations and provides assistance to us. Fans of Chatbots have highlighted their abilities to create documents, search online information and personalise responses to user requirements. However, not all that glitters is gold. We cannot deny that Chatbot has a number of advantages that would make our lives easier. Firstly, it is always available for users to get assistance. Secondly, this technology can process information, summarise and provide human-like text results faster than other browsers. Nevertheless, since this software is based on big data, it is error-prone. Consequently, projects made using Chatbot might not be accurate. Besides, the more human beings interact with this tech, the more likely we are to feel a lack of empathy and limited understanding ending up in negative experiences. Furthermore, the use of this cost-effective technology for businesses could destroy thousands of jobs in the short run. In conclusion, Chatbots are a valuable tool that can change our perception of software and they are here to stay. We cannot uninvent what is already invented, we should go ahead and make the most of technological advances. CUTTING-EDGE TECH 55
Silvia Fresno Salas, B1 Chino 56
57 Mª Jesús Aldana, B2.1 Árabe تونس Isabel Muñoz Lucena, CAPE Sociocultural Francés
Rosa Mª Almagro, A2B Inglés THE SECRET OF HAPPINESS A Season of the year when the leaves fall. B Very important fluid that´s inside our body. C An adjective for a person who understands and learns quickly. D Your female child is your ..... E Big grey animal with a long nose and big ears. F Used in our feet for swimming faster. G Person who likes to know everything about other people. H An adjective for a person who is modest. I Plant that climbs up the wall. J Ornament which can be made of gold and diamond. K An adjective for a person who shows a lot of enthusiasm for something that he/she likes very much. L Computer that can be carried easily. M Adjective meaning ¨crazy¨. N Place where birds put their eggs. O Fluid that´s extracted from an olive. P An adjective for a person who is very afraid feels this. Q The most important female person in some countries. R It´s a very important utensil to climb mountains. S An adjective for a person who only thinks of his other benefit . T Set of jewels and money at the bottom of the sea. U Utensil which helps when it rains. V Several things of the same model. W Place where the boats are immobilized. X Abbreviation of Christmas. Y Technique to get relaxed. Z Place where there are all kinds of animals to see. (Answers on page 24) PASSWORD María Dolores Morales García, C1.1A Inglés We can never find happiness in something or someone. Happiness is a state of mind and it is not an external feeling but an internal feeling. If we want to live longer, lead a healthy life and reduce stress, being happy is very important for our mental health. However, we have to keep in mind that there are as many ways to be cheerful as almost as many people live on earth. We should try to have a positive outlook on life and have an approach to our positive and rewarding thoughts and enjoy what we do everyday. Happiness is a beautiful mixture of satisfaction, joy and an optimistic way of thinking. Everyone has ups and downs throughout their life, but something that will help us to get through everyday is focusing on the beneficial and useful happenings in our lives. Futhermore, another very essential step we can take is to think about the present. Some people usually spend their time worrying about the future that is yet to come, and in this way they waste their present lives suffering from stress and wondering why the negative things do not change in their favour. The definition of happiness is different for every person. Some people may find a fulfilling life in accumulating wealth and material goods, others in being healthy and some others in wearing designer goods. All these ways of getting satisfaction are temporary and will not bring them any happiness in the long run. Having materialistic possessions is not the way to a happy life. Probably a person might have wealth and not be satisfied and on the contrary a middle class person with limited financial resources could be happier than a wealthy person. I will conclude with the following quote from Mahatma Gandhi: "Happiness is when what you think, what you say, and what you do are in harmony". 58
59 Manuel Fernández Campos, B1 Semipresencial Inglés Never feel fear about the future: always taking real action is the key to improving yourself. Keep calm and breathe deeply = zero nervousness. Practice sports frequently. Be simple in everything you want to do and desire. Celebrate your goals. Read once a week, at least: refresh your knowledge and vocabulary. Avoid ‘toxic people’. It's easy and simple: this attitude will clear your mind. Even if you think that something is not possible, you can always get it. What is usual is not always the correct option: Difference makes change possible. The meaning of ‘Trust fall’: ‘A trust fall is an activity in which a person deliberately falls, trusting the members of a group (spotters) to catch them. It has also at times been considered a popular teambuilding exercise in corporate training events. There are many variants of the trust fall.’ Behind this definition, we could find a great and deep feeling or only a succession of several words. The difference: your personal decision. Even when you're elaborating or looking at a simple post it note, you can receive a flow of inspiration while you´re writing them. It's my case with a famous book titled ‘Wizard of Oz’ (recommended by my friend Joseph three years ago): the more I was reading the different chapters, the more I realized the magical power of this book. And as a consequence, I began to create a ‘goodness atmosphere’ around myself while doing the most ordinary actions like reading a book, writing notes in my diary or sharing my feelings with family and friends. Every day I reminded myself that I am better than I ever thought. The rest of the story in ‘Bla, Bla, Bla’ magazine is dedicated to people that think like me. Some helpful tips you can do: Live healthy looking after your body, soul and heart. In conclusion: Because if I just fall, the best way to improve is love myself really. Tomorrow is another day. BE FUN!!! ... WITH YOURSELF AND A SMILE Inmaculada Bernal, CAPE Sociocultural Francés
Pendant toute la période passée à Madrid, il n’a eu aucune nouvelle de sa famille puisqu’ il n’ a jamais pu entrer en contact avec eux. Quelques mois plus tard, il a écrit une lettre à ma grand-mère mais il n’a reçu aucune réponse. Alors il a écrit à ses sœurs, mais sans nouvelles non plus. Enfin, il a envoyé une autre lettre à l’un de ses anciens camarades républicains mais cette fois-ci, il a reçu une lettre qui marquerait sa vie. Le camarade lui a affirmé que toute sa famille avait été assassinée, alors mon grand-père, totalement abattu, a décidé de ne jamais retourner dans sa ville natale. Comme vous pouvez imaginer, il a décidé de rester avec Marie et de refaire sa vie avec elle. A la fin de la guerre, Marie et lui ont déménagé à Grenade, car la famille de Marie y habitait. À Grenade, mon grand-père a trouvé un travail et a fondé une nouvelle famille. Ils ont eu deux enfants, une fille et un garçon. Dix ans après, il a voulu montrer à Marie et aux enfants le lieu de ses origines. Ils sont arrivés à Cordoue et grande surprise, il y a découvert que sa famille vivait encore. Sous le grand choc, il a demandé à Marie de rentrer à Grenade avec les enfants pour pouvoir rester encore quelques jours et donner des explications à ses enfants et son ancienne épouse. Quand il est arrivé chez ma grand-mère, la surprise était telle qu´elle ne pouvait pas arrêter de pleurer. Ils se sont embrassés et mon grand-père leur a raconté tout ce qui lui était arrivé depuis sa fuite, y-compris son deuxième mariage et sa nouvelle famille. Il leur a demandé pardon et il a dit à ma grand-mère qu´il était prêt à quitter Marie et ses enfants et à retourner avec eux. Mais, ma grandmère, malgré la joie de retrouver son mari, a décidé de renoncer à lui et l’a encouragé à rejoindre à Grenade sa nouvelle famille car il avait des enfants encore en bas âge qui avaient besoin d´un père. Mon grand-père est mort quand moi j'avais 3 ans, mon père n´a pas pu lui pardonner, pourtant il a accueilli chez lui son demi-frère, encore jeune, et il l'a même aidé à travailler dans le milieu de la radio grâce à ses contacts. Aujourd´hui, nous gardons encore le contact avec mon oncle, ma tante et leurs filles de Grenade. Je vais vous raconter une histoire, une histoire vraie. Vous penserez peut-être qu’il s’agit d’un roman mais loin de là, car il s´agit de la vie de mon grand-père paternel. Tout a commencé quand j’ai lu le livre d´Almudena Grandes, intitulé « El Corazon Helado », le cœur gelé. C’est un livre que j’ai adoré et qui m’a rappelé l’histoire racontée tant de fois par mon père. C’était en l’année 1936, l´époque où mon grand-père Antonio habitait à Cordoue avec sa femme, ses trois filles et son fils (mon père), le plus petit qui n´avait que 3 ans. Mon grand-père travaillait comme maçon, il aimait la politique et il était un syndicaliste reconnu et un grand orateur. Il rencontrait ses collègues après le travail pour discuter des dernières nouvelles et imaginer un tout autre monde. Quand la guerre civile a éclaté et que les nationalistes sont arrivés à Cordoue, un de ses amis lui dit qu’il était dans la ligne de mire de l'ennemi et que les soldats allaient le chercher le soir même. Il devait s'empresser de fuir la ville. Ce soir-là, mon grand-père a quitté sa famille et s’est enfui en rase campagne en se cachant pendant la journée et en marchant la nuit. Un mois après, il est arrivé à Madrid avec deux hernies inguinales et en très mauvaise santé. Après des journées entières à errer dans les rues comme un sans-abri, il s’est évanoui devant une femme qui sortait de chez elle. Cette femme, qui l’a emmené de suite à l’hôpital, s’appelait Marie et elle était infirmière bénévole. À ce moment-là, mon grand-père n´imaginait pas encore combien cette femme allait changer sa vie. Pendant son séjour à l’hôpital, une merveilleuse amitié est née entre eux. Un mois après sa sortie de l’hôpital et pendant qu’il cherchait un boulot, Marie l´a généreusement accueillie chez elle. Un jour, mon grand-père a pris le bus et un inconnu l'a reconnu comme Antonio Torres de Cordoue. Il a nié être le maçon républicain et il est retourné immédiatement chez Maria en prenant conscience du danger qui le poursuivait à nouveau et de la nécessité de s'enfuir à nouveau. Marie, qui était une femme très intelligente, ne voulait pas le laisser partir et elle lui a dit : « Attends, j’ai eu une idée ! Comme je travaille à l’hôpital et que malheureusement il y a des soldats qui meurent chaque jour, on va changer ton identité et tu adopteras celle du premier soldat qui meure ». Le lendemain, mon grand-père a laissé de côté son ancien nom, Torres, pour devenir Jose Abellan. Inmaculada Torres Rubio, CAPE de Comunicación Oral en Francés UNE HISTOIRE DE GÉNÉROSITÉ " Le camarade lui a affirmé que toute sa famille avait été assassinée". 60
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